Danstes visions rêveuses Fiévreuses et déformées Quand tes cernes se creusent Tous les mots sont figés Larme blanche au fond des yeux Larme blanche ou larme à feu Larme blanche pas d'accord Larme blanche à mort Larme blanche pas d'accord Le regard dans la neige Tu as chaud tu as froid Plus rien ne te protège Malgré toi malgré moi

Rien qu'une larme dans tes yeuxC'est toujours ta seule réponseQuand je te dis qu'il vaudrait mieuxNe plus se revoir nous deuxJ'étais certain cette foisQue rien ne me retiendrait La suite des paroles ci-dessous On se trompe quelquefoisUne larme a tout changéRien qu'une larme dans tes yeuxEt soudain je réaliseJe réalise que de nous deuxC'est moi le plus malheureuxPar ma faute, trop de fois,Mon amour tu as pleuré La suite des paroles ci-dessous J'ai voulu partir cent foisEt cent fois je suis restéRien qu'une larme dans tes yeuxJe comprends combien je t'aimeJe t'aime et je veux te le direJe veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeuxC'est toujours ta seule réponseRien qu'une larme dans tes yeuxJe veux te revoir sourireRien qu'une larme dans tes yeuxJe comprends combien je t'aime Explication de “ Rien qu'une larme ” “Il était chanteur à minettes, mais sans plonger dans la gaÃté et les chansons banales. Une mélancolie frappante se dégageait de ses chansons.  Qui saura »,  rien qu'une larme » ou alors  Dis-lui », ce sont tous de grands tubes du chanteur, et tous les trois des chansons de rupture dé Rien qu'une larme» est une chanson parue en 1973. En plein essor, le chanteur confirmait sa place bien méritée parmi les stars des années 70. Il réalisait plus de ventes que Claude François ou alors Johnny de Mike Brant est teinté d'une tristesse, qui est souvent liée au sentiment amoureux. Il était beau comme un dieu grec, et il avait tout pour lui, pourtant, il n'a pas été heureux. En effet, durant toute sa vie, il a été hanté par l'histoire de ses parents, qui ont survécu par miracle à la juive, l'artiste est devenu paranoïaque au fil du temps. Il ressentait une menace constante qui le poursuivait peu importe ses déplacements. Il a même évité des concerts par peur d'attentats antisémites. Vivre avec cette peur au vente ne peut que se répercuter mal sur l'artiste. Il a fait une première tentative de suicide, à la deuxième, il ne s'est pas sorti vivant. "Rien qu'une larme" est un titre qui parle d'un chagrin d'amour partagé entre les deux amoureux. Mike Brant rassure son amoureuse, lui dit qu'il aimera la voir sourire et non pas pleurer. Il est lui-même malheureux dans cette relation, et la séparation doucereuse semble être le seul choix qu'il leur chanson s'est vendue à plus de disques vendus. Le succès de la chanson s'est étalé partout dans le monde, il est arrivé jusqu'au Canada. En 1975, le chanteur tire sa révérence, il a laissé ses fans choqués et terrifiés. Néanmoins, ses chansons resteront à jamais gravées dans le trésor de la chanson française. Les internautes qui ont aimé "Rien qu'une larme" aiment aussi

Rienqu’une larme, Comme une blessure qui nous éloigne, puisque tu pars. J’ai peur de l’évidence. Tu me laisseras. J’en ai fait des efforts, Trop longtemps attendu. Notre amour est bien mort, mais tu ne l’as pas vu. Si tel est notre sort, je n’aimerai plus jamais plus. Je n’ai aucun remords, si tu m’aimes plus.
Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628Célébrité Adélaïde & Crédit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson › Tu es la lumière qui me permet de me retrouver face à cette obscurité qui m'entoure. Tu sais, tu as beau être tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est à l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonné toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrêter de le faire. Alvy Stuart › A Stuart › Aylin Stuart ›réponses rps 81 Back to 4 Juin - 2355 BACK TO YOU❦ Tu étais au travail, une journée comme les autres pour toi. Tu avais depuis quelque temps beaucoup pensé à ta mère, à pouvoir la rencontrer d'une certaine manière. Tu avais pris le temps de faire pas mal de recherche et tu avais concocté un breuvage prévu à cet effet. Heureusement, tu avais Charlie avec toi au magasin qui pouvait te permettre de te concentrer sur ton projet tandis qu'elle s'occupait des clients. Après tout, en ce qui concernait tout ce qui touchait aux potions et autres breuvages, tu savais que tu ne pouvais pas douter des capacités de ton employé. Tu savais qu'elle était une sorcière bien que tu ne lui avais jamais dit. Tu étais avec un client en train de le conseiller tandis que la blonde était derrière le comptoir. Tu avais réussi à satisfaire la demande de ton client et ce dernier s'en alla vers la caisse tandis que la cloche du magasin sonna, indicateur qu'une nouvelle personne entra dans l'établissement. Tu étais tellement ravie que ton magasin soit si populaire et que tu ne sois pas en manque de clients. Enfin, il faut dire qu'avec une ville comme Tulsa, berceau des mystères de la vie, berceau du royaume de la nuit. Tu allas donc voir le client en question quand tu vis cet homme, ton cœur eu un raté. Il était tellement beau, comme si, d'une certaine manière, tu le connaissais. Sa beauté et sa prestance te frappèrent en premier lieu tandis que tes joues se réchauffèrent et que ton cœur cognait ardemment dans ta poitrine. Cela te perturba davantage étant donné dont cela ne t'était pas arrivé depuis la mort de ton fiancé, mort que tu venais récemment d'en faire le deuil. Tu avais pris l'habitude de perdre tes proches depuis tes parents et celui que tu aimais. Tu repris rapidement contenance Monsieur, puis-je vous aider ? » Fis-tu alors en souriant grandement tandis que ton esprit continuait de chercher d'où est-ce que tu avais bien pu le connaître pour que ce visage te sois si familier Vous cherchez quelque chose en particulier ? » Repris-tu alors en essayant d'être le plus professionnel possible. Tu étais après tout la patronne des lieux et il serait déplacé qu'en tant que dirigeante, tu ne puisses pas être maîtresse de toi-même en ce lieu. Bien que tu savais que Charlie pour t'occuper des autres clients. ⇜ code by bat'phanie ⇝ Aëlynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rêves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittée et qui ont changé mes idées ils se sont infiltrés en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altéré la couleur de mon esprit. Invité Invité Re Back to 5 Juin - 047Back To YouFeat Aëlynn & Alexys☾☾ La journée avait été longue. Trop longue même. Alexys avait enchaîné plusieurs gardes. Les malades continuaient d'affluer et le travail ne se faisait pas attendre. Cela faisait 72 heures qu'il n'avait pas quitté les locaux de l'hôpital. Heureusement pour lui, personne ne l'attendait à la maison. Son cousin étant parti en voyage, Alexys avait tout le loisir de s'atteler à ce qu'il savait faire le mieux Aider les humains. Bien qu'étant un vampire qui s'abreuvait du sang des êtres humains, il avait à cœur d'essayer par tous les moyens possibles de les sauver. Ces derniers jours, une patiente en particulier, avait retenu son intention. C'était une petite mamie, pas plus vieille que la sienne. Elle était tombée dans la rue. Rien de bien grave, si ce n'est une belle fracture du fémur. La dame avait quitté les urgences pour le service de chirurgie orthopédique depuis un moment, mais Alexys passait chacune de ses pauses à ses côtés. Le jeune homme aimait beaucoup sa compagnie. Depuis qu'il était revenu à Tusla, sa vie était bien solitaire, sa grand-mère étant restée en Irlande. Avoir cette petite dame dans les parages, lui faisait beaucoup de bien. Alexys s'était même surpris à lui parler un peu de sa vie. Bien sûr, il était loin de lui avouer son petit secret, mais leurs conversations l'amusaient. Alors qu'Alexys quittait l'enceinte de l'hôpital, l'un de ses collègues le rattrapa. La petite mamie avait besoin d'huile de lavande et de citron pour son diffuseur qu'elle emmenait toujours avec elle. Il était vrai que le jeune homme s'était proposé pour lui en ramener au besoin mais ... Pourquoi aujourd'hui ? Il avait tellement à faire. Et puis, où allait-il trouver ça ? Tusla avait bien changé depuis le temps où il y avait vécu. Pas le choix. Alex s'arma de son téléphone et lança une recherche internet. Le nom d'une boutique sortit du lot. Le Lusanaël, 5 minutes à pied. Parfait ! En arrivant devant la devanture du magasin, Alexys s'arrêta. Sortant le petit mot qui lui avait été donné de la part de la mamie, il tenta de se rappeler des huiles pour lesquelles, il se trouvait ici. Quand cela fût encré dans sa mémoire, il pris une grande inspiration et entra. A l'intérieur, il y avait des gens mais pas non plus la cohue. Les vendeuses avaient l'air occupée donc il patienta sagement en regardant les différentes pierres. Alexys n'était pas friand de ce genre de croyance, mais cela ne l'empêchait pas de les trouver jolies à regarder. D'ailleurs, en parlant de jolie à regarder ... Son regard fût attiré par l'une des vendeuses. La brunette. Aëlynn. Mais que faisait-elle là ? A première vue, elle semblait travailler ici. Dommage. Alexys eu bien envie de fuir devant la découverte, mais trop tard, la brunette se dirigea déjà vers lui pour le renseigner. Quand Aëlynn lui demanda si elle pouvait l'aider, Alexys resta stoïque ... Comme paralysé. Pour être honnête, il ne s'attendait pas à tomber sur elle. Autrefois, il l'aurait bien envoyé balader mais aujourd'hui, l'enjeux avait changé. Le jeune homme devait absolument se reprendre. Et son sourire ... Oh misère. " Je ... Hum ... A vrai dire ... Oui. J'aurai besoin d'huiles essentielles de lavande et de citron, s'il vous plait. "Ce ton embarrassé ne lui convenait vraiment pas, mais que faire ? La brunette ne semblait pas le reconnaître. A vrai dire, il sentait une pointe de déception lui parcourir les veines. Depuis son retour, le jeune homme ne s'était jamais vraiment approché de la jeune femme, l'observant de loin, comme un vieux pervers. Si dans sa jeunesse, elle ne l'avait jamais intéressé, aujourd'hui, la donne avait changée. Quelque chose qu'il ne pouvait expliquer l'attirer inévitablement vers elle. Sortant de sa stupeur, Alexys tenta une petite approche furtive afin de voir si la brunette ne gardait pas quelques souvenirs du petit garçon qu'il avait été, il fût un temps." Vous me rappelez beaucoup une jeune fille que j'ai connu, il y a quelques années ... "Déroutant. Ca l'était. CODAGE PAR AMATISDernière édition par Alexys Ellis le Mer 17 Juin - 026, édité 1 fois Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628Célébrité Adélaïde & Crédit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson › Tu es la lumière qui me permet de me retrouver face à cette obscurité qui m'entoure. Tu sais, tu as beau être tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est à l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonné toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrêter de le faire. Alvy Stuart › A Stuart › Aylin Stuart ›réponses rps 81 Re Back to 5 Juin - 1151 BACK TO YOU❦ Il était vrai qu'en te levant le matin, tu étais loin de te douter de ce qu'il allait pouvoir se passer dans la journée, tu avais des talents certes, mais tu n'avais pas le pouvoir de prémonition. Quand bien même certains pouvaient le penser, tu n'étais pas une sorcière. Tu avais acquis l'art des plantes, des runes, des potions... Mais tu n'avais pas de pouvoir magique ou quel autre don. Bien souvent, on l'oubliait, mais tu étais une chasseuse comme tes frères et sœurs, enfin, tu l'avais dans le sang. En fronçant les sourcils, tu avais l'impression d'être une cracmol comme dans la littérature d'Harry Potter, avoir les gênes, mais pas le pouvoir. Pourtant, tu avais bien la force surhumaine ainsi que l'ouïe, l'agilité, le réflexe et la guérison rapide des chasseurs. Toutes ces caractéristiques qui te différenciaient des simples mortels. Tu secouais la tête et tu te concentras sur ta tâche maintenant que tu avais pus venir en aide à une personne, c'est à ce moment-là que la cloche retentit, indiquant qu'un nouveau client entra dans ton magasin. Et là, comme si plus rien existait autour de toi, tu ne voyais que lui. Ce grand blond, les cheveux bouclés et les yeux d'un bleu océan tel qu'on pourrait s'y noyait. Ton cœur déjà conquis à cette simple vision, cela te perturbait au plus au point et pour cause, premièrement tu étais certaines de le connaître, ton âme peut-être ? Il est dit que certaines âmes sœur pouvaient se reconnaître instantanément, mais tu savais bien que c'était autre chose. Deuxième, c'était bien l'unique et première fois que ton cœur battait de la sorte et depuis la mort de ton fiancé jamais tu ne l'aurais cru possible.... D'autant plus, que d'aussi loin que tu t'en souviennes, même pour ce dernier, il n'avait jamais bats de la sorte. Tu t'en voulais instantanément, mais après tout, tu étais libre et tu ne le lui devais plus rien maintenant qu'il était parti rejoindre l'au-delà, que son âme s’apprêtant à habiter un autre corps. Car oui, tu croyais en la réincarnation, tout comme en Karma... Sinon, comment cela pouvait être possible qu'autant de malheur s'abatte sur toi ? Si ce n'est que tu devais être une horrible personne dans ta vie antérieure. Enfin, calmant ton cœur fougueux et reprenant tes esprits, tu fis ton devoir de vendeuse et te renseignant sur la demande de ton client C'est pour quel usage ? Demandas-tu ? » Te renseignas-tu donc Nous allons avoir de la citronnelle de Java pour ce qui recommandé pour d'arthrites, tendinites ou rhumatismes ou alors celle de Ceylan plus pour les moustiques ou démangeaisons » Fis-tu donc tout en prenant un sachet d'huile de lavande. Tu le regardais, toujours troublée, fascinée et attirée par lui. Tu fronças les sourcils quand il te disait te connaître. Tu ouvris la bouche puis tu la refermas ne sachant pas quoi dire. Alors peut-être que lui aussi pensait comme toi. Peut-être ressentait-il aussi ce que tu ressentais ? Tu rougis immédiatement à cette pensée et tu te maudis. Tu étais pourtant si douée pour cacher tes émotions habituellement, mais avec lui, c'était plus compliquée Tu vis à Tulsa depuis longtemps ? » Demandas-tu bien que dans ta mémoire, ce visage et cette allure imposante à ton cœur, tu l'aurais reconnue. Cependant, tu n'avais jamais quitté cette ville alors tu ne pouvais connaître que d'ici. ⇜ code by bat'phanie ⇝ Aëlynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rêves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittée et qui ont changé mes idées ils se sont infiltrés en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altéré la couleur de mon esprit. Invité Invité Re Back to 5 Juin - 1403Back To YouFeat Aëlynn & Alexys☾☾ Pour être tout à fait honnête. Alexys n'y connaissait strictement rien aux plantes, huiles et autres objets mystiques. Le jeune homme avait bien conscience que les vampires n'étaient pas les seules et uniques créatures qui existaient et cohabitaient ensemble. Des loups, des sorcières et même des chasseurs. Quel beau petit monde. Tout cela, il l'avait découvert lorsqu'il avait réalisé des recherches après sa transformation. Tusla semblait compter dans sa population bon nombre de ses créatures. A l'époque, il lui avait semblé essentiel de revenir sur sa terre natale afin de dompter sa nouvelle nature. La seule chose qu'il n'avait pas prévu, c'était de devoir dompter la nouvelle nature de son cousin. Grand bien lui fasse, ce dernier avait décidé de faire le tour du monde. Un problème de moins dans les environs, c'était déjà pas contre, la deuxième chose qu'il n'avait pas prévu, c'était que la petite moche d'à côté qui aujourd'hui, était devenue une très belle chenille, provenait d'une célèbre famille de chasseurs. Etant enfant, la famille n'avait pas vraiment d'importance. Mais aujourd'hui, l'histoire était tout autre. C'est surement la raison pour laquelle Alexys n'avait jamais vraiment osé s'approcher d'Aëlynn. Bien qu'elle l'attirait beaucoup. Tragique existence. Comment faire quand l'objet de vos désirs, pouvait se révéler être l'objet de votre perte ? Bien qu'Alexys aie une fâcheuse tendance aux comportements auto-destructeurs, il n'était pas suicidaire pour autant. Leur rencontre aujourd'hui, était tout bonnement fortuite. Une simple demande d'une grand-mère qui avait su effleurer le cœur de pierre du jeune homme. Alors qu'Alexys buvait ses paroles d'une façon très niaise, la carotide de la jeune femme attira son attention. L'odeur de son sang même, l'attirait. Comme un doux parfum dont ses narines, ne pouvaient se défaire. Quoiqu'il en soit, ses instincts de vampire se devaient de disparaître aussi vite que l'éclair. Le jeune homme ne pouvait se trahir aussi facilement. Sa main se posa dans sa chevelure blonde, jouant quelques instants avec une boucle afin de donner l'impression d'une réflexion intensive. Ou pas. " Je pense que la citronnelle de Java fera l'affaire. C'est pour l'une de mes patientes qui a quelques soucis de hanche pour le moment. C'est elle qui m'a demandé de lui en rapporter. Les huiles et les cailloux, ce ne sont pas vraiment mon domaine de prédilection pour être tout à fait honnête. "Instant live OK. Oui bon, la petite explication n'était pas vraiment nécessaire, mais Alexys ressentait un réel besoin de se justifier. Le jeune homme ne voulait pas passer pour un petit être fragile qui avait besoin de ses petites huiles pour soigner des maux de grand-père et il ne voulait surtout pas que la jeune femme pense qu'une autre femme se cachait sous cette demande. Il était bien connu que ce genre de pratique était très souvent