LeCercle Vulnérabilités et Société vous invite à consulter sa note « Etre soi jusqu’au bout de la vie en établissement et à domicile. Les seniors LGBT+, éclaireurs d’une révolution de l’intime », co-construite avec Adef Résidences, Aegide-Domitys, l’Armée du Salut, France Alzheimer, la Croix-Rouge Française, la Fondation Partage et Vie et la Fondation Korian. Cette note
Saisir la réalité des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, aller à leur rencontre… C’est la philosophie de la maison Carpe diem, un lieu unique au Québec où la relation à l’autre est prioritaire. Ici, les résidents participent aux tâches quotidiennes, il n’y a pas d’horaire fixe pour le réveil ou le coucher, le rythme de chacun est pris en considération… Une approche respectueuse du patient, née de la conviction de Nicole Poirier, la directrice de cet établissement, et de son équipe. Voir la vidéo Réalisation Laurence Serfaty 29 SEP 2006
Laromancière Geneviève Peigné apporte sa réponse : Odette, sa mère « Alzheimer », dialoguait par écrit avec les personnages, dans la marge de ses romans préférés. Geneviève, la fille, découvre ainsi une phrase soulignée : « Concetta ne pouvait parvenir à dormir. » Commentaire d’Odette : « Comme moi. Mal à mes deux yeux. » Humaine, jusqu’au
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On a diagnostiqué un Alzheimer à ma mère. Combien de temps pourra-t-elle vivre seule ? Rédigé le 12/10/2015, mis à jour le 13/10/2015 Les réponses avec le Dr Christophe Trivalle, gériatre, et avec le Dr Philippe Denormandie, chirurgien orthopédiste "Le délai entre le diagnostic de la maladie d'Alzheimer et la perte d'indépendance et d'autonomie d'un malade est variable. Tout dépend du moment où l'on fait le diagnostic, si le diagnostic est très précoce ou s'il est tardif. Pour le moment, on voit encore des diagnostics assez tardifs où la maladie est déjà très évoluée. Quand la personne rentre dans la salle de consultation, on fait le diagnostic en deux minutes. C'est donc beaucoup trop tard. L'espérance de vie des malades d'Alzheimer est la même que celles des personnes qui ne sont pas Alzheimer. Il y a eu de gros progrès. Ensuite, il y a tellement de sortes de maladie d'Alzheimer, chaque cas est particulier et l'évolution est très différente d'un malade à l'autre parce qu'il y a des malades qui gardent leur autonomie, en tout cas leur autonomie de la marche, assez longtemps. Ce sont notamment des malades qui déambulent, qui marchent sans arrêt. Ces personnes gardent une certaine autonomie, très longtemps, alors que d'autres vont perdre leur autonomie et vont se retrouver en fauteuil." "C'est toujours le sujet de savoir quelles capacités on perd, et quelles capacités on garde. Chez les patients Alzheimer, comme les personnes âgées avec d'autres types de pathologies, les tableaux sont très variés. Il est important d'avoir une prise en charge très individuelle. On garde très longtemps une autonomie pour faire un certain nombre de choses. Le vrai sujet, c'est de respecter ces autonomies qui permettent de continuer à faire des choses et de se dire qu'il y en a d'autres sur lesquelles on doit avoir des compensations. Le drame, ce serait d'avoir une approche trop rapide en disant on a une perte d'autonomie dans sa façon globale et à ce moment-là, on a tendance à faire à la place des gens. Or, on sait qu'une des rentrées les plus rapides dans la dépendance, c'est de faire à la place des gens. "Dans ce domaine, la France n'est pas le pays le plus exceptionnel. Il y a eu des rapports, notamment le rapport Aquino, qui montrent tous les éléments qu'il faut suivre pour maintenir au maximum le fait que des personnes peuvent encore faire des choses. Plus on continue à faire des choses, plus on retarde la vision de la perte d'autonomie globale. Il y a donc un regard de la personne et un regard de l'environnement à la fois familial et professionnel. "Il faut voir à quel moment on change le fait de dire qu'il est plus important de faire faire que de faire à la place. Il est plus important d'aller jusqu'au bout de l'aménagement du chez soi plutôt que de dire qu'on va placer la personne dans une organisation. Il faut avoir une réflexion de l'autonomie et de la capacité. Et ensuite on adapte. En France, on a beaucoup d'aides humaines et peu d'aides techniques, environnementales alors que dans d'autres pays, on a beaucoup plus d'aides techniques et environnementales que d'aides humaines. Le leitmotiv c'est de continuer à faire en sorte que les personnes, si elles le souhaitent, se fassent plaisir et à partir du moment où on se fait plaisir, il faut voir comment on peut aider la personne à continuer à faire des choses. On travaille beaucoup dans ce domaine dans les établissements notamment en Allemagne. Il est très intéressant de voir la vision des Allemands du respect des capacités. C'est vraiment un leitmotiv." Pour ne manquer aucune info santé, abonnez-vous à notre newsletter !
Accompagnerles personnes âgées jusqu'au bout de la vie; Accompagner les personnes âgées (3/2) L’accompagnement en fin de vie et le bénévolat (138 min) Patrick Bantman - psychiatre à l'Hôpital Esquirol, Paul Benadhira - dir. accueils de jour, OSE, Marc Cohen - gériatre, Irène Epelbaum - psychologue, OSE, Robert Zittoun - hématologue, Hôtel
21 nov. 2002 L’effet d’un diagnostic de maladie d’Alzheimer sur l’espérance de vie varie de façon marquée selon l’âge auquel le patient reçoit ce diagnostic, précise une étude parue dans la revue Archives of Neurology de novembre. Dans cet article, Ron Brookmeyer The Johns Hopkins University Bloomberg School of Public Health, Baltimore et ses collaborateurs ont utilisé les données de la Baltimore Longitudinal Study of Aging BLSA pour mesurer la survie après un diagnostic de maladie d’ BLSA a débuté en 1958. Les résultats présentés portaient sur 921 patients suivis jusqu’en 1985 avec des données de mortalité jusqu’en survie médiane après le diagnostic était étroitement associée à l’âge où le diagnostic était posé. La survie médiane était de 8,3 ans pour les patients diagnostiqués à 65 et de 3,4 ans pour les patients diagnostiqués à 90 ans. Un diagnostic de maladie d’Alzheimer à 65 et 90 ans étaient respectivement associés à une réduction de 67 % et 39 % de l’espérance de vie Arch Neurol 2002;591764-1767 6TnAs.