féminine. Se grattant doucement la tête pour cacher une petite gêne, Alexys se rendit compte que les joues de la jeune femme, avaient rougi à sa question. Cependant, cela fit vite effacé par des sourcils froncés et une mine qui en disait long. Apparemment, la tête du jeune homme ne lui disait rien. Dommage. Cela aurait tellement été plus simple pour l'aborder. Arriver avec des gros sabots et lui dire Hey Meuf ! Tu me plais. Ça fait un moment que je t'observe à la façon de Joe Goldberg dans la série You. Non. Hors de question. Croisant les bras derrière son dos, Alexys lui servit son plus beau sourire. Ce sourire, il en avait déjà fait des ravages. C'était son meilleur numéro de charme pour attirer l'attention des jolies filles. Jusqu'à présent, cette technique avait toujours portée ses fruits." Je suis originaire de Tusla mais j'ai dû quitter la ville quand j'étais enfant pour rejoindre de la famille à l'étranger. Maintenant, ça doit faire environ deux ans que je suis revenu dans le coin. "Aëlynn semblait troublée par l'interrogation du jeune homme. Ne voulant pas la brusquer puisqu'il avait enfin réussi à lui adresser quelques mots, il soupira légèrement avant de continuer sur sa lancée." Mais ne vous en faites pas. J'ai surement dû me méprendre. J'ai connu quelqu'un qui vous ressemblez beaucoup dans ma jeunesse. C'est surement la raison pour laquelle, je vous ai confondue. Veuillez m'excuser pour ma maladresse. " Une petite révérence à la manière des bourgeois. L'arme ultime de séduction. CODAGE PAR AMATISDernière édition par Alexys Ellis le Mer 17 Juin - 026, édité 1 fois Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628Célébrité Adélaïde & Crédit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson › Tu es la lumière qui me permet de me retrouver face à cette obscurité qui m'entoure. Tu sais, tu as beau être tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est à l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonné toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrêter de le faire. Alvy Stuart › A Stuart › Aylin Stuart ›réponses rps 81 Re Back to 6 Juin - 016 BACK TO YOU❦ Et tu étais là, à faire ton travail de vendeuse tandis que ton esprit et ton cœur n'étaient plus vraiment là, distrait par la beauté de ce jeune homme. Tu avais du mal à garder contenance et ton sérieux, mais tu étais la propriétaire de ces lieux. Alors quand il te parla de ce qu'il voulait, tu sautais sur l'occasion pour parler des produits, cela t'obligeait à ne pas penser à l'impact de ses lèvres sur les tiennes, de ses baisers le long de ta nuque. Ce n'était pas du tout professionnelle d'une part et d'un autre, tu ne le connaissais même pas ce n'était pas sérieux du tout. Tu te mis à rire quand il s'expliqua Effectivement alors, c'est mieux celle de Java » Fis-tu alors Les cailloux, vraiment ? » Repris-tu en levant les sourcils tout en ayant une petite moue amusé. Comment pouvait-il dire cailloux » dans ce genre d'établissement Je vous crois quand vous me dîtes que vous y connaissez rien » Repris-tu alors toujours le sourire aux lèvres tandis que tu t'éloignais de lui déjà pour lui prendre son huile de Java et ensuite pour pouvoir reprendre tes esprits, cela ne te ferait pas de mal, au contraire. Avant de le rejoindre de nouveau, tu fis un petit détour afin de prendre un petit bouquin concernant les runes et les pouvoirs de pierres sur l'environnement, les personnes Peut-être que ceci vous intéresserez ? Si jamais les cailloux vous intrigues » Proposas-tu donc en reprenant exprès son terme afin de la taquiner. Et tout comme le fait qu'il te paraissait si familier, le fait de parler ou bien même de plaisanter avec lui était comme naturel, comme si vous étiez des vieux amis de longue date. Et pourtant, ce n'était pas le cas. Indéniablement, il y avait un lien entre vous. Et d'ailleurs, ce dernier devait penser la même chose puisque tu avais pour lui, la même familiarité, Tulsa était une si petite ville. Et comme une décharge électrique, ce sourire. Bien sûr que tu le connaissais, ce côté charmeur. Tu compris, tu savais Je n'y peux rien, c'est de ma famille... Si tu voyais celui de mon cousin, il est encore plus diabolique » C'était ce que James te disait. James, l'homme avec qui tu étais, ton premier amour, ton fiancé, qui est mort il y a un moment maintenant. Et comme une déferlante de souvenirs de toi enfant, ta meilleure amie, James et son cousin jouant ensemble, son cousin qui t'agaçait à avoir de trop longue jambes pour pouvoir lui courir après Alexys ? » Fis-tu avec un mélange d'affirmations et de questionnement. Instantanément, tu reculas, te cognant par la même occasion contre le meuble derrière toi. Tu n'avais jamais eu de nouvelle de lui, il n'avait même pas dénié venir à l'enterrement de son cousin, pourtant si proche. Une vague de colère naquit en toi et surtout, un torrent de culpabilité, comment cela se faisait-il que le seul gars qui avait réussis à faire battre de ton cœur depuis la mort de ton fiancé était le cousin de ce dernier. Une petite larme tentait de s'échapper dans le coin de ton œil. Tu avais l'impression d'être une horrible personne quand même. Et pourtant, tu ne pouvais admettre que James avait eu raison à chaque fois, le sourire et le charme d'Alexys était bien plus diabolique que celui de James, bien difficile à y résister. ⇜ code by bat'phanie ⇝ Aëlynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rêves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittée et qui ont changé mes idées ils se sont infiltrés en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altéré la couleur de mon esprit. Invité Invité Re Back to 6 Juin - 2148Back To YouFeat Aëlynn & Alexys☾☾ Les cailloux que la jeune femme vendait, n'intéressaient vraiment ... Vraiment ... VRAIMENT pas Alexys. Un peu macho sur les bords, le jeune homme avait toujours considéré que certaines activités étaient beaucoup plus féminines que d'autres et que cela devait le rester. Aëlynn se serait surement bien entendu avec Mémé Ellis. Durant sa jeunesse, sa grand-mère rangeait toujours des pierres à de nombreux endroits dans la maison. Alexys n'avait jamais vraiment compris pourquoi. Maintenant qu'il était tombé à ses dépends dans le monde surnaturel, les lubies de sa grand-mère, étaient peut-être justifiées en fin de compte. Quoi qu'il en soit, Alexys ne voulait pas se montrer impoli envers la jeune femme qui semblait déjà contrariée par le surnom que donnait le jeune homme aux pierres mystiques. Sacrilège. Voyant qu'Aëlynn s'éloignait de quelques pas afin d'aller chercher l'huile que lui avait demandé Alexys, il l'a suivi. " Vraiment. Ce n'est pas que je remets en doute leurs ''propriétés'', bien au contraire. Et puis, je n'oserai pas insulté la profession d'une si jolie demoiselle. Avec votre sourire, je suis sûre que vous arriveriez à vendre un livre à un aveugle. "Bien que le compliment soit très grossièrement lancé dans la marre aux grenouilles, Alexys émit un petit rire. Il était vrai que plus jeune, Aëlynn n'avait pas vraiment marqué de sa beauté l'esprit du jeune homme qui a cet âge, pensait plus à jouer au playmobil qu'à draguer les petites filles. Mais aujourd'hui ... Quelle beauté. D'ailleurs, Alexys se souvenait très bien du jour où il avait revu la jeune femme par le plus grand des hasards. Comme à son habitude, Alexys traînait dans le parc municipal sans réel but, si ce n'est que d'observer les nuages. C'est à ce moment-là qu'elle apparue sur le sentier non loin de lui, telle une déesse tombée du ciel. Les cheveux virevoltant à la brise légère, sa démarche affirmée, son sourire ... Oh son sourire... Aussi flamboyant que le soleil. L'image semblait irréelle. Jamais une femme n'avait su attirer son regard de cette façon. Sans vraiment savoir le pourquoi, du comment, Alexys se sentait comme attiré vers elle. D'ailleurs, il chercha par tous les moyens à la revoir. Ce n'est que bien plus tard, qu'il découvrit que la jeune femme n'était autre que son ancienne voisine. Puisque gentiment Aëlynn lui tendit un livre afin de combler son manque de connaissances en matière de pierre, Alexys n'eue pas le cœur à lui refuser. Tout en lui souriant, il lui pris des mains. Pour être tout à fait honnête, Alexys se sentait déçu que la jeune femme ne se souvienne pas de lui. Avec ses bouclettes blondes, il pensait être inoubliable dans l'esprit des gens. A croire que le ressenti que le jeune garçon avait à cette époque envers elle, était réciproque. Même si à son habitude, Alexys avait l'art d'insister lorsqu'il voulait obtenir quelque chose, cette fois-ci, il n'en était rien. Cette fille avait ce genre d'emprise sur lui, sans s'en rendre compte. Il ne voulait pas la brusquer. Et puis, il avait tout son temps. Après tout, le jeune homme était vampire maintenant. Alors s'il fallait d'abord passer par le stade connaissance et ami afin d'acquérir sa confiance, Alexys comptait bien le faire. D'ailleurs, depuis tout ce temps, le jeune homme ne s'était même pas posé la question de savoir si Aëlynn avait quelqu'un dans sa vie ? De toute façon quoi qu'il en était, Alexys comptait bien rentrer dans la vie d'Aëlynn comme une petite puce. D'abord, invisible. Ensuite, envahissante. Et quand on se rend compte qu'elle est indélogeable, il est déjà trop tard, vous êtes mordu. Le jeune homme était loin d'être un expert en amour. D'ailleurs, pouvait-on réellement parler d'amour ? L'amour ? Quesako ? Alexys n'avait jamais aimé. Mais par contre, rien ne l'arrêter. Dans le genre déterminé, c'était un expert. L'espace d'un instant, Alexys ne compris pas trop ce qui venait de se passer. Alors qu'il s'était résigné pour cette fois, à ce qu'Aëlynn ne le reconnaisse pas, cette dernière cita son prénom et se retrouva l'instant d'après en mode table bancale contre un meuble. D'une âme chevaleresque, le jeune homme s'approcha d'elle et lui tendit sa main afin de l'aider à se remettre sur ses jambes, tout en lui souriant." Si on m'avait dit que citer mon prénom procurait cet effet, je ne t'aurai pas demandé si tu me reconnaissais ... Tu ne t'es pas fait mal, j'espère ? "Un rapide coup d’œil et de narines, permit à Alexys de supposer que la jeune femme n'avait rien. Le choc n'avait pas été violent mais tout de même. Cependant, même si Alexys avait pris l'accident comme une maladresse, il se surpris à se demander pourquoi Aëlynn avait un air aussi triste. " Si j'avais su que me revoir te déplairait autant, je n'aurai rien dit. "Le jeune homme était un peu blessé par la réaction de la jeune femme. D'ailleurs, sa mine charmeuse laissa place à un petit rictus gêné. Même s'ils n'avaient jamais été aussi proche qu'une moule et son rocher, Alexys espérait quand même un peu plus d'enthousiasme. Un peu comme lorsqu'on retombe sur son vieux survêtement préféré qu'on avait oublié de mettre au lavage depuis un mois et qu'on pensait avoir perdu ... Tenant fermement le livre que lui avait donné plus tôt Aëlynn dans sa main gauche, le jeune homme jeta un rapide coup d’œil à l'environnement. Une deuxième vendeuse se tenait à la caisse et par miracle, elle ne semblait pas occupée. Grimaçant légèrement avant de soupirer doucement, Alexys lui sourit timidement un instant." Je ne vais pas te déranger plus longtemps. Tu dois surement être occupée. "Était-ce l'unique échappatoire pour se tirer de cette situation plutôt embarrassante. Bien qu'Alexys n'avait pas envie de partir aussi précipitamment, la tournure de la situation l’exigeait. En tout cas, il n'aurait jamais imaginé que leurs retrouvailles se dérouleraient de la sorte ... Et Me*de !! CODAGE PAR AMATISDernière édition par Alexys Ellis le Mer 17 Juin - 026, édité 1 fois Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628Célébrité Adélaïde & Crédit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson › Tu es la lumière qui me permet de me retrouver face à cette obscurité qui m'entoure. Tu sais, tu as beau être tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est à l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonné toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrêter de le faire. Alvy Stuart › A Stuart › Aylin Stuart ›réponses rps 81 Re Back to 7 Juin - 017 BACK TO YOU❦ Était-ce bien sérieux de se laisser charmé de la sorte en plein milieu du magasin, de ton magasin ? Tu connaissais bien la réponse, cela ne se faisait pas. Mais combien de personne pouvait nous transporter en si peu de seconde avec un regard, une odeur, un sourire ? C'était juste irréelle, oui, c'était ça le terme, lui et toute cette énergie qui se passait entre vous... Tu croyais férocement aux âmes sœurs, tu croyais réellement que deux personnes étaient destinée tout comme tu croyais farouchement qu'on pouvait aimer plus d'une personne en même temps et encore plus tout le long d'une vie, qu'on pouvait tomber amoureux plusieurs fois lors de notre passage sur terre, mais pour l'âme-soeur, sa moitié, il n'y en avait qu'une. Et c'est donc comme cette évidence qui te frappa l'esprit... Pourtant, tu étais déjà tombée amoureuse, tu avais déjà connu l'amour, le bonheur, un homme dont tu étais persuadé que tu finirais avec, où tu avais rêvé de construire une famille, un empire avec. Tu l'avais aimé de tout ton cœur, pourtant, tu devais bien le reconnaître... Même s'il y avait eu de l'amour et de la complicité, de la tendresse et du respect... Il n'y avait pas cette attraction incontrôlable, cette attirance déchaînée. Tu n'étais qu'un pantin manipulé par le fil du destin. Il est vrai que tu t'étais souvent imaginé avoir un fil invisible au-dessus de ta tête où l'univers dirigeait avec un sadisme sans borne. Tu le regardas, rougissante à nouveau avant de regarder le sol, son regard d'un bleu/vert si magnifique en était trop pour toi, incapable de le soutenir sans perdre tout sens de la réalité Et vous, guérir toutes les mamies avec un regard pareil » Répliquas-tu doucement en rentrant dans son jeu, sans pour autant te mettre en danger plus que tu ne le faisais déjà. Et tu pensais qu'il ne pourrait pas plus t'atteindre, mais tu te trompais lourdement... Ce sourire qu'il venait d'afficher, tu le connaissais, tu le connaissais pour avoir vécu une belle histoire d'amour avec un autre qui possédait la même, un homme que le destin t'avait arraché. Ce charme familial. En prononçant son prénom et voyant son visage confirmer que c'était bien lui, tu reculas, comme pour te protéger de cette attraction. Tu étais pourtant si prête à te laisser embarquée dans ce bateau mystérieux, mais cette révélation te fit froid dans le dos. Comment se pouvait-il que celui que tu croyais être ton âme sœur soit le cousin de l'homme avec qui tu devais t'unir pour la vie ? Tel un chevalier, il t'aida à te remettre sur pied, à contre cœur, tu acceptas. Son touché, le seul touché de sa main sur la tienne te donna des frissons et ta douleur et ta colère refirent surface. Bien sûr que je n'étais pas ravie de le voir, tu l'avais tellement maudits ces dernières années, il avait abandonné son cousin, son cousin qui le considérait comme son meilleur ami, comme son confident Tu n'as jamais été très sympa avec moi lorsque nous étions enfants » Répondis-tu, c'était une demi vérité, mais bien sûr, ce n'était pas les souvenirs et les comportements d'enfants qui te repoussait chez lui, c'était le fait qu'il n'avait même pas été présent pour les obsèques de ton fiancé, de son propre cousin, et cela, ce n'était pas pardonnable pour toi. Tu t'éloignas de nouveau de lui, faisant attention cette fois, croisant les bras tandis qu'il avait pour projet de partir et d'aller rejoindre la caisse. Tu le laissais faire ses achats. Comme bloquée, paralysée, tu ne bougeais pas. Une part de toi te suppliait de ne pas le laisser partir comme ça, sur cette note frustration et surtout, ce n'était pas ton genre de ne pas dire ce que tu pensais. Il quitta le magasin, tu avais détourné la tête quand tu sentis son regard une dernière fois se poser sur toi. Et c'est à peine la porte fermée que tes jambes et ton esprit reprirent contenance. Sans un mot, tu quittais le magasin à ton tour James » t'écrias-tu alors James tenait énormément à toi, il parlait souvent de toi, constamment, tu n'étais pas que son cousin, tu étais son frère, son meilleur ami, son confident » Fis-tu donc tandis que le blond se retourna Et il est mort, il est mort et tu n'as rien fait... Tu n'as même pas été présent lors de ses funérailles... Comment as-tu pu lui faire ça ? » Demandas-tu, la larme roula le long de ta joue. Tu ne savais pas si c'était une larme de colère ou de tristesse, peut-être même bien les deux, qui sait. ⇜ code by bat'phanie ⇝ Aëlynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rêves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittée et qui ont changé mes idées ils se sont infiltrés en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altéré la couleur de mon esprit. Invité Invité Re Back to 17 Juin - 023Back To YouFeat Aëlynn & Alexys☾☾Cette situation, Alexys ne l'avait jamais vécue auparavant. Il y avait toujours une première à tout. C'est vrai. Mais, le jeune homme détestait se sentir impuissant. Et quelle ironie lorsqu'un vampire se sentait impuissant. Perdu entre un sentiment étrange qu'il ne pouvait comparer à aucun autre, et un sentiment de jet-lag complet. Un peu comme si un train lui était roulé dessus. Plus rien n'avait de sens. Cette Aëlynn, Alexys l'avait déjà tellement méprisé étant enfant. A juste titre. Comment aimer une gamine aussi collant qu'un chewing-gum collé à une basket ? Où qu'ils allaient, la petite fille les suivait. Gentille ? Elle l'était. Mais, la gentillesse ne faisait pas tout. C'est sûrement la raison pour laquelle Alexys se sentait aussi perdu à l'instant précis. Comment avait-il pu penser de telle chose alors qu'aujourd'hui, la petite moche l'attirait comme jamais personne ne l'avait fait ? Pendant tout un temps, il avait pensé à un effet secondaire au vampirisme. Cependant, après de nombreuses recherches dans la littérature existante sur le monde surnaturel, rien n'avait été démontré à ce sujet. Et évidemment, Twilight n'était pas une référence, hein !Alors qu'Alexys dévorait littéralement du regard la jeune Aëlynn, la réalité le rattrapa aussi vite que la vitesse de la lumière. Pouf. Hypercute. KO total. Que répondre à ça ? La jeune femme avait totalement raison. Dès le moment où Alexys avait révélé son identité, l'ambiance avait brusquement changé. Le charme semblait avoir laissé sa place à l'amertume. Le jeune homme n'avait pas l'habitude de perdre le contrôle. Il ne pouvait pas se défiler alors qu'il venait de faire le plus gros du travail d'approche. Un peu comme à la chasse, le plus important, c'était d'approcher de l'animal sans qu'il ne fuit. Maintenant que cette étape était passée, il ne restait plus qu'à apprivoiser la tigresse qui lui lançait des regards aussi enflammés que des mitraillettes prêtes à faire feux à tout moment. Je … Euh. Disons simplement que l'âge fait mûrir notre intelligence. C'est bien connu … »Alexys balbutia ces quelques mots avec beaucoup de difficultés. Comment justifier la bêtise de sa jeunesse ? Après tout, il n'y avait que les idiots qui ne changeaient jamais d'avis … Mais quel idiot ! Quel idiot faisait-il maintenant ! Alexys avait beau avoir eu des dizaines de filles dans ses bras, jamais aucune d'entre elles, ne l'avaient bouleversé comme le faisait la jeune femme. Même un million de leurs Je t'aime », n'ont jamais réussi à faire fondre son cœur de glace. Comment expliquer qu'un simple battement de ses cils, l'enflammait instantanément ? Chacun de ses sourires réchauffaient son âme. La regarder, était un réel plaisir. Une réelle obsession. Un réel besoin. Cette rencontre, Alexys en avait souvent rêvé. Et pourtant, la tournure que prenait cette conversation, frôlait bientôt la sensation désagréable, Alexys l'avait ressenti en aidant Aëlynn. Le détestait-elle autant pour frissonner de cette façon à son contact ? Jetant un coup d’œil rapide à sa main, le jeune homme resta bloqué un instant. Ses pensées déferlaient dans son esprit comme les rapides d'une rivière tourmentée. Beaucoup de sentiments se bousculaient. Devait-il être exécrable avec elle ? Devait-il la pousser d'où il l'avait aidé à sortir pour se venger de sa réaction ? Devait-il lui avouer son obsession ? Où devait-il tout simplement fuir ? La fuite n'avait jamais été sa meilleure tactique. En d'autres temps, il l'aurait sûrement repoussé dans le meuble sur lequel, elle était tombée. Se moquant royalement de sa douleur. Étrangement, c'est la fuite que choisit Alexys. Un lâche. Voilà ce qu'il était pour le que ses achats étaient réglés, Alexys pouvaient prendre ses jambes à son cou et partir loin. Très loin de cette boutique. Cette boutique, le jeune homme n'y aurait jamais mis les pieds s'il n'avait pas eu pitié de cette petite vieille aux yeux de biche. Pourtant, en posant sa main sur la poignée, un sentiment de regret le traversa comme un coup de poignard en plein cœur. L'espace d'un instant, la vision de cette femme marchant dans ce parc, repassa devant ses yeux. Elle, qui l'avait tant obnubilé depuis ce jour. Devait-il s'avouer vaincu aussi facilement ? Lui qui avait tellement espéré ce contact … Aussi simple et bref avait-il été … Rapidement, le jeune homme pesa le pour et le contre. Mais pourquoi rester alors que sa présence semblait déranger la jeune femme au plus haut point ? C'est donc avec beaucoup d'amertume qu'Alexys ouvrit la porte et sortit de la boutique, jetant un dernier regard désespéré à la jeune femme, avant de tourner les talents. Puisqu'il était en possession de l'huile, autant la ramener à la petite vieille. Et puis, autant lui donner le livre par la même occasion. Alexys ne voulait garder aucun souvenir de cette rencontre. Le mieux, était de tout donner. Pourtant, alors que ses pensées s'entrechoquaient entre-elles, telles des boules de pétanque qu'on lançait lors d'un tournoi, le jeune homme entendit des pas très rapides qui se dirigeaient dans sa direction. Ne voulant pas paraître désespéré, Alexys ne se retourna pas pour assouvir sa curiosité ardente. Pourtant, le prénom que prononça au loin la jeune femme, fit stopper net Alexys. La suite de son discours, finit par le scotcher littéralement. Pourquoi accordait-elle tout à coup, autant d'importance à James, son cousin ? Alexys ne comprenait pas un traitre mot de ce que déblatérait Aëlynn. D'ailleurs quand il se retourna pour lui faire face, la vision qui lui fit face, le choqua profondément. Pourquoi pleurait-elle ? Pourquoi semblait-elle aussi atteinte par la mort de James ? Enfin la mort … James ne valsait pas avec les vers de terre, certes. Mais ça, Alexys ne pouvait l'avouer à la jeune femme. La seule chose qu'il avait envie de faire … C'était de lui crier dessus. Une vague de colère l'envahit. Que sais-tu vraiment de notre relation avec James ? Qui es-tu pour me juger ? Que sais-tu de moi ? De ma vie ? De mon passé ? Comment peux-tu te permettre de me faire la morale de la sorte alors que je ne t'aurai même pas donné l'heure, il y a quelques années ? Ne fais pas comme ci tes pleures m'attendrissaient au point de me justifier, Aëlynn. Je n'ai de compte à rendre auprès de personne. »Dur. Les mots que venaient d'employer Alexys, étaient durs. Très durs. Même trop durs. Le jeune homme se sentait en colère. La colère étant amplifiée par le côté vampirique, le rendait encore plus exécrable qu'avant. Il n'avait pris aucune pincette avec Aëlynn. Alexys avait simplement balancé les premières remarques qui lui étaient venues à l'esprit. Au risque de blesser la jeune femme. D'ailleurs, l'état dans lequel elle se trouvait, l’énervait autant qu'il l'intriguait. Pourquoi réagissait-elle comme ça ? Quelle relation pouvait-elle bien entretenir avec James pour se mettre à pleurer ? Alexys avait toujours su que si la jeune femme les collait étant jeune, c'était sûrement parce qu'elle en pinçait pour l'un d'eux. Pourtant, James n'avait jamais fait d'allusion à son sujet. Alexys savait que son cousin entretenait une relation avec une jeune femme, au point de vouloir l'épouser mais jamais, James n'avait fait d'allusion à Aëlynn. Il disait sans cesse qu'Alexys ne le connaissait pas. Se pourrait-il qu'il lui aie menti ? Non. Cela ne pouvait être vrai … Alexys sentait la jalousie lui monter aux joues. Ses poings se serraient au point décrasser totalement la poignée du sac contenant l'huile et le livre. Beaucoup de scénarios se jouaient dans son esprit. Le pire d'entre tous, c'était sûrement celui dans lequel Aëlynn jouait la fiancée éprise de son défunt qui n'était pas si défunt que ça. Le meilleur ? C'était sûrement celui dans lequel la jeune femme jouait simplement l'amie d'enfance un peu rabat-joie. Finalement, c'est celui que le jeune homme décida de choisir pour apaiser ses émotions, parties un peu trop en vrille. L'instinct animal du vampire s'était réveillé. Un peu comme si ses émotions étaient passées en Off. Même s'il ne l'avouera jamais, entendre Aëlynn s'inquiétait de ce qu'avait pu vivre ou ressentir un autre homme que lui, le rendait fou. Malade. Malade de jalousie. Ou tout simplement malade d'amour pour la jeune femme ? Quoi qu'il en soit, Alexys ne comptait pas se dégonfler. Il devait savoir. Elle devait passer aux vœux. Qu'elle le veuille ou non. D'un pas un peu trop décidé, il s'avança vers la jeune femme. Croisant ses bras sur sa poitrine, le sac pendait contre son torse, il nargua Aëlynn du regard, arborant cet air suffisant qui l'avait tant caractérisé auprès de ses anciennes conquêtes, signe que la tempête était proche … D'ailleurs, que nous vaut cette soudaine considération ? Il y a quelques instants, tu m'as rappelé à quel point je te méprisais quand nous étions enfants. Pourquoi penses-tu qu'il n'en était pas de même pour James ? Tu penses avoir eu la moindre importance pour lui ? Je rêve. Tu te prends pour sa copine ou quoi ? Qui étais-tu pour lui ? Qui étais-tu pour te permettre de me faire un sermon sur mon devoir de cousin de la sorte ? Stuart, je ne suis plus cet enfant que tu peux sermonner comme bon te semble. Grandis un peu. Si je n'étais pas présent, c'est sûrement parce que j'avais mes raisons. Et ces raisons, elles ne concernent que moi. "Qui a dit que les retrouvailles devaient toujours être joyeuses ? Ce qui était sûr, c'était que l’impertinence et l’arrogance d'Alexys, allaient sûrement lui jouer des tours … CODAGE PAR AMATIS Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628Célébrité Adélaïde & Crédit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson › Tu es la lumière qui me permet de me retrouver face à cette obscurité qui m'entoure. Tu sais, tu as beau être tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est à l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonné toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrêter de le faire. Alvy Stuart › A Stuart › Aylin Stuart ›réponses rps 81 Re Back to 18 Juin - 021 BACK TO YOU❦ Comment cela était-il possible de changer d'une situation de tout au tout en une fraction de seconde. Tu étais grossièrement en train de flirter avec lui en pleins milieu de ton magasin, rougissante comme une adolescente avec le cœur en crise de tachycardie et l'instant d'après, la colère, la tristesse et la rancune t’enivras. C'est dingue comme l'identité d'une personne pouvait jouer sur l'aspect relationnel. Tu tombes en amour et ensuite tu haïs instantanément, le tout, en un prénom. Bien sûr, dit comme cela pouvait bien être ridicule, mais au final, il était devenu un homme grand beau et très séduisant... Mais cela ne changeait pas réellement qui il était et ce qu'il avait fait.. Enfin, ce qu'il n'avait pas fait dans ce cas contraire. Et toi, tu ne pouvais pas te sentir plus bête, tombée sous le charme pour la première fois depuis la mort de l'homme que tu aimais de son cousin. C'était véritablement le comble. Tu étais pourtant la première à insulter les filles de série télé qui passe de frère en frère ou bien alors de gars en gars dans la même bande de pote, les insultés de filles faciles et d'hypocrite. Au final, tu étais exactement pareil. Et tu te mis à froncer les sourcils, si James était encore vivante, aurais-tu ressentie cette attirance et cette connexion indéniable avec le revenant blond ? Tu ne savais pas répondre à cette question, et au final tu ne préférais pas savoir. Bien entendu, rien ne justifiais la situation, et malgré son identité connu, la sensation de sa peau contre la tienne quand il t'aida à te relever te fit plus d'effet que tu ne le voulais. Indéniablement, il avait ce pouvoir sur toi, du moins, sur ton corps et ton cœur qui était incontrôlable, mais ton esprit et ton âme ne pouvait l'accepter. Alors, justifier l'enfance pour excuse de ta réaction était la seule et la première chose qui te vint à l'esprit Oui c'est vrai, on change tous » Répondis-tu gênée par la situation, par ce tourment entre ta tête et ton cœur. Sans oubliée du coup, cette atmosphère palpable, cette situation oppressante et le malaise qui se dégageait au final. Tu soufflais et fermais les yeux quand il partit régler ses achats et tu essayais de reprendre tes esprits, mais c'était impossible pour toi. Tu ne pouvais pas faire comme si de rien était, tu étais bien trop franche et bien trop grande bouche pour laisser croire à un simple souvenir d'enfance alors que ta rancune était bien plus profonde, bien plus enracinée dans tes entrailles. Et c'est alors qu'il partit de l'établissement que tu réagissais enfin. Sans prévenir ta vendeuse, tu quittas à ton tour le magasin pour ouvrir ton cœur à cet homme si mystérieux. Après avoir sortit tout ce que tu avais sur le cœur, il s'était retourné et tu pouvais voir la peine et la colère dans son regard et aussi dans l'aura qu'il dégageait. Bien entendu, tu avais était dure avec lui. Et sa réponse ne se fit pas tarder. Tu baissais un instant le regard, il avait pas tort au final, qui étais-tu pour le juger, que savais-tu de lui. Tu te mordis la lèvre inférieure et surtout, tu ne compris pas tout de suite la suite de son dialogue et tu ne savais pas vraiment comment réagir et surtout une intense colère naquit vers l'homme que tu avais tant aimé. Alexys n'était-il donc pas au courant pour elle et son cousin ? Ne lui avait-il pas dit ? Pourtant, quand il te parlait de son cousin, il disait qu'il y avait une transparence entre les deux. Qu'ils étaient proches et qu'ils se disaient tout. Qui lui avait même proposer d'être son témoin à son mariage, mais au final, peut-être qu'il en était rien. James lui avait menti, avait-il honte de toi ? Du souvenir qu'Alexys avait envers ta personne ? Tu respiras fortement, levant la tête, lui faisant face avec un regard sévère. Tu n'étais certainement pas le genre de femme à te laisser marcher dessus ou t'écraser. Tu étais une Stuart après tout C'est vrai, je n'ai pas à te juger et je ne te connais pas, pourquoi es-tu revenu que maintenant ? Et qui es-tu ? » Répliquas-tu en croisant les bras en le défiant du regard. Bien entendu, il continua dans son discours et tu levas les yeux Non, ce n'était pas le cas de James, de votre trio de copain tu étais bien le seul à ne pas vouloir m'accepter » Fis-tu alors Et au final à la seconde où tu es parti, James et Angel sont restés tous les jours avec Soline et moi, et toi, tu n'existais plus... On se portait bien mieux avec aucune négativité, négativité que tu dégageais à chaque fois » Repris-tu donc. Avec sa révélation, tu préférais pas lui révéler ta vraie relation avec son cousin, parce que déjà il ne méritait pas de savoir, ça ne le regardais pas. Mais d'une certaine manière, tu étais blessée que James ne l'ai jamais fait et du coup, tu avais besoin de temps pour accuser le coup de cette histoire Je ne suis pas du genre à sermonner, je ne sais pas pour qui tu me prends, mais de toute évidence tu te trompe de personne, ta mémoire est de toute évidence, défaillante » Fis-tu, une pointe blessée d'avantage. Bon d'accord, tu avais toujours eu tendance à donner ton avis sur tout, mais de là à sermonner les autres, c'était un peu fort quand même. Et tout en cette situation était que tu repartes dans ton magasin, qu'il parte de son côté à lui aussi. Mais sans que tu ne saches pourquoi, une partie de toi ne voulait pas, ne pouvait pas s'en aller loin de lui, pas sur cette tension si mauvaise. Car, de toute évidence, tu avais peur de ne plus jamais le revoir et c'était tellement contradictoire avec toute la situation. Ce n'était à ne plus rien y comprendre. En cet instant, tu avais envie qu'Angel et Soline soit présente, qu'ils t'expliquent et qu'ils te disent quoi faire, comment agir et réagir. ⇜ code by bat'phanie ⇝ Aëlynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rêves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittée et qui ont changé mes idées ils se sont infiltrés en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altéré la couleur de mon esprit. Invité Invité Re Back to 18 Juin - 2156Back To YouFeat Aëlynn & Alexys☾☾Qui était-il ? Qui était-il ? That is the question. Cette question, Alexys se l'était souvent posé ces derniers temps. Entre sa transformation, celle de James et l'attirance inexplicable qu'il éprouvait envers la belle brunette, le jeune homme ne se reconnaissait plus. Tantôt le loup dans la bergerie, tantôt le mouton prêt à se faire dévorer par le loup. Sa transformation n'avait pas été un moment des plus agréable. Ne se considérant plus comme un humain, le jeune homme avait repris goût aux joies et aux peines de la vie humaine qu'il avait perdu grâce à son travail. Tenter de sauver des gens à la place d'en tuer, victime de ses pulsions meurtrières de vampire, était d'un grand bonheur dans sa vie. Puis la descente aux enfers était repartie avec la transformation de James, son cousin. Même si Alexys s'était souvent reproché d'avoir donné cette fiole de sang, James semblait profiter pleinement de sa nouvelle vie et c'est ce qui était le plus important. Vivre le conflit perpétuel que vivait quotidiennement le jeune homme, n'était à souhaiter à personne. Finalement, la donne avait réellement changé lorsqu'Aëlynn rentra de nouveau dans sa vie. Lorsqu'Alexys la voyait au loin, c'était un peu comme si la gravitation ne le retenait plus, flottant sur son petit nuage. La regarder lui procurait de l'apaisement. Cet apaisement qu'il n'espérait plus depuis ces dernières années. Malheureusement, il est des choses qu'on ne peut jamais avouer. Surtout pas maintenant qu'Aëlynn lui aie mis les nerfs en boule. Hors de question. Il était hors de question qu'Alexys crache le morceau. Sa fierté oblige. Je vais te le répéter puisque tu sembles ne pas comprendre ce que je te dis … » Dit-il en se penchant légèrement vers elle. La raison pour laquelle je suis revenu, ne te regarde absolument pas. Et quand bien même. Je suis né ici. Faut-il vraiment une raison pour revenir ? A t'entendre, j'ai l'impression de passer un interrogatoire devant l'immigration ! » Dire qu'être désagréable avec la jeune femme l'amusait, était très exagéré. Alexys n'avait aucune envie de lui balancer son venin. Mais puisqu'elle l'avait cherché et puisqu'il ne pouvait pas lui avouer qu'il était en réalité, irrémédiablement fou d'elle, le jeune homme n'avait pas d'autres choix que d'être aussi naturel que possible. Après tout, ce caractère de cochon, il l'avait toujours eu. C'est juste qu'avec elle, il devenait un petit canard. D'ailleurs, depuis que le jeune homme avait révélé son identité, Aëlynn ne se gênait pas pour lui rappeler sans cesse. Cependant, la suite de ses paroles commença réellement à le consumer de l'intérieur. Ses yeux étaient plus qu'en Fire, consumé par la jalousie. Si tu crois vraiment ça, c'est que tu es encore plus idiote que dans mes souvenirs ! » Dit-il dans un sourire narquois. Comment peux-tu être aussi sûre de ce que tu avances ? Même si je n'étais plus là, j'échangeais avec James fréquemment. C'est juste qu'il n'osait pas t'avouer à quel point tu étais envahissante et oppressante rien de plus. »Plus Aëlynn tentait de défendre James, plus Alexys devenait cinglant dans les mots qu'il employait. L'entendre dire que tout ce qu'il incarnait une fois parti, n'existait plus, le blessait sincèrement. Alexys avouait avec beaucoup de mal, avoir été injuste avec elle en étant enfant mais comment avait-elle pû devenir aussi blessante ? Finalement, plus la conversation avançait, plus le jeune homme se rendait compte que la petite fille fragile qu'il avait connu, n'existait plus. La jeune femme semblait plus forte, plus déterminée. Et même si cela lui plaisait beaucoup, se disant qu'il avait enfin trouvé quelqu'un à sa hauteur, certaines de ses répliques lui plaisaient vachement moins. Finalement, Alexys avait la simple impression que toute cette histoire allait mal se terminer. Aëlynn ne semblait pas vouloir se faire malmenée par le jeune homme, et ce dernier était bien décidé à avoir le dernier mot sur tout ce que dirait la jeune homme, convaincu qu'il avait toujours raison, même contre vents et marées. Au bord de l'implosion, son sang ne faisant qu'un tour dans son corps, Alexys laissa tomber le sac qu'il tenait toujours dans ses mains et s'approcha dangereusement d'Aëlynn. Son sourire crispait, n'annonçant rien de bon, il posa ses mains sur les épaules de la jeune femme et les serra légèrement, son visage s'étant rapproché du sien afin de lui susurrer dans un semblant de calme les mots qui allaient suivre. Tu sais quoi ma belle ? Pense ce-que-tu-veux de moi, je m'en contre-fiche totalement. D'autres me supplieront à ta place pour leur donner le peu d'attention que je te porte depuis toute à l'heure. Te crois-tu aussi irrésistible pour que je tolère que tu me traites de la sorte ? A moins que tu me voues un amour irrationnel, le fait que nous nous sommes connu étant enfant, ne te donne aucun droit sur moi. Mais puisque tu sembles accorder tant d'importance à James, je vais te dire une bonne chose … »Alexys s'éloigna du visage de la jeune femme et recula de deux pas, son regard noir comme le fond de l'océan, fixant avec insistance celui de la jeune femme. Sa folie bestiale ayant repris le dessus. C'était un peu comme si son cœur meurtri par la haine que lui vouait la jeune femme en cet instant, s'était mis en OFF afin de limiter la souffrance. Il ne t'a jamais vraiment apprécié. La seule chose et unique chose qui l'a fait se rapprocher de toi ... C'est le vide que j'ai laissé après mon départ. Rien de plus. Alors arrête de croire au prince charmant sur son beau cheval blanc. Car sans vouloir te décevoir, il n'existe pas. Ou du moins … Plus. »Alexys avait cruellement besoin de savoir jusqu'où Aëlynn était prête à aller pour sauver la mémoire de James. Étrangement, le jeune homme avait l'impression que l'amitié était certainement plus que ce qui liait la jeune femme à son cousin. Et ça, il ne pouvait l'admettre. Mais était-il prêt à perdre Aëlynn ?CODAGE PAR AMATIS Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628Célébrité Adélaïde & Crédit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson › Tu es la lumière qui me permet de me retrouver face à cette obscurité qui m'entoure. Tu sais, tu as beau être tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est à l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonné toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrêter de le faire. Alvy Stuart › A Stuart › Aylin Stuart ›réponses rps 81 Re Back to 18 Juin - 2348 BACK TO YOU❦ Tu avais beau avoir une attirance certaine pour cet individu, son caractère te repoussait au plus haut point et au fur et à mesure que le ton montait entre vous, tu le revoyais enfant. Il avait toujours été si méchant et désagréable. Pas seulement qu'avec toi, mais aussi avec les autres hormis ses deux meilleurs copains. Et le voir comme ça, tu pouvais bien te demander comment pouvait-il être si gentil avec des petites mamies et horribles avec les autres ? Comme s'il était deux personnes différentes en même temps. Mais cela ne changeait pas la douleur qu'il représentait pour toi, incontestablement, tu ne pouvais que l'identifier à l'amour que tu as perdu. Et tu ne comprenais pas tout, comment pouvait-il dire tout cela, comment ne pouvait-il pas savoir pour son cousin ? Il avait pourtant invité au mariage. A part si, également de ton côté, il y avait eu que des mensonges. Mais qui croire, il était si facile de mentir quand l'autre personne ne pouvait se défendre. Et tu te détestais de croire ce que le magnifique et détestable blond te disait, salissant alors la mémoire de celui que tu avais toujours aimée. Le tout en quelques minutes. Et vexée de cette situation, tu préférais garder pour toi le lien qui t'unissait avec son cousin, il valait mieux car tu savais qu'il trouverait rien de mieux à faire que de te faire douter de l'amour que James te portait et ça, il en était impossible. Tu avais aimée terriblement James et il était amoureux de toi, il te le disait constamment, après tout, c'est lui qui voulait que tu deviennes sa femme. Tu repris contenance, tu ne voulais pas montrer que toutes ses accusations t'atteignait bien plus qu'il ne le pensait. Il en serait trop content. Et tu ne comprenais pas pourquoi, James qui était un amour et lui un horrible personnage. Etait-il réellement cousin ? Tu te le demandais pour le coup. Tu ouvris la bouche pour répliquer, mais aucun mot ne sortit. Après tout, la raison de son retour ne concernait que lui c'est vrai, mais pourquoi n'était-il pas venu alors pour l'enterrement de son cousin, son cher cousin qui l'adore comme il le prouve si bien. Tu te mordis la lèvre pour ne pas revenir sur le sujet, tu étais têtue et tu avais bien l'intention de savoir la vérité. Tu croisais les bras en le toisant sévèrement Et toi, comment peux-tu être un connard arrogant et prétentieux à ce point ? Tu disais que tu avais changé et au final, je constate que tu es toujours ce gosse avec un caractère de merde, une vie si pourrie qu'il se venge sur les autres » Répliquas-tu, tu l'avais toujours penser, il devait avoir une vie si triste pour être si mauvais avec tout ceux qui l'entoure, c'était souvent comme ça Bien sûr que je sais que tu échangeais avec lui, tout comme il t'avait demandé d'être témoin à son mariage, crois-tu vraiment qu'il te disait tout ? Je ne pense pas, James disait bien ce qui l'arrangeait parfois » Fis-tu alors déterminée et tu t’injurias, tu étais vraiment horrible de tout remettre la faute sur James, en cet instant, tu ne valais pas mieux que celui qui te faisait face. Cet homme qui justement, s'approchait dangereusement de toi et le fait de le sentir si proche de toi malgré la colère que tu nourrissais pour lui, fis comme tout à l'heure. Ton cœur battait vite et cette sensation de te sentir comme une petite chose. Tu ne comprenais pas ce pouvoir si puissant qu'il avait sur toi, son odeur, son souffle. Cela te faisait tourner la tête. Heureusement, si on peut dire cela, qu'il te fit mal cela rendait cette proximité différente tandis qu'il continua de déverser ses paroles haineuses. Tu répliquas pas sur ce qu'il disait, tu te doutais bien qu'il devait être vexer d'avoir été remplacer aussi rapidement et que son absence n'est changé strictement rien sur la petite bande, et plus encore, qu'elle se portait encore mieux sans lui. Tu reculas à nouveau et tu compris, du moins, tu espérais être dans le vrai.. Cette méchanceté, était-elle pour la même raison que la tienne ? Ou alors étais-ce vraiment de la connerie Alexys, comment peux-tu parler de lui ainsi ? J'ai bien honte d'insulter sa mémoire en agissant ainsi, James t'aimait vraiment beaucoup et là c'est n'importe quoi, j'ai tellement de chose à te dire, si tu savais. Mais par respect pour lui et son souvenir, je préfère me taire c'est mieux ainsi... » Fis-tu de manière plus posée, tu aurais pus continuer pendant des heures, mais tu n'étais pas si méchante que lui et cela ne t'amusait pas de blessée les autres. ⇜ code by bat'phanie ⇝ Aëlynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rêves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittée et qui ont changé mes idées ils se sont infiltrés en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altéré la couleur de mon esprit. Invité Invité Re Back to 19 Juin - 2324Back To YouFeat Aëlynn & Alexys☾☾Il y avait un dicton célèbre qui disait Qui aime bien, châtie bien ! ». Pour le coup, la scène qui se jouait devant la petite boutique, n'était plus de l'amour mais, de la rage. Les deux jeunes s'envoyaient sans relâche les pires méchancetés. C'était un peu à celui qui rendrait les armes en premier. Un jeu devenu dangereux au fil des minutes qui s'écoulaient. Bien trop dangereux. Même si Alexys se voulait dur dans ses paroles, pris dans le redoutable tourbillon de la jalousie, sa plus grande peur était de perdre la jeune femme. Il l'appréciait bien trop. Son souvenir le faisait sourire quand il pensait à elle lors de ses moments perdus et maintenant qu'il avait réussi à l'approcher, à lui montrer qu'il existait, la situation virait à la catastrophe. Au fond, Alexys aurait aimé faire table rase du passé. Ils n'étaient que des enfants et les enfants sont toujours méchants entre eux. A croire que la rancune que lui vouait Aëlynn était bien plus profonde qu'il ne l'aurait imaginé. Triste réalité. Tu as raison. Je suis un connard arrogant et prétentieux. Mais contrairement à toi, je sais reconnaître mes défauts. »Oui, Alexys était un connard arrogant et prétentieux. Ca, il le savait depuis bien longtemps. D'ailleurs, chacune de ses conquêtes larguées comme de vulgaires chiffons, aimaient vanter ces traits de personnalité, aussi détestables soient-ils. Le jeune homme n'avait pas eu une vie facile. Entre le décès de ses parents alors qu'il n'était qu'un bébé, le manque d'amour paternel et maternel, la déménagement vers un pays inconnu, la maladie et puis la transformation, le karma avait plutôt été dur avec lui. Sa façon de s'exprimer, se faisait par la bagarre et l'arrogance. Tout cela ne s'apparentait qu'à un vulgaire mécanisme de défense. Rien de plus. Jamais, il n'avait laissé approcher personne à pars son cousin et sa grand-mère. C'est sûrement la raison pour laquelle, il était si dur avec les filles qu'il côtoyait. Aussi froid et impénétrable qu'un puissant glacier d’antarctique. Et pourtant, lors d'une belle journée d'été, l’apparition de la jeune femme, lui avait réchauffé le cœur. Un peu trop d'ailleurs. Lorsqu'il l'avait aperçu dans la boutique quelques minutes auparavant, Alexys espérait vraiment que la jeune femme ne tiendrait pas rigueur des événements du passé. Après tout, tout le monde pouvait changer. L'univers était rempli de seconde chance. Et pourtant, tout avait vrillé. Aëlynn ne lui avait laissé aucune chance. Et pour cela, il lui en voulait horriblement. La suite des paroles d'Aëlynn n’intéressèrent pas du tout le jeune homme qui s'était éloigné, perdu dans ses pensées. Tout ce qu'il avait retenu de tout son charabia, c'était que la jeune femme ne lui laissait aucune chance. Cette phrase, il se la répétait en boucle. Son expression commença à changer petit à petit, laissant feindre la tristesse. Alexys se sentait comme un enfant que sa mère venait d’abandonner devant les portes d'un orphelinat en lui disant que tout était de sa faute. Le plus horrible des sentiments refit surface. L'abandon. L'abandon des gens qu'on aime. C'était le pire. Aêlynn semblait vouer un culte à James, lui qui avait tout abandonné, faisant croire à ses proches qu'il était mort. Pensait-elle que c'était mieux que le départ d'Alexys contre son gré ? Le mensonge ? Pensait-elle que c'était correct d'abandonner ses proches et de leur faire subir un deuil ? Bien sûr que non. Pour elle, James était sur un pieds d'estalle. Si seulement Aëlynn savait … Continuerait-elle à le défendre bec et ongle ?Finalement, devant la résolution d'Aëlynn, Alexys baissa les armes. La regarder, devenant trop douloureux pour lui, il décida simplement de lui tourner le dos. Tu ne m'as laissé aucune chance Aëlynn. Du moment où tu m'as reconnu jusqu'à maintenant, les seules paroles qui sont sorties de ta bouche, n'ont été que reproches. », Alexys marqua une légère pause. Puisque tu sembles tout savoir sur la relation que j'entretenais avec James, même mieux que moi, tu devrais savoir que ce dont tu m'accuses, est injustifié. Mais ça, tu t'en contre-fiches. Pour toi, je ne suis que le sale gosse qui du haut de ses 10 ans, te toisait du regard. »Alexys se retourna, les yeux un peu bouleversé. Cela ne lui ressemblait pas mais les accusations de la jeune femme le touchait. Maintenant que sa colère était descendue, la dépression reprenait le dessus. Entre colère et dépression, il n'y avait qu'un pas et la limite était encore plus rapidement franchie depuis qu'Alexys était devenu un vampire. S'approchant une nouvelle fois d'Aëlynn, il posa ses mais sur ses joues, l'obligeant à le regarder dans les yeux. Me détestes-tu autant ? Pourquoi refuses-tu de croire que les gens peuvent changer ? N'y-a-t-il donc que James qui trouve grâce à tes yeux ? »Une pulsion le pris d’assaut. La proximité devenant insoutenable et tentatrice, Alexys rapprocha ses lèvres de celles de la jeune femme. Même sans les toucher, le jeune homme ressentait déjà leur douceur. Son souffle rapide sonnait comme une mélodie à ses oreilles de vampire totalement accro. Bien que ce geste apaisait légèrement son âme tourmentée, il se rendit compte rapidement qu'il ne pouvait pas la forcer. Ni à l'aimer, ni à faire quoi que ce soit d'autre. Alexys l'appréciait peut être un peu trop que pour lui infliger un baiser forcé qui n'aurait aucune saveur, aucune âme. Souvent, il s'était amusé à imaginer leur tout premier baiser et ce n'était certainement pas dans ses conditions. Totalement et désespérément résolu, Alexys se redressa et lâcha le visage de la jeune femme. Peut être qu'un jour, tu te rendras compte de l'erreur que tu viens de commettre. »Alexys alla rechercher le sac qu'il avait balancé un peu plus loin dans un soupir, et tourna les talons, s'éloignant de la jeune femme. Ce qu'elle pouvait dire maintenant, ne l’intéressait plus désormais. Puisque le jeune homme n'était qu'un connard, Aëlynn ne verrait sûrement pas d'inconvénient à ce qu'il la plante là, devant son magasin. Puisqu'il fallait savoir abandonner dans la vie, autant leur faire maintenant. CODAGE PAR AMATIS Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628Célébrité Adélaïde & Crédit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson › Tu es la lumière qui me permet de me retrouver face à cette obscurité qui m'entoure. Tu sais, tu as beau être tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est à l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonné toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrêter de le faire. Alvy Stuart › A Stuart › Aylin Stuart ›réponses rps 81 Re Back to 21 Juin - 025 BACK TO YOU❦ Toujours devant ton magasin, toujours bras croiser et toujours avec cette envie de claquer ce blondinet aux yeux magnifiquement blond. Tu avais succombé à son charme, puis tu avais découvert qui il était. Cela avait tout changé et plus les minutes s'écroulaient et plus tu découvrais sa véritable personnalité, personnalité aussi détestable qu'insupportable. Alors, les reproches continuaient d'avantage. On est d'accord sur le fait que tu avais commencé les hostilités, mais tu n'avais pas pus faire autrement, tu étais bien trop entière, bien trop franche pour garder ce que tu avais à lui dire dès l'instant où tu l'avais reconnu. Tu souris ironiquement Que sais-tu de moi également, je ne sais rien sur toi je te l'accorde, mais tu ne me connais pas non plus alors garde tes réflexions pour toi même » Répliquas-tu, tu savais que tu avais des défauts, tu en avais conscience et tu les assumais sans pour autant le dire si ouvertement comme lui, mais lui il était tellement arrogant à vouloir toujours le dernier mot qu'il ne pouvait s'en doute pas s'en empêcher après tout. C'est le principe même de ce que tu lui reprochait à côté de bien d'autres faits plus aggravant. Du moins, c'est ce que tu pensais car avec ce qu'il t'avait dit, tu commençais réellement à douter de l'homme que tu avais jadis aimé. Et alors qu'il continua à ouvrir la bouche pour déblatérer des paroles tu te mis à éclater de rire royalement, pas d'amusement on en convient, mais il venait de faire terriblement fort Te donner une chance ? Non mais tu t'es entendus, il n'y a pas une seule insulte que tu m'as épargné depuis qu'on est ici alors que je t'avais juste fait par de mon ressentie et de mon inco

Rienqu'une larme dans tes yeux. 5,559 likes · 57 talking about this. Sur cette page sera publié des citations, des poèmes, des paroles de chansons,. Objectif: 10000 likes Liker un

Le Deal du moment Cartes Pokémon où commander le coffret ... Voir le deal € MÉFAITS ACCOMPLIS™ Corbeille &&. ANCIENS RP 3 participantsAuteurMessageAlice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accélérer quand mêmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultés Spéciales //Sujet Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 111 Toujours aller de l’avant… C’est à la fois une philosophie et une raison d’être. Je ne saurais vous dire pourquoi, ni comment tout ça est arrivé mais c’est arrivé. Quand j’y repense, j’en aie des frissons. Il fallait que je fasse le point, que j’aille de l’avant, que j’imagine ma vie autrement qu’à travers ses yeux. Je ne saurais dire pourquoi, mais c’est ainsi… Ma vie ne se résume qu’à ça, qu’à ce son qui résonne entre six cordes, qu’à des paroles susurrer par le passé… Par des photos, des images qui bougent, qui me sourient, qui me déprime… »La plume s’était arrêtée. Le bruit du frottement sur le bout de parchemin s’était stoppé net, faisait place à la froideur de la nuit, à ce silence qu’Alice redoutait tant. La pluie se baladait le long de la fenêtre, les quelques bougies allumées s’étaient presque éteintes, et le crépitement du feu ne faisait plus grande impression. La jeune demoiselle contemplait la salle commune de ses grands yeux gris, cherchant un détail qui pourrait l’étonner ; mais elle la connaissait par cœur. Ses moindres coins et recoins, tout ça était devenu banal. Pucky avait trouvé le sommeil aux pieds de la jeune Alice, l’air de rien, il s’était endormit paisiblement, émettant des ronronnements qu’on aurait pu entendre à des kilomètres de là. La Lune était écarlate, telle une peinture encore fraîche qu’on n’osait pas toucher, de peur de tout gâcher…Ce tableau éphémère qui est la vie, ce tableau qu’on envisage, qu’on dévisage et puis qu’on jette, parce qu’il est démodé… C’est ça, le bonheur quelque chose qu’on jette, parce qu’il est dépassé. Alice poussa un long soupir. Elle était donc la seule à cette heure ci ? Pourtant, habituellement, les élèves restaient éveillés jusqu’à tard le soir… Oui, elle ne comprenait plus rien, à croire qu’elle était faites pour tout tenir en échec. Elle rapprocha soudain sa plume vers son petit bout de parchemin, le trempant dans l’encrier sombre qui était délicatement posé sur la table basse. D’un geste brusque, elle nota un mot…un seul. Hate » BAM ! Son cœur venait de décrocher, laissant les larmes couler le long de ses joues blanchâtres. La jeune demoiselle, à l’apparence d’une poupée en porcelaine, rapprocha délicatement ses mains de son doux visage. Elle entendait milles et une voix qui trottinaient dans sa tête…Des reproches, que ça, partout, et elles ne cessaient d’accroître. La jeune Alice serra les poings, s’empêchant de crier, mais la tentation était très forte, trop forte même… Mais elle ne devait rien dire, faire semblant, comme tous les jours de l’année. Etait-ce si difficile ? Non, bien sûr que non ! Elle était habituée à ne rien dire, à garder tout ça en secret. Son cœur était fermé à doubles tours, oui, c’était connut…Alors pourquoi craqué là, maintenant ? Pourquoi tant de solitude ? Et pourquoi pleurait-elle ? Elle-même ne savait pas pourquoi…sans doute le stress. Et quel stress. Ses mains s’étaient mises à trembler d’avantage, mais ça ne l’empêcha pas de reprendre son parchemin à présent plein de tâches d’encres. Sa plume en main, elle continua, ses larmes perlant toujours autant le long de son visage… Le fort d’un être, c’est de savoir souffrir…sans ça, il est voué à l’échec complet. Je ne suis sûrement pas assez forte, mais quand le jour viendra, je dirais tout…mais pour le moment, le jour n’est pas encore venu. »Ses yeux d’un gris éblouissant se remplissaient d’eau. De l’eau qu’on aurait voulut prendre d’un geste, pour qu’elle cesse de pleurer sur l’état du monde, pour qu’elle cesse enfin de souffrir en silence. Mais rien n’y faisait, pourtant on la voyait sourire en même temps. C’était de l’ironie… Stop. Le silence revint alors, plus rien n’aurait pu retenir son attention à part le crépitement du feu. Plus rien, même pas ces voix qui va et venaient…même pas ce bruit étrange qui venait de s’interposer entre le ronronnement de Pucky et le scintillement des bougies. En fait, quand on écoutait de plus près, c’était des bruits de pas. Alice retint alors son souffle, essayant tant bien que mal d’arrêter ses larmes…elle se mit à empoigner le bout de parchemin, puis le froissa dans tous les sens. S’en était assez ! D’un geste quasi-immédiat, elle balança la boule » à l’autre bout de la pièce…Son coeur battait la chamade, ses yeux étaient fermer, ne voulant pas voir la réalité en face tout le monde change. Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 159 Natalia restait allongée sur son lit, incapable de s’endormir, les jambes et les bras croisés, elle restaient là inerte, a réfléchir, ou plutôt a rêver, comme a son habitude. Elle ferma ses yeux quelques instants, faisant disparaître ses iris bleu, puis les rouvrit calmement, décidément, elle ne dormirais pas cette nuit. Depuis quelques temps la bleue et argent, était prise d’insomnie inexplicable. Elle n’en parlait bien évidement a personne, car elle n’était pas du genre a ce confier. Habillée d’un short et d’un débardeur, par-dessus lesquels, elle enfila une chemise trop grande pour elle, Natalia fit glisser ses pieds sur le côté. Au contact de sa peau sur le parquet froid, un frisson lui parcoura le corps tout entier. Décidément, elle n’aimait vraiment pas l’hiver, c’était bien trop froid, pour la jeune étudiante de Poudlard qui au contraire, aime les beaux jours. Silence. Elle se leva en silence, se dirigeant a pas feutrés vers la salle de bain. Le dortoir plongé dans l’obscurité, elle entendait la respiration lente des autres filles avec qui elle le partageait. Lorsqu’elle arriva à l’endroit voulu, elle sortit sa baguette et murmura un vague Lumos » a peine audible. Quoi qu’il en soit, il apparu au bout de sa baguette, une petite lumière verte, qui l’éclaira assez, pour que Natalia puisse s’emparer du premier élastique qu’elle trouva, pour ainsi, s’attacher les cheveux en une queue de cheval haute, faite a la va vite. Une mèche retombant devant ses yeux, elle la cala derrière son oreille droite, puis se dirigeant a présent vers les escaliers, elle mettait sa baguette en direction du sol, pour éviter de marcher sur quelque chose qui ferait du bruit, ou bien qui pourrait la faire tomber. Prenant ensuite la direction de l’escalier en colimaçon, elle entendit toute fois du bruit en bas, et s’arrêta à quelques marches de la fin de celui-ci. D’où elle était, elle ne voyait pas encore qui c’était, et si elle tombait sur la préfète, elle sentait a trois kilomètres a la ronde, la leçon de morale a laquelle elle aurait le droit. Silence. Seulement un grattement de plume. Zut. Si cette personne était toute seule, elle n’allait pas parler, à moins qu’elle soit folle. Elle s’étira alors du mieux qu’elle pu pour sortir sa tête et regarder qui s’était. Manquant de tomber, elle provoqua un bruit d’enfer. Une grimace sur son visage, elle releva son regard vers les escaliers, peut être que certains descendrait voir ce qu’il se passait. Puis, elle s’intéressa enfin à la personne qui était présente dans la salle A la vue de son amie, Natalia ne pu alors réprimer un immense sourire. Alice. Alice. Ce seul mot, procurait une euphorie en Natalia. Elle. Seulement elle. C’était une longue histoire, une longue amitié, qui remontait a présent à de nombreuses années. Effaçant son sourire doucement, elle s’approcha de son amie, la serrant dans ses bras quelques secondes, elle alla s’asseoir dans le fauteuil le plus près de la cheminée. Etant une grosse frileuse, elle sortit sa baguette, et le fit battre du tonnerre à l’aide d’un sortilège basique. Se recroquevillant sur le fauteuil, elle entoura ses jambes avec ses bras, puis reposa son regard bleu flamboyant sur son amie, elle se demandait bien ce qu’elle faisait a une heure pareille a écrire dans la salle commune, alors qu’elle aurait pu se faire prendre a tout moment. Mais elle reconnaissait là, le tempérament d’Alice, si semblable au sien. Toujours prendre des risques, sinon ce n’est pas drôle. Silence. Elle la regarda encore quelque seconde avant de prendre la parole. Alice » Elle marqua une pause. Tu peux me dire ce que tu fabriques ? »Un sourire amusé sur les lèvres, la jeune femme connaissait déjà la réponse, elle écrivait ses pensées, comme toujours. Eternelle rêveuse. Silence. Et si on s’enfuyait toutes les deux dans un autre monde, notre monde, et imagine qu’il serait comme on le voudrait. Oui. C’était généralement les sujets de conversations des deux Serdaigle. Silence. Elle reporta une dernière fois son regard sur son amie, avant de prendre sa baguette de l’agiter faiblement, et des rubans sortirent alors de celle-ci pour former un seul et unique mot. Dream. » Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo déjanté et Spéciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 321 Brrrr. On s’les gèle. Allez, j’me casse. »Nuit. Parc. Atreus. Là encore, ces trois mots résumaient bien la situation. L’Irlandais n’avait pu s’empêcher de faire une petite escapade nocturne. Il y était accoutumé mais, comme on dit souvent, On ne change pas les vieilles habitudes ». Ses fonctions de préfet ? Boaf. Pas une raison pour respecter à la lettre le règlement. Si ? Tant silhouette du jeune homme, non reconnaissable dans l’obscurité, bougea. Elle se mit en marche vers le château, prenant garde au sol traître du parc. Pour un observateur attentif et proche, on pouvait apercevoir un objet dépassant de la ceinture du Serdaigle. Une lame. Ensanglanté. Pas besoin de vous rappeler ce qu’il fait avec. De toute façon, on le devine facilement. Le jeune homme continua son chemin, éclairant son passage du mince faisceau que lui procurait sa baguette. C’était une nuit claire et fraîche de Septembre. Le silence de la nuit était agréable. Reposant. Même le vent se faisait discret. Seul le léger bruit étouffé des pas de l’étudiant se faisait entendre. Mais, fatigué de cet absence de bruit, un hibou lança un hululement sonore qui fit sursauter la silhouette. Tssss. Saleté de volatiles nocturnes. L’élève reprit sa route.+ + + + + + + +Se faisant discret quand il le voulait grâce à son don, Atreus ne tarda pas à arriver sans encombre devant l’escalier qui menait à sa salle commune. Donnant sans hésitation la réponse à la question habituel du Gardien, un Aigle en bronze, le jeune homme s’engouffra avec joie dans la salle, emmitouflé dans une veste grise. Le feu crépitait avec tant ardeur qu’il s’en étonna premièrement. C’est alors qu’il aperçu les deux silhouettes assises auprès du foyer. Elles s’étaient retournaient à son entrée et l’observaient à présent. L’Irlandais n’y prit pas garde dans l’instant et entreprit de se rapprocher de l’âtre, car il grelottait de froid. Ne pouvant que s’approcher des deux silhouettes, ils se tourna vers elle. C’étaient deux jeunes femmes. Parmi-elles, se trouvait Junie. De même année que lui, Atreus s’était lié d’amitié avec cette jeune femme dès le début de sa scolarité. Malgré leurs caractères diffèrent remarquez, Atreus est différent de la majorité des Serdys, ils s’apprécient mutuellement. L’autre jeune femme n’était qu’autre que Alice, grande amie de Junie et en Sixième Année. Atreus l’a connaissait bien aussi mais nourrissait moins de liens avec elle. En tout cas, en apercevant leurs visage, le jeune homme eut un sourire. Atreus Junie. Alice. Vous allez bien vous deux ? » Atreus se laissa tomber sur le divan faisant face à la cheminée mais proche des deux filles et se mit en devoir de réchauffer ses membres engourdis par le froid. Il tourna la tête et observa les deux jeunes le bruit du bois qui craquait se faisait entendre. Les ombres des trois Serdaigles valsaient sur les murs. Atreus. Alice. Junie. Trois étudiants. Une nuit. Voilà le tableau. Dernière édition par le Mar 6 Nov 2007 - 1411, édité 2 fois Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accélérer quand mêmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultés Spéciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 1305 Ce sentiment avait disparus en quelques secondes. La peur d’être prise sur le fait, d’être découverte… Junie avait fait son apparition, toujours aussi radieuse. C’était automatique chez Alice quand elle voyait son amie sourire bêtement. Elle détestait ça, mais ne pouvait s’en empêcher. Ah, si vous saviez… Si vous saviez comme Junie était importante pour la jeune Alice. C’était une amie remarquable, et toutes deux étaient très semblables. La jeune Brown se dégagea la gorge, touchant délicatement ses yeux ; mais ça ne servait à rien de le cacher, Natalia saurait qu’elle avait versé quelques larmes… C’était ça, leur amitié. Connaître l’autre sur le bout des doigts, savoir ce qu’elle ressent sans même lui accorder un regard ; ça c’était la vraie amitié, celle qu’on voit dans les contes de fées, celle dont on rêve toute sa vie, celle qu’on a peur d’imaginer… Alice avait eut de la chance ; elle l’avait trouvé. Ca ne collait pas trop dans son caractère de s’attacher à quelqu’un, mais dans le cas là, elle n’avait pas vraiment eut de mal. La jeune Alice avait rencontré Junie quelques années auparavant, et depuis, elles ne se quittaient plus… Dans un toussotement léger, la Serdaigle écouta la voix de son amie. Ce qu’Alice fabrique ? Hum…Junie le savait au fond, car c’était devenu une coutume » pour la jeune Brown ; écrire. Oh…Eh bien, j’écrivais. »Elle eut une pensée pour la boule de parchemin qui avait voltigé à l’autre bout de la salle commune. Puis elle émetta un bref soupir, le regard gêné. C’est vrai, et si Junie lui demandait ce qu’elle avait écrit, qu’aurait-elle à répondre à part je sais plus » ? Rien, strictement rien… Mais cette idée ne fit que lui traverser l’esprit, trop occupée à regarder l’élève qui venait d’entrer dans la salle commune. Alice ne s’occupa pas trop de lui, pensant que c’était encore un de ces élèves de Troisième année qui cherchait absolument à se faire remarquer – d’ailleurs, vu le bruit, ce n’était pas étonnant. Mais elle ne tarda pas à comprendre qu’il ne s’agissait d’en aucun cas d’un troisième année, mais plutôt de Atreus Calgar, le Préfet. Bon, Alice ne le connaissait pas énormément, mais d’après Natalia, il en valait la peine… La jeune Serdaigle lui accorda un sourire ravissant, jusqu’à ce qu’il prenne la parole… A priori, Junie et lui était frigorifié ; à les voir, Alice ressentit un frisson. Maintenant, ils étaient trois. Ca va, ça va… » mais elle ne pouvait s’empêcher d’avoir un sourire hypocrite en disant ça, puis elle continua sur sa lancée …et toi ? »Pas très crédible, sûrement. Mais les mots qu’avaient dessiner Junie avec sa baguette venaient de lui rendre l’espoir. DREAM. Elle avait raison, la vie c’est avant tout vivre ses rêves… Fallait-il pour autant en oublier le principal ? Rester sur Terre, rester sur Terre » la jeune Serdaigle se l’était dit des milliers de fois. Pourtant, rien ne faisait, elle restait dans sa bulle, n’osant plus regarder la réalité en face. Elle fut écoeurée rien qu’à la pensée d’être appréciée ». Non, c’était impossible… Son regard se posa étroitement sur Atreus. Quand elle s’en rendit compte, elle n’osa plus bouger un cil, se contentant d’écouter la mélodie que produisait le crépitement du feu… Puis Junie. Elle était toujours là, toujours avec cet air rêveur. Alice se sentit pousser des ailes, et comme avait fait son amie un peu plus tôt, elle prit sa baguette et dessina quelque chose dans l’atmosphère. En forme de vapeur, quelques lettres manuscrites firent leurs apparitions. Friends ». Puis sa pensée revint pour la boule de parchemin, perdue sans raison dans un coin de la salle commune. Mais il lui était impossible de dire la vérité, sa vérité… Pas pour l’instant, en tout cas. Imagines toi dans un monde où il n’y a que nous, où tu as des ailes et où les seuls sentiments qui y règnent sont l’amour et la joie. Imagines ce monde, et appelles moi quand tu l’as trouvé… Appelles moi quand tu auras pris conscience que ce monde, c’est le Paradis. » James Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 2206 PRÉCISION - Normalement vous l'appelez Ian vu qu'il n'aime pas se faire appeler James. Et désolé, j'ai fait un truc pourri -___- Dernière année. Nouvelle année. C’était carrément une partie de son adolescence qui allait bientôt se terminer. De toute manière, depuis maintenant presque un an, il était majeur dans le monde magique. James avait 17 et dans deux mois, il allait en avoir 18. Oh non, il n’avait pas redoublé. Il avait simplement perdu une année pour cause qu’il était né en novembre. Mais ça, ce n’était ni de la faute de ses parents, ni de la sienne. De personne en fait. Et puis. On ne va pas écrire tout un texte sur sa naissance, ce n’est pas important. Ian était dans son dortoir. Sa baguette émettait une petite source de lumière, baguette qui était posée contre la petite table au côté du lit. Elle était suffisamment forte pour permettre au jeune homme de lire, assez faible pour ne pas réveiller le reste des septièmes années. Mais il en manquait un. Encore. Atreus Calgar. Depuis le nombre d’années qu’ils se connaissaient, Ian commençait à très bien le connaître. Ils étaient quand même assez proches. Le préfet était probablement parti se promener quelque part dans l’école. Plusieurs fois, il était venu, mais pas cette fois. Un petit bouquin avait attiré son attention. Durant l’après-midi, il était passé faire un tour à la bibliothèque, comme à son habitude, mais il était tombé sur un petit ouvrage bien particulier. Il n’avait pas de titre. La couverture était rouge foncé, et on pouvait y voir une sorte de dessin abstrait sur la couverture. Mais quoi ? C’était impossible à déchirer, et Ian ne l’avait pas lâché depuis. Même le texte semblait assez complexe. Il n’était rendu qu’à la cinquième page et encore il était même pas certain d’avoir tout saisit. C’était un univers spécial qu’il devait absolument découvrir. Il était tellement absorbé qu’il n’avait même pas vu un autre étudiant se levé et venir à côté de son lit. Ian. » Ian ? » dit-il un peu plus fort. Hum ? » se contenta de dire Ian sans même lever un regard. Qu’est-ce que tu fais ? »Le jeune homme s’arracha difficilement de son livre et posa son regard foncé sur son ''ami''. Car oui, ils se connaissaient quand même. Je lis. Ça ne se voit pas ? » Tu peux pas aller lire ailleurs ? La lumière de ta baguette m’arrive directement dans les yeux. »James arqua un sourcil. Ecnore. S’il voulait dormir, il n’avait qu’à fermer les yeux ou se tourner de l’autre côté. Le jeune homme haussa les épaules, et referma doucement le livre, avant de sortir de son lit. En fait, les couvertures n’avaient pas été défais. Il était simplement assis, dos contre son oreiller, qui était contre le mur. Il portait une paire de pantalon bien normal noir, avec un t-shirt blanc. À la tombée de la nuit, il avait enfilé une veste bleu foncé et avait mis le capuchon sur sa tête. Allez savoir pourquoi. Tout portait à croire qu’il ne s’était pas encore changé pour dormir. Bref. Il attrapa sa baguette qu’il éteignit de façon informulée et sortit silencieusement du dortoir. Il descendit à son tour les escaliers en colimaçon, et s’arrêta dès qu’il eut enlevé le pied de la dernière il eut une impression de déjà vu. Trois personnes. Atreus. Junie. Alice. Ce n’était pas la première fois qu’ils se retrouvaient tous les quatre dans la salle commune. Tenant sa baguette et son livre avec la même main, il eut un petit sourire en coin et s’approcha d’un des fauteuils et s’installa aux côtés d’Atreus. Bonsoir à tous. »Toujours le capuchon sur sa tête, il porta son regard sur son ami, toujours ce petit sourire flotta sur ses lèvres. Xavier m’a gentiment foutu dehors du dortoir. Encore. » Ce type n'était pas tellement apprécié d'ailleurs avec tous ses petits caprices. Ce Xavier je-ne-sais-trop-quoi. Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 2231 Natalia resta silencieuse un instant. Elle savait qu'avant son entrée Alice avait versée quelques larmes, mais elle ne lui fit aucune remarque la dessus, elle savait ce qu'était la pudeur, et elle même detestait qu'on la force a parler, lorsqu'elle ne le faisait pas d'elle même. Laissant alors son regard vagabonder sur les flammes dansantes, elle laissa alors le temps qui lui fallait, a Alice, pour s'essuyer les yeux correctement, et ainsi effacer toutes traces de chagrin de son visage. Lorsqu'elle reposa ses yeux bleu sur son ami, elle afficha un sourire, mais celle ci n'eu pas le temps de lancer un nouveau sujet de conversation, que quelque chose provoquait un bruit d'enfer. Instinctivement, Natalia porta son regard vers le dortoir, mais après quelque seconde a scruter cet endroit endormit, elle compris, qu'elle s'était trompée et que le bruit ne provenait pas de là. Silence. Il se rapprochait, soudain, elle vu personne d'autre qu'Atreus, arrivée dans la salle commune, un air joyeux sur le visage. Encore partie en vadrouille, et il avait oser ne pas en parler a Natalia. En même temps, il faut dire que lorsqu'on lance la bleue et argent, on n'arrive plus a l'arrêter pas même Atreus, James, Alice, ou bien encore Leslie sa soeur jumelle. Non. Personne. Elle le vit alors se rapproché des deux amies, a son expression cela ne l'étonnait guère de trouver Alice et Natalia dans la salle commune a cette heure ci, mais en même temps au bout de sept ans, il devait s'y être habituer. Junie. Alice. Vous allez bien vous deux ? » Ca va, ça va… et toi ? »Natalia ne répondit pas tout de suite, elle aimait se faire attendre. Elle vit alors le préfet de sa maison s'installer dans un fauteui proche du sien, et se réchauffer grâce au feu qu'elle avait allumée quelques minutes a peine auparavant. Puis elle reporta son attention sur Alice. Alors que le mot que Natalia avait tracer, s'ffacer doucement, Alice, elle, en inscrivit un nouveau. c'était comme un jeu pour les deux amies, et en même temps une façon de s'entrainer pour les sortilèges. Elles étaient ce que l'on pouvait qualifer de réeles sorcières, ne faisant pratiquement rien sans leurs baguette, même lacer leurs chaussures. Silence. Se massant doucement le front, elle prit enfin la parole, cassant le silence, bercer par le crépitement des flammes. Je pète la forme. »L'arrogance de Natalia était quelque chose de phénoménal, les répliques de la bleue et argent cultes. On ne pouvait y échapper, elle avait toujours le dernier, et surtout, elle avait toujours quelque chose a répliquer. Ce qui ne se fit pas attendre. Au regard interrogateur d'Atreus, elle fournit alors très vite une explication a son sarcasme. J'aime tellement ne pas être conviées aux virées nocturnes. Non. Sincèrement ca m'va droit au coeur. »Fixant Atreus d'un air de défi, elle n'eu pas le temps d'entammer une guerre que quelqu'un d'autre faisait son entrée. Silence. Tournant la tête, cette fois ci, cela provenait bien des dortoirs. Elle fit alors une légère grimace jusqu'a ce qu'elle s'appercoive, que ce n'était que James. C'était quelqu'un avec qui elle s'était rapprochée dès le début de sa scolarité, et avec qui elle était a présent étroitement liées. D'ailleurs, il n'est pas rare qu'elle s'amuse a la titiller en l'appelant James, où alors son jeu favoris est de se faire passer pour Leslie, et que Leslie se fasse passer pour elle. La seule personne qui ai jamais su la reconnaitre, c'est Alice. Mais en même Alice, c'est Alice, et elle connait tellement bien Natalia, qu'on comprend qu'elle ne la confonde pas aussi facilement, même avec sa soeur jumelle. Silence. Bonsoir à tous. » Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. »Ne me demandez pas ce qu'a Natalia ce soir, elle est déchainée. La provocation et l'arrogance sont de mise. Mais en même temps, cela fait bientôt sept ans qu'Atreus comme James, supporte le caractère arrogant de la jeune bleue et argent, alors une nuit de plus qu'est ce que c'est ? Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo déjanté et Spéciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 113 Alice - Ca va, ça va… et toi ? »Atreus - On fait avec… » Atreus fit un léger sourire à Alice tout en appréciant avec douceur la bonne chaleur du feu. Le meilleur moyen pour se réchauffer tiens. Après un instant de réflexion avec sa conscience il rectifia sa pensée. Non. Le meilleur moyen était un bon verre d’alcool. Mais faute d’en avoir dans l’immédiat, c’était l’idéal pour l’instant. Le Serdy fixa alors Junie. Hmmm… Qu’avait-elle encore ? Elle ne lui avait rien dit jusqu’à présent. Elle faisait la gueule ? Ca serait pas la première fois. On va dire qu’Atreus était accoutumé de ses petites renfrogneriez. Il lui arrivait souvent de déconner sur ça avec Ian. Tiens. En pensant à lui, il était sûrement en train de bouquiner encore. Le jeune homme eut encore un p’tit sourire. Une manie de Ian ? On pourrait dire ça. Mais ça empêchait pas Atreus de l’adorer comme un frère. Tout comme il adorait Junie et son caractère. Et Alice avec sa gentillesse et sa mélancolie. Junie - Je pète la forme. » Atreus eut un léger sursaut et observa Junie. Aïe. J’vous avez dit qu’il y avait quelque chose qui clochait. Après sept ans passé en sa compagnie, j’la connaît comme ma sœur la Junie. L’Irlandais haussa les sourcils et lui lança un regard interrogateur. Il voyait pas du tout ce qu’il avait fait qui pouvait déplaire la jeune femme. Junie - J'aime tellement ne pas être conviées aux virées nocturnes. Non. Sincèrement ca m'va droit au coeur. » Et merde. Voilà qu’ça recommence. Comment il avait pu ne pas penser à ça ? Atreus leva les yeux aux ciel tout en se retenant de ne pas rire. Combien de fois n’avait-il pas eu à essuyer les réprimandes de la jeune femme pour une vadrouille nocturne solitaire ? Hum. J’ose même plus les compter. Sans rien dire, il retroussa les manches de son pull. Ses bras nus apparurent où se démarquaient de longues estafilades encore humides de sang. Il les présenta devant la bleu et argent. Lui rendant son regard de défi, Atreus reprit la parole, un peu sèchement mais toujours d’un ton cynique. Atreus - T’veux vraiment m’accompagner pour m’voir faire ça ? J’croyais que ça te plaisait pas. » Mais avant qu’aucun des trois étudiants ne puissent parler, un bruit se fit entendre. Atreus se tourna complètement pour faire face à l’escalier des dortoirs, prêt à remballer aussi sec tout élève qui se serait pointé. Quelques bruits de pas. Et Ian apparut. L’Irlandais esquissa un sourire en voyant son pote se ramener, un éternel bouquin à la main. Il changera jamais. Ian - Bonsoir à tous. »Junie - Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. » Atreus ne put s’empêcher d’éclater de rire. Les taquineries de Junie. L’irritation qu’éprouvait Ian à l’évocation de son autre prénom, James. Fallait dire ce qu’il fallait. Ils lui avaient quand même manquer pendant les vacances. Tous. James s’installa aux côté de l’Irlandais. Ce dernier se retourna et, ne pouvant s’empêcher de repasser une couche après la remarque de la jeune blonde, embrancha sur un ton totalement moqueur. Atreus - Hey. Comment qu’y vas aujourdhui le James ? Bien ou quoi ? » Les lèvres retroussées en un sourire complètement stupide mais énervant, Atreus observa la réaction de son ami. Elle allait pas tarder. Et c’était toujours un grand moment de plaisir. Juste avant que Ian ne réalise les moqueries, il avait eu le temps de dire discrètement à Atreus Ian - Xavier m’a gentiment foutu dehors du dortoir. Encore. » Tssss. Ce Xavier. Un jour, il allait le cogner celui-là. Toujours à râler, se plaindre, gémir pour des broutilles. Atreus leva les yeux au ciel avant de lui répondre, d’une voix exaspérée et légèrement dur Atreus - P'tin. J’te jure, s’il nous refait l’même coup que l’année dernière, j’vais pas pouvoir me retenir… » Le jeune préfet lui lança un regard éloquent et complice avant de se laisser aller contre le divan, levant la tête vers le plafond. Putain. Il se sentait quand même bien là. En osmose avec lui-même, entourait de ses amis, sous une agréable chaleur. Tout ce qu’il fallait. Il sentit soudain un objet lui rentrait dans les côtes. Il baissa les yeux et lança négligemment sa lame sur la table posé à quelques pas de lui. Le jeune homme se renversa une fois de plus sur le dossier moelleux. Passeraient-ils encore une nuit blanche à bavarder tout les quatre ? Possible… Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accélérer quand mêmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultés Spéciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 1900 HRP - Désolée du truc merdique...Alice esquissa un sourire complice, regardant de droite à gauche, comme ci elle cherchait quelqu’un. C’était habituel, et s’en en devenait maladif cette sensation…celle d’être de trop, de ne jamais rien dire, ce silence renfermant la plus grande souffrance. Elle regardait ses amis, ne pouvant dire quelque chose ; elle était comme paralysée. A force, elle ne regardait même plus autour d’elle, sachant par cœur ce qui allait se produire car c’était sans cesse le même scénario. Elle restait là, figée, incapable de penser autrement. Alice en devenait pathétique… Très vite, elle posa la main sur son chat, le caressant avec douceur, mais ne pouvant retirer ses yeux des flammes. Les deux autres parlaient, elle les entendait mais n’écoutait rien. Les seuls mots qui en sortirent étaient virée nocturne…sans moi… ». Junie aimait ça, et Alice aussi, mais c’était différent. Junie prenait ça comme un défi, ou du moins c’est ce qu’avait toujours penser Alice, alors que la jeune Brown en faisait juste pour…respirer. Oui, la jeune Alice était très loin d’être la fille que l’on croit, oui, très loin. Ses ongles ornés de vernis rouge laqué se glissaient dans le pelage de Pucky, faisant des va-et-vient incessants. Elle restait silencieuse, encore et encore, se sentant toujours mal, avec cette boule dans la gorge. Elle était incapable de faire le moindre geste, ses yeux d’un gris étincelant formant une barrière entre son esprit et…le reste. S’en était trop, et même l’arrivée de Ian ne changea rien à la donne. Elle lui avait fait un sourire, mais rien de plus. Les trois autres s’étaient remis à parler, d’après les moindres parcelles de phrases qu’elle captait, ils titillaient Ian en l’appelant James…il détestait ça. Ses mains tremblaient peu à peu, et dans sa mystérieuse quête de solitude, elle avait trouvé les répondes ; elle n’était qu’une moins que rien. Ses amis continuant de parler, Alice se leva, l’air de rien, se dirigeant vers l’autre côté de la salle commune. Sa petite taille faisant qu’elle pouvait passé n’importe où, elle se faufila derrière un meuble gigantesque, disparaissant de leur vue. Quelques minutes après, elle en ressortit, cet air toujours aussi Alicien », une boule de parchemin dans les mains. La jeune Serdaigle le défroissa, espérant qu’ils ne l’avaient pas remarqué…de toute façon c’était sûrement le cas. C’est vrai, elle était très discrète, même si des fois elle avait l’envie d’hurler JE SUIS LA ! » elle ne faisait rien. Repensant tout à coup aux mots qu’elle avait employés dans son parchemin, elle se rapprocha du canapé où était Junie, s’asseyant à côté d’elle. D’une traite, elle reprit sa plume, la trempant délicatement dans l’encre, puis elle se remit à écrire des mots comme la fin », les autres », différents » ou nulle ». C’était un cercle vicieux, un peu comme dans celui où était tombé Atreus et sa lame. Alice n’avait rien dit, ne voulant pas lui faire de leçon de moral, et encore moins lui dire qu’elle ne supportait plus de le voir ainsi. A quoi bon fondre en larmes devant eux ? Alice regarde toi, tu es tellement faible…Stop. Elle continua à écrire, ses iris gris se posant quelques fois sur le visage de ses amis. D’un coup, sans savoir pourquoi, elle sortit machinalement… Atreus, la prochaine fois que tu fais une virée nocturne, dis le moi…enfin bon, si tu veux bien de moi, bien sûr »Miracle, elle avait su décroché une phrase, et sans se forcer. La jeune Alice n’osa même plus relever la tête, faisant toujours semblant d’écrire. D’ailleurs, ce qu’elle avait écrit n’avait aucun sens… Des phrases incompréhensibles, remplissant le parchemin d’une encre noire tellement sombre qu’on aurait penser à du sang. Le crépitement des flammes faisait qu’elle n’entendait plus le ronronnement de Puck’, ce qui ne la rassura pas. Elle aimait le sentir à ses côtés, elle se sentait en sécurité, prête à braver milles et une étapes, milles et un dangers… Mais finit, son silence étant rompu, elle jeta sa plume au niveau de l’encrier, se fourrant dans le canapé moelleux. Son regard, en priorité, se dirigea vers la direction de Junie. Elle lui adressa un sourire, incapable de lui dire ne serait-ce qu’une petite phrase. Mais le silence n’est-il pas le plus criant des mots ? Il sait dire tout à la fois, sans qu’on prenne la peine d’ouvrir la bouche, sans qu’on prenne la peine de tout gâcher… Boom-Boom. Son cœur battait la chamade, comme d’habitude. Alice était trop nerveuse, trop mélancolique et bien trop gentille et seule » comme dirait si bien l’homme de Pré-au-Lard… Levant les yeux au ciel pour empêcher ne serait-ce qu’une larme de couler, elle soupira doucement, ne voulant pas déranger leur fabuleuse conversation. Xavier, Xavier, Xavier… Alice avait eut l’occasion de lui parler une seule fois, et il avait fait tout pour qu’elle comprenne qu’elle ne valait rien, qu’elle était bête, moche, sans cœur et…passons les détails. Xavier était un garçon narcissique, et Alice se demandait comment faisait Ian et Atreus…Ils étaient courageux. Je compatis »Elle avait lancé cette phrase avec un fond moqueur, mais sans le faire voir réellement. Ses yeux gris brillants comme un miroir, elle fit volte face et regarda en direction de Ian, lui adressant un sourire des plus chaleureux. Ouais, on l’aimait bien pour ces sourires, Alice. Mais pour rien d’autre…c’était de sa faute. James Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 2206 - Ça, c'est un truc merdique T__T Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. » Hey. Comment qu’y vas aujourdhui le James ? Bien ou quoi ? »Oh. Il avait bien essayé de ne pas y faire attention. Mais quand ils étaient au moins deux, c’était un peu moins évident. Ça faisait des années, et des années, plus précisément sept ans qu’il leur disait de ne pas l’appeler James, et pourtant, le message ne semblait pas s’être rendu aux oreilles de Junie et d’Atreus. Encore moins eux. Ils trouvaient même ça drôle. Regardez juste le sourire d’Atreus en ce moment même. Sans rire. Même Xavier avait compris. Bon. Lui, fallait croire que Ian l’avait peut-être un peu forcé… Inutile de savoir comment. La seule qui prenait encore le soin de l’appeler Ian, était Alice, et le jeune homme lui en était très reconnaissant. L’anglais serra légèrement les dents sans que ça paraisse, une légère lueur d’agacement passa dans son regard foncé et se contenta d’écouter la réponse du jeune irlandais, à propos de celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom-car-ça-nous-fait-vomir. xD Mais juste avant, il remarqua qu’Alice s’était éclipsé le temps de quelques secondes, pour en ressortir avec un boule de papier, mais il n’en dit pas moins. P'tin. J’te jure, s’il nous refait l’même coup que l’année dernière, j’vais pas pouvoir me retenir… »À son tour, un petit sourire en coin apparu sur les lèvres du septième année. Quand les deux jeunes hommes s’y mettaient ensemble, rarement on revenait pour continuer à les agacer. Xavier a lui tout seul devait être le garçon le plus narcissique de Serdaigle. Il se prenait carrément pour un prince. Il ne fallait pas que ça soit trop ci. Il ne fallait pas que sa nourriture soit trop froide. Il fallait toujours qu’il y ait quelqu’un à son service. Et surtout, il ne fallait pas déranger MONSIEUR durant ses précieuses heures de sommeil, oh ! Ian suivit du regard son pote qui lançait sa fameuse lame ensanglantée de son ami sur la table. Mille et une fois, il avait tenté de l’aider, mais ça l’avait été sans succès. Soupirant, il jeta un regard vers Junie et Alice, puis, se tourna vers Atreus, poursuivant sa lancée. Tu t’souviens dans le cours de potion ? Monsieur avait refusé de couper ses propres ingrédients parce que Monsieur ne voulait pas s’tâcher les mains… » Le jeune homme passa une main dans ses cheveux, ce qui fit tomber le capuchon sur ses épaules. Il se mit à faire tourner le petit livre entre ses mains, observant chacun de ses amis. Ils étaient tous réunis autour du feu, chacun installé sur un fauteuil. Atreus et Ian d’un côté. Junie et Alice de l’autre. N’étaient-ils pas un beau petit groupe ? Deux gars, deux filles. Leur petit rassemblement noctune. Je compatis »Le bleu et argent tourna son regard foncé vers la sixième année. C’était lui, qu’elle regardait. Il lui rendit doucement son sourire, avant d’hausser les épaules. Cette année, ils ne se laisseraient pas faire. Mais pas du tout. Ça, il aurait pu le jurer haut et fort. Xavier s’en donnait à cœur joie de parler contre tout le monde. Alice ne leur avait rien dit, mais Ian savait pertinemment qu’elle avait eu à faire avec lui. Combien de fois Xavier en avait-il parlé durant les cours de Ian et cie ? Si ça n’aurait pas été d’un minimum de contrôle, Ian lui aurait facilement parlé à deux pouces du visage. Ce type allait décidément trop loin. Pourtant on se demandait bien ce qu’il faisait chez les Serdaigle, Ian ne lui avait jamais trouvé la moindre parcelle d’intelligence dans ce qui pouvait lui servir de cerveau. Silence. Changement de sujet. Mais il ne savait pas trop quoi dire. Il tourna son regard vers les flammes, écoutant le silence. Il se pencha légèrement pour lancer le petit livre rouge sur la petite table qui se trouvait au côté d’Atreus. Étrangement, le bouquin ne fit pas de bruit et se contenta de glisser sur la table. Il arrêta son chemin lorsqu’il percuta la lame et sans plus. Ian se replaça contre le dossier. En ce moment même, Atreus et lui, faisait un duo d’enfer. Les deux mecs écraser dans leurs coussins… Il se contenta de lancer sa baguette dans les airs et de la rattraper. Lorsqu’elle était dans la hauteur, sa baguette faisait quelques cercles, et retombait dans la main du bleu et argent. C’était une de ses nuits où il pouvait parfois se passer de nombreux silences. Personne ne disait rien et d’un côté, c’était peut-être mieux ainsi. Qui allait être le prochain à briser ce moment silencieux ? Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Sam 10 Nov 2007 - 1813 Natalia vit Atreus soupirer, et lever les yeux au ciel. Elle le fixa alors de son regard bleu tel l'océan, elle ne comprenait pas qu'il ne lui dise pas qu'il allait faire une vadrouille dans Poudlard la nuit. C'était ce gût de l'adrénaline, de la peur, de la fuite, qui plaisait tant a Natalia. Le fait de se rendre compte que l'on ai vivant. Silence. Elle ne décrocha pas un seul regard, jusqu'a ce que celui ci pose un couteau ensanglanté sur la table qui se trouvait devant eux. Silence. Du sang. Son sang ? Elle eu la réponse a sa question pas plus de quelques secondes plus tard, lorsque Atreus releva les manches de son pull, et qu'elle vit alors de longues et fines coupures sur ses avant bras. Il avait recommencer. Il lui avait pourtant promis. Silence. Elle lui adressa alors un regard noir, mais avant qu'elle ai pu riposter, Ian avait fait son entrée a son tour dans la salle commune. Puis tout s'enchaina très vite, instinctivement, elle reporta son regard sur Alice, lui adressant un regard doux, et un sourire chaleureux. Silence. Elle ne comprennait tout ce qui se passait, elle était dans ses pensées, Natalia le voyait bien. Silence. Elle n'en dit pas un mot cependant jusqu'a ce que la conversation reprenne son fil. Elle vit que les deux jeunes se plaignaient de quelqu'un. P'tin. J’te jure, s’il nous refait l’même coup que l’année dernière, j’vais pas pouvoir me retenir… »Natalia fronça les sourcils, elle ne voyait pas encore de qui il parlait, mais rien que le fait qu'il parle de se battre, elle detestait ça. C'était tellement puérile pour elle d'en venir au mains quand on avait la parole, mais soit, les garçons ne réfléchissent pas comme les filles c'est bien connu. Elle ne rajouta rien, essayant de trouver de qui il parlait. Tu t’souviens dans le cours de potion ? Monsieur avait refusé de couper ses propres ingrédients parce que Monsieur ne voulait pas s’tâcher les mains… » Toutes ces paroels commencaient a faire leurs petit bout de chemin dans le cerveau de Natalia. A présent, elle voyait de qui il parlait. Xavier. Qui d'autre pouvait être aussi chiant ? Elle ne comptait même plus le nombre de fois où, il lui avait demander d'explorer son lit, alors qu'elle allait voir James et Atreus dans leur dortoir. A chaque fois ca terminait de la même façon, celle ci soupirait lui explicait que même si c'était son seul choix, elle préférait se faire lesbienne, puis celui ci devennait grossier, et soit Atreus soit James, finissait par lui cogner dessus. Je compatis »Natalia afficha alors un regard compatissant a Alice. Elle l'avait retrouver dans un de ses états ce jour là. Elle avait été tellement en colère qu'il parle comme ca a sa meilleure amie, a son Alice, qu'elle était montée directement dans le dortoir et lui avait collée sa main sur sa joue. C'était la seule et unique fois dans sa vie que Natalia avait portée la main sur quelqu'un. Silence. Elle se leva alors pour se rapprocher du feu. Mettant ses mains a quelques centimètres des flammes, elle retourna sa tête vers ses trois amis avant de prendre a son tour la parole. Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chérie par là, ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui répète, que moi c'est Natalia. »Elle soupira et montra un air exaspéré sur son visage, avant d'exploser de rire. Silence. Une Natalia en colère, ce n'est vraiment pas quelque chose de positif pour la personne qui est dans son champs de mir. Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo déjanté et Spéciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Dim 11 Nov 2007 - 205 Atreus avait sentit la légère tension de Junie lorsqu’il lui avait montré ses bras mutilés. Oui. Je sais. Ca ne lui plaisait pas. Ni d’ailleur à Ian et Alice. Il le savait. Il avait entendu leurs paroles d’aide et leurs essais de le convaincre d’arrêter. Et voilà comment il remerciait ses amis en continuant. T’es vraiment qu’un sale con Atreus. » Il l’entendait cette voix dans sa tête. Il l’entendait mais ne faisait rien. C’était plus fort que lui. C’est tout. Une sorte d’addiction à la scarification. Mais en voyant ses mais à ses côtés, Alice, Junie, Ia,, il sentit vraiment le pincement au cœur qui apparut. Il baissa la tête doucement et son regard mélancolique se perdit dans l’océan des flammes. La voix d’Alice le sortit de sa torpeur - Atreus, la prochaine fois que tu fais une virée nocturne, dis le moi…enfin bon, si tu veux bien de moi, bien sûr » L’Irlandais sourit doucement avant même de tourner la tête vers elle. Il lui adressa un regard chargé de tendresse, d’affection avant de lui répondre. Atreus - Pas d’problème Alice. T’sais bien que je pourrai pas te dire non. » - Il détourna le regard vers Junie, tout en gardant son léger sourire - Tu pourras nous accompagner Junie. Toi aussi Ian. Nan vraiment j’voulais être seul ce soir pour… Pour c’que vous savez. Vous n’aurez pas apprécier ça de toute façon. » La voix du Serdaigle se tut. Silence. Il regarda ses coupure à la lueur du feu. Les plaies brillantes étaient nettement visible. Soudain, tout lui parut stupides. C’était vrai. Il fallait le dire. C’était complètement con ce qu’il faisait. Sa conscience tordu et maligne choisit bien-sûr ce moment pour lui faire rappeler le bonheur que cela procurait. Oui. Ca aussi c’était vrai. Une fois de temps en temps. Seulement. C’était ça qu’il devrait faire. C’est ce qu’il lâcha sans préambule. Atreus - J’vais me calmer de ce côté-là… Pour vous. » Atreus était conscient qu’il aurait du prendre cette décision depuis des années. La volonté. C’était ça qu’il l’avait empêché. La volonté d’arrêter ne lui était jamais venu. Jamais. Même pas pour eux. Il secoua la tête doucement. Allez. On oublie ça. La soirée était belle, agréable. Il n’avait aucune envie de plomber l’ambiance avec ses petits problèmes merdiques, sans intérêts. La discussion était en c’moment sur Xavier. Ce connard. Ian évoquait le cours de potion. Tsss. A ce souvenir, même sa mélancolie passagère disparu. Comment qu’il le détestait c’gars. Ce dernier s’en apercevait bien mais persistait à toujours faire son grand ». Combien de fois Ian et lui l’avait cogné ? Il se tenait tranquille envers eux mais voilà… A chaque fois il remettait ça sur n’importe qui. Même Alice y avait eu droit. Ce jour-là, le trio Ian-Junie-Atreus avait eu du mal à ne pas l’écorcher vif. L’Irlandais s’aperçu qu’il avait serré les poings, les jointures nettement visible et blanche. Il desserra ces derniers avant d’entendre Junie proférait sa colère, elle-aussi contre Xavier. Junie - Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chérie par là, ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui répète, que moi c'est Natalia. » Le ton tellement exaspéré de la jeune femme fit naître un sourire sur le visage d’Atreus. Junie et ses réactions crû. Il l’adorait. Fallait dire aussi que leur caractère étaient légèrement semblables. Autant elle ne passait pas aux mains comme le faisait trop souvent l’irlandais, elle n’était pas la dernière à dire ce qu’elle pensait. Bref. Le silence avait repris ses aises. Voulant changer de sujet, sachant pertinemment que si ça continuait comme ça il pourrait pas s’empêcher d’aller frapper l’autre con de Xavier, Atreus avisa le bouquin qu’avait jeté Ian sur la table, prêt de sa lame. Un regard interrogatif sur la couverture unie et nue, avec seulement une sorte de dessin étrange. Avec un air intéressé, il montra de la tête le livre à James. Atreus - Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? Bon. Ce n’était peut-être pas le mieux à demander pour changer de sujet mais c’est tout ce qu’il avait trouvé. De plus, le motif du bouquin l’attirait. Étrangement… Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accélérer quand mêmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultés Spéciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Dim 11 Nov 2007 - 1253 Comment expliquer ça ? Qu’en si peu de temps, qu’en quelques secondes, Alice s’était mise à sourire. C’était son premier vrai » sourire de la soirée, et elle sentait que ça n’allait pas être le dernier. Ian lui lança un sourire, qu’elle lui rendit immédiatement. Puis Atreus prit une bonne résolution, qu’il n’avait pas prise avant se calmer. La jeune Serdaigle lui lança un sourire, elle savait qu’il y arriverait, et de toute façon, elle serait là pour l’épauler…tous serait là pour l’aider. Et puis ils se remirent à parler de Xavier… Alice étant la plus petite des Quatre, il avait facile à lui pourrir l’existence. Un jour, il avait même réussit à la bloquer dans un coin pour lui dire ses quatre vérités, forçant un peu trop au goût d’Alice sur les mots tu viendras dans mon lit » et t’es vraiment nulle ». Mais la jeune Sixième Année ne s’était pas laissée faire, elle lui avait simplement foutus une gifle, histoire qu’il se calme un peu. Depuis, elle avait plus le droit aux menaces et aux regards noirs, mais maintenant, elle était habitué. Il avait sûrement raison elle était bonne à rien, mais la seule chose qui était sûre, c’est que quoi qu’il dise, il avait toujours Junie, Atreus et Ian sur le dos – ce qui était toujours marrant, d’ailleurs. Soupirant rien qu’en y repensant, la jeune Brown écouta attentivement la phrase de sa meilleure amie. En quelques secondes, Alice s’était mise à rire, un rire presque inaudible qu’on remarquait grâce à son sourire. Pour l’enfoncer encore plus, ça, Junie était toujours là ! Elle non plus ne pouvait pas le voir en peinture, pourtant, c’était loin d’être réciproque… Un jour je l’ai surpris en train de dire "Junie ? Je vais me la faire avant la fin de l’année !" Ce type est tellement bête qu’il ne voit même pas que personne ne l’aime, même ses propres amis ne peuvent pas le voir… Et j’en sais quelque chose, j’ai eut l’occasion de parler avec Jesse, et il m’a dit qu’à chaque fois que Xavier m’insultait, il me défendait. Et vous saviez que son ancienne petite amie l’a trompé avec Peter, son sois disant grand ami ?! Quand on me l’a dit, j’étais plié… C’est la preuve que, quand même, on n’est pas les seuls à ne pas pouvoir le voir en peinture. D’ailleurs, ce type, je me demande comment il a pu sortir avec des filles…Rien qu’en y pensant, ça me donne envie de vomir. »Les rumeurs et les comérages. Ca, s’était le domaine d’Alice et Junie. Bon, sûrement pas de Ian et d’Atreus, mais des fois il y en avait des très drôle qui circulait. Tout en regardant Junie, la jeune bleu et argent frissonna. Il faisait chaud, oui, surtout grâce au feu mais il y avait toujours un petit courant d’air glacial… Il était tard, mais la fatigue ne se fit pas ressentir. Ses yeux gris étaient encore grand ouverts, se posant sur tout et n’importe quoi. Elle repensait à Atreus qui lui avait dit, quelques minutes plus tôt, qu’il ne pourrait pas lui dire non pour une virée nocturne. Elle s’imaginait déjà y aller avec eux depuis la rentrée, elle n’en avait fait que deux. Habituellement, c’était rare quand elle n’en faisait pas, mais là, c’était carrément le contraire. Mais stop, elle verrait ça demain en se levant. Il ne fallait pas gâcher ce si bon moment. Le silence s’imposa durant quelques secondes, des secondes où le cœur de la jeune Alice battait la chamade. Ses mains tremblaient, puis s’arrêtaient, puis elle recommençaient…c’était un cercle vicieux, et elle ne savait pas quel était la cause de ses tremblements soudains. Mais elle cessa d’y penser qu’en la voix d’Atreus retentit. Il cassa le silence avec douceur, surprenant la jeune Alice, qui ne s’en doutait pas. Le regard à présent dirigé vers Atreus, elle l’écouta, comme les autres. Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? »La jeune Brown dirigea immédiatement son regard vers le livre de Ian. Sa couverture était étrange, avec une inscription qui capturait votre regard en quelques instants. Sa couleur unie vous scotché sur votre canapé, oui, c’était sûr ce livre attiré l’œil. A sa vue, Alice se dit qu’elle devrait passé plus souvent de temps à la Bibliothèque. C’est vrai ça, elle n’y allait jamais à part quand elle devait y rejoindre quelqu’un, mais à chaque fois qu’elle y mettait les pieds, elle était forcée. Sourire. Alice se tourna vers Junie, puis vers Puck’ qui ronronnait toujours autant sur ses genoux. A présent, elle se voyait très mal dormir comme lui, surtout maintenant… James Re Everybody's Changing - Libre Sam 17 Nov 2007 - 2206 HRP _ Désolé du retard. Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chérie par là, ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui répète, que moi c'est Natalia. »Le Serdaigle fixait Natalia de son regard foncé, un léger sourire sur les lèvres, suite au comportement de cette dernière. Ce type avait vraiment le don de se mettre les pieds dans les plats, et malheureusement, il se heurtait souvent à des personnes plus fortes que lui. Pourtant le message ne semblait jamais se rendre au cerveau du fait qu’il ne fallait pas se moquer de Atreus, James et Natalia en particulier. C’était probablement ceux qui n’avaient aucunement peur des conséquences qui pouvaient y avoir s’ils osaient touchés Xavier. Il était une sorte de défouloir au final… Bref. Les deux bleues et argents, Natalia et Alice s’étaient mis à rire, et Ian observa la sixième année lorsqu’elle prit la parole. Un jour je l’ai surpris en train de dire "Junie ? Je vais me la faire avant la fin de l’année !" Ce type est tellement bête qu’il ne voit même pas que personne ne l’aime, même ses propres amis ne peuvent pas le voir… Et j’en sais quelque chose, j’ai eut l’occasion de parler avec Jesse, et il m’a dit qu’à chaque fois que Xavier m’insultait, il me défendait. Et vous saviez que son ancienne petite amie l’a trompé avec Peter, son sois disant grand ami ?! Quand on me l’a dit, j’étais plié… C’est la preuve que, quand même, on n’est pas les seuls à ne pas pouvoir le voir en peinture. D’ailleurs, ce type, je me demande comment il a pu sortir avec des filles…Rien qu’en y pensant, ça me donne envie de vomir. »Si l’on sort du contexte de Méfaits Accomplis. J’aurais pu vous dire que Xavier était le portrait craché de Malefoy, mais à Serdaigle. Prenez ce comportement et transposé le sur Xavier et ça reviendra au même. Retournons au RP à présent. Un nouveau sourire apparu sur les lèvres du septième année, avant d’échanger, à nouveau, un air complice avec son ami, Atreus. En effet, les potins n’étaient pas spécialement le domaine des garçons, mais les rumeurs circulaient toujours aussi rapidement dans l’école de sorcellerie. Ian n’était pas le type qui allait en raconter, mais plutôt écouter. Par exemple, lorsqu’il attendait quelqu’un dans les couloirs et qu’un groupe de personnes près de lui parlent de quelque chose qui pouvait s’avérer intéressant, il écoutait. Sinon, sans plus. Savoir qu’untel ou untel était sortit lui ou l’autre, au final, ça ne changeait strictement rien à sa vie. Mais savoir que Jesse défendait également Alice, eut une sorte d’effet de soulagement pour le septième année. Pour ce qui était de Peter… Sans commentaire. James tourna, à son tour, le regard vers les flammes, se sentant bien. Parler entre eux, était toujours bien agréable. Sortant un peu de l’habituel étouffant de tous les élèves en plein jour. La nuit était une sorte de refuge pour plusieurs. Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? »Hum… Hein ? Quoi ? Ian se redressa lentement et posa, comme tous les autres apparemment, sur son propre bouquin. C’était vrai qu’il était étrange, et c’était bien ça qui obsédait le bleu et argent. Il y avait quelque chose de pas normal, mais il n’arrivait pas à trouver quoi. Et ça, ça l’énervait. Je ne sais pas trop… C’est assez complexe à vrai dire… » commença-t-il tout en se levant du fauteuil pour aller reprendre le posa sa main sur le livre et l’attira contre lui, un drôle de phénomène se produisit. La lame le suivait. Elle glissa sur la table, jusqu’à temps qu’elle tombe sur le sol, alors que Ian éloignait le livre de la table, observant se qui se passait. Il lança un regard perplexe aux trois autres et tourna le livre sur lui-même. Sur le côté, les pages avaient été tâchés légèrement du sang de la lame, et du coup, on aurait dit que ça agissait comme une sorte d’aimant. Le jeune homme s’accroupit et rapprocha / éloigna le bouquin de la lame, qui elle, avançait toujours plus vers le livre, et vers Ian par le fait même. Ok… Ça, c’est pas normal… »Petite expérience. Il fit glisser rapidement le livre contre le sol, qui partit quatre ou cinq mètres plus loin. La lame tourna sur elle-même et, comme je l’ai dit, comme un aimant, elle glissa à la vitesse de la lumière juste à côté, mais sans y toucher, manquant de couper Ian au passage. Contenu sponsoriséSujet Re Everybody's Changing - Libre Everybody's Changing - Libre Page 1 sur 1 Sujets similaires» [alone...~libre]» You'll Ask For Me - Libre.» We Had A Bad Day... [Libre]» A l'air libre» Promenade [Libre]Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLIS™ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers

1Laisse-moi t'aimer (Remasterisé en 2010); 2 Parce que je t'aime plus que moi (Remasterisé en 2010); 3 Mais dans la lumière (Remasterisé en 2010); 4 Qui saura (Remasterisé en 2010); 5 A corps perdu (Remasterisé en 2010); 6 C'est Mike Brant Durée 0322 Auteur Michel JourdanCompositeur Mike Brant Paroles Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'étais certain cette fois Que tu me retiendrais On se trompe quelques fois Une larme a tout changé Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que de nous deux C'est moi le plus malheureux Par ma faute trop de fois Mon amour tu as pleuré J'ai voulu partir cent fois Et cent fois je suis resté Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime Je t'aime et je veux te le dire Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Rien qu'une larme dans tes yeux Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime MICHEL JOURDAN, MIKE BRANT SM PUBLISHING FRANCE

Lhéroïne de cette histoire Faisait couler des jours heureux Dans les veines des stars L'h Paroles de L’Héroïne de cette histoire par Isabelle Boulay. L'héroïne de cette histoire Faisait couler des jours heureux Dans les veines des stars L'h Entrez le titre d'une chanson, artiste ou paroles. Palmarès de paroles Communauté Contribuer Business. Connexion

Le Deal du moment Cartes Pokémon où commander le coffret ... Voir le deal € MÉFAITS ACCOMPLIS™ Corbeille &&. ANCIENS RP 2 participantsAuteurMessageAsuka HaradaNombre de messages 305Age 31Maison SerdaigleMessage Perso L Tigrou, Nado, Thoms, Eva, Thib'... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 19/06/2007Sujet L'echappée PV Atreus <3 [NC -17] Sam 23 Fév 2008 - 1847 Le dortoir des garçons de Serdaigle était désormais vide. Les jeunes bleu et argent s'étaient tous levés pour répondre présent à l'appel de la bière des trois balais en ce dimanche de sortie à Pré-au-Lard. Le silence régnait et les garçons ayant eut la flegme d'ouvrir les rideaux, la pénombre régnait elle aussi. Aucun son, aucun mouvement, aucune forme de vie si ce n'était le chat d'Asuka Harada qui avait prit pour habitude de venir caliner le petit ami de sa propre maitresse. Mais Lix était lové dans la couette du jeune homme, dormant paisiblement. Tout était donc calme quand... La porte s'ouvrit à la volée pour laisser entrer à toute vitesse la ravissante Asuka, entrée ponctuée par un grand éclat de rire. La belle n'attendit pas une seconde et prit le coussin du premier lit à sa portée et se cacha derrière la porte, reprenant son souffle et étouffant ses rires. Tout cela ressemblait à une bataille de polochon... Mais comment en étaient-il arrivés là, alors qu'aujourd'hui était un jour de sortie à Pré-au-Lard ?** FLASHBACK **Asuka cherchait quoi enfiler, analysant le contenu de son armoire. Oh des habits, elle en avait bien plus qu'il ne le fallait... Maintenant qu'elle faisait des photos pour des magazines et donc pour quelques marques, elle avait le droit à quelques habits coûteux en plus... qui ne lui coûtaient qu'un sourire le temps de quelques photos. Asuka adorait les habits. Se maquiller, se faire belle pour voir son ange, c'était un réel plaisir. Asuka faisait donc le tri selon ses envies, sous l'oeil amusé d'une amie de Serdaigle qui enviait ce grand choix d'habits, mais qui se riait de l'attention que portait Asuka à sa tenue, alors que de toute évidence, quoi qu'elle porte, elle était magnifique. Elle lui fit d'ailleurs remarquer, ce à quoi Asuka sourit en silence. Elle se rappelait que lorsqu'elle demandait à Atreus si il aimait telle ou telle chose sur elle, il répondait quasiment à tout les cas quelque chose du genre "J'men fou, je t'aime comme t'est." Elle raffolait de ces moments. Comme de tous les moments passés avec lui d'ailleurs. Bref. La jeune femme opta pour une tenue décontractée étant donné la journée qui les attendaient... La semaine d'avant, ils avaient marché jusqu'aux Trois balais, et l'un des potes d'Atreus avait tellement bu qu'ils avaient dû le ramener au chateau en le portant à moitié tandis qu'il levait son verre en l'honneur du mariage d'Atreus et d'Asuka. Souriant en repensant à cela, Asuka prit un jean et un pull noir avec un décolleté en forme de V avant de filer direction la dû attendre quelques minutes le temps qu'une fille de seconde année sorte, les lèvres badigeonnées d'un rouge à lèvres rose affreux. Asuka la regarda passer et ne pu s'empêcher de lui conseiller un rouge à lèvres rouge, étant donné qu'elle avait une peau mâte. La petite ne pu qu'admirer ce conseil venant d'une si jolie jeune femme. Asuka avait beau aimer le maquillage, elle avait beau passer des heures à essayer diverses tenues, connaître des sorts pour se lisser ou, se boucler les cheveux, rêver de défiler sur une piste en temps que mannequin des plus grands couturiers... Cela ne faisait pas d'elle une fille superficielle, malgré ce qu'on pouvait en croire. Au contraire, Asuka était bien tout sauf superficielle. Et comme elle l'avait confié à Atreus, le fait que l'on fasse peser sur elle cette réputation la blessait beaucoup. Mais maintenant qu'elle sortait officiellement avec l'Irlandais, et non pas cachée au fin fond d'une réserve miteuse, on la respectait plus. Enfin, les avis étaient partagés. Certains se disaient que ce n'était toujours qu'une "trainée" et que leur relation n'avait rien de sérieux. D'autres avaient plus de respect pour elle, du fait qu'Atreus l'ai choisie. car Atreus avait beau être détésté par beaucoup, il y avait également beaucoup de gens qui l'admiraient et le respectaient. Mais quoi que pensent les gens de toute façon, Asuka se fichait de leur jugement. Elle aimait Atreus, elle l'aimait plus que tout autre copain qu'elle ait pu avoir. Et elle savait que cet amour était réciproque. Qu'ils disent ce qu'ils veulent... Atreus et Asuka étaient liés par le coeur, la tête... par leur âme. Ils se complétaient, ils pensait sans arrêt la même chose... c'était comme si ils ne faisaient qu'un. Pensive, Asuka s'enferma dans la salle de bain, enleva sa nuisette et entra dans la douche. Elle resta une bonne vingtaine de minutes sous l'eau, faisant des coeurs sur le rideau de douche avec quelques un de ses cheveux égarés. Comme dans un état seconde, la belle n'avait pas conscience du temps qui passait. La tête complètement ailleurs, ce n'est que quand son amie vint frapper à la porte qu'Asuka conssentit à sortir de la douche. S'habillant, elle ouvrit la porte et son amie vint lui tapper la discut' tandis que toutes deux se maquillaient devant la Alors ? Ca fait combien de temps avec Roméo ?- Depuis cet été... neuf mois. Si on compte depuis la bibliothèque, ca doit faire pas loin d'un an... C'est dingue comme ca passe Veinarde... T'a trouvé un mec en N'est-ce pas ?Asuka lui sourit, refermant le mascara et le lui donnant. Oui, elle avait un petit ami en or. Elle en était bien consciente. Et pour rien au monde elle ne le lâcherait... Les deux filles enfin prêtes, elles descendirent dans la salle commune où les attendaient quelques autres filles, Atreus, et ses potes. Au moment où elle le vit, un sourire plus large apparut sur ses lèvres tandis que son regard se faisait plus tendre encore. S'approchant, elle passa ses mains autour de son cou et lui donna un baiser, avant de murmurer entre deux baisers- Jolie chemise...Il savait qu'elle l'adorait cette chemise. Ainsi que la cravate qu'il portait avec... Chaque fois qu'il la mettait, elle était touchée par cette petite attention qu'il lui portait tout particulièrement. Le groupe des Serdaigles descendit jusque dans la cour, pour répondre présent à l'appel des profs avant le départ. Mais une fois chose faite, alors que tout le monde commençait à avancer le long de l'allée, Asuka réalisa qu'elle n'avait pas envie de ca. Elle aimait ces journées à Pré-au-Lard, la plupart du temps à boire un coup en discutant aux Trois Balais... Mais la, elle avait envie de rester avec Atreus. Juste lui. Car les moments où ils pouvaient être en tête à tête étaient rares... Clouée sur place, regardant les autres avancer, elle serra la main d'Atreus tandis que lui entamait la marche. Lorsqu'il se retourna avec un regard interrogatif pour savoir pourquoi elle n'avançait pas, elle leva les yeux vers lui avec un petit sourire malîn. Caressant sa cravate, elle l'empoigna doucement et l'attira vers elle, faisant se pencher Atreus près d' Ai pas envie... Elle lui fit sa plus belle mine de boudeuse, et vit le regard de son petit ami s'attendrir. Héhé... Elle savait être persuasive. Mais Jim, un ami de Serpentard, le savait aussi...- Eh m'sieur dame, vous allez venir prendre un verre quand même ?Asuka soupira. Celui-la allait tout faire planter ? Tss... Tout le monde savait bien qu'Atreus était un bon vivant, qui ne résistait pas à un petit verre... Mais avant que l'Irlandais ne dise quoi que ce soit, Asuka lanca un regard mauvais à Jim et tira de nouveau sur la cravate d'Atreus, se penchant sur la pointe des pieds pour atteindre le creux de son oreille où elle sussura quelque chose... d'apparement plus convaincant que l'argument de Jim. Gagné. Non pas qu'il restait juste pour ce qu'elle venait de dire... elle esperait qu'il n'y ait pas que ca qui l'interesse... Mais bon, après tout, elle aussi été franchement bien interessée par cette idée des plus plaisantes. Alors qu'ils retournaient vers le chateau, on entendit Jim ouvrir de nouveau sa bouche, ce à quoi Asuka s'arrêta al bouche entrouverte, à moitié choquée et vexée de ses L'amour tuera tout tout les plaisirs...Asuka se retourna, lâchant la main d'Atreus, et s'approcha de Jim avant de pointer un index accusateur sur le torse du Tu sais quoi ? Si Eliane t'a largué, c'est parce-que, justement, tu préférais boire et faire la fête que passer un moment avec elle. Jim, une fille ne restera jamais avec toi si tu ne la fais pas passer avant tout le reste. Alors vas-y, vas te mettre un peu plus minable que tu ne l'est déja. En attendant, Atreus n'aura pas de bière mais je suis sûre qu'il prendra bien plus de plaisir que toi aujourd' ce, elle fit demi tour et revint vers Atreus sous les rires des Serdaigles qui se moquaient de la façon dont il venait de se faire casser en public. Asuka n'était pas méchante... Mais il était bien connue qu'elle avait un temperament de Serpentard et que, lorsqu'on la cherchait, elle était redoutable... une vraie sauvage. Elle bondissait comme une tigresse et faisait des ravages sur son passage. Mais il n'y avait pas de quoi s'inquieter... Jim et Asuka s'appréçiaient. Mais il avait tendance parfois à être un peu trop macho et si il y avait bien quelque chose qui énervait la miss Harada, c'était ca. Alors elle se chargeait de le remettre en place, et le landemain, c'était oublié. De toute façon si il disait quoi que ce soit sur elle, Asuka comptait sur Atreus pour prendre sa défense... Histoire tout de même de ne pas passer pour la rabas-joise de service, Asuka reprit la main d'Atreus et lança un regard à Jim à qui elle tira la langue d'une manière ironique pour dire que c'était déja oublié, qu'il n'y avait pas de problème.... Ce qui ne l'empecha pas de partir dans monologue feministe anti macho durant tout le long du chemin les menant jusqu'à la salle commune de Serdaigle. Parlant à toute vitesse, elle n'était pas convaincue qu'Atreus était bien attentif à ce qu'elle disait... et si il ne l'était pas, elle ne lui en voudrait pas... car elle même se fatiguait à parler, parfois. Mais lorsqu'elle déblaterait tout un tas de paroles ainsi, s'enervant toute seule, cela faisait sourire Atreus. Et ca, ca valait bien tout l'épuisement du à la salle commune, Asuka se débarrassa de son sac en bandoulière et passa ses bras autour de la taille d'Atreus, l'embrassant. Parce-que cela faisait un moment qu'elle en avait envie. Parce-que rien que ca, c'était un réel plaisir. Mais comme à chaque fois, un baiser suffisait à faire monter un désir enfouit en eux et déja elle ne pu se retenir de le pousser jusqu'au canapé où, une fois allongé, elle s'assit à cheval sur lui, l'embrassant encore, ses cheveux lissés tombant de part et d'autre du visage du préfèt. Elle avait envie de lui. Elle en mourrait d'envie. Mais la jeune fille était joueuse... et là, c'était trop facile. Le distrayant en descendant poser des baisers au bas de son ventre, elle attrapa le coussin au bout du canapé. Une fois celui-ci en main, elle se repositionna à cheval sur lui, les mains dans le dos, avant de maîtrise... Si tu veux bouger, tu peux pas partir... Couché le tigre...En voyant la tête mi amusée mi offusquée d'Atreus, elle ne pu s'empêcher de rire et abattit le coussin sur sa tête avant qu'il ne puisse échanger les positions. Car il était évident que, au niveau physique, il avait toute maitrise sur elle... Il était grand et costaud tandis qu'elle ressemblait à une brindille à côté de lui. Mais elle adorait le provoquer. Oui, tout deux passaient leur temps à se taquiner. Qui aime bien châtie bien. Pour éviter toute contre attque, la jeune femme se leva en vitesse et partit se réfugier dans le dortoir des garçons, riant aux éclats.**C'est donc cachée derrière la porte, avec un nouveau coussin en main, qu'Asuka attendait l'arrivée d'Atreus. Son coeur battait à toute vitesse à cause du stress et du sprint qu'elle venait de faire. Essayant de respirer le plus doucement possible, elle attendait, presque silencieuse, l'arrivée du bel Atreus. Même si c'était, pour l'instant, pour l'attaquer avec un coussin, elle avait hâte. Il lui manquait déja...Dernière édition par Asuka Harada le Dim 23 Mar 2008 - 1716, édité 1 fois Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo déjanté et Spéciales //Sujet Re L'echappée PV Atreus <3 [NC -17] Dim 24 Fév 2008 - 623 Dimanche 14 Avril 1984 - 907 - Salle Commune de SerdaigleUn ciel d'un bleu azur. Quelques nuages fins d'un blanc nacré. Une légère brise. Une belle journée en perspective. Ah... Avril. Beau mois putain... C'est ce que se disait Atreus en contemplant rêveusement le ciel et le paysage qui s'étendait devant lui, à travers une des fenêtres de la Salle Commune. Un léger roucoulement le fit tourner la tête. Oh... Perchés sur une gouttières en pierre du toit de la tour, un couple de pigeons roucoulaient paisiblement en se donnant de petits coups d'becs affectueux. Des baisers pour eux quoi. Des baisers... Aussitôt, l'image d'Asuka apparut au jeune homme. Son visage d'ange et son sourire qui le faisait fondre à chaque fois se dessina devant ses yeux. Ah... Asuka. "Elle" comme il l'appelait... Sa petit amie. Putain... C'kil l'aimait sa Asuka le 'Treus. Comme... Comme un alcoolique chérie sa bouteille de Whisky par exemple. Euh. Nan c'pas romantique ça. Et puis... Nan ça convient pas. C'est PLUS que ça ! C'est comme... Comme ce couple de pigeon. Il s'aiment à la folie ! C'est exactement doux sourire se dessina sur le visage de l'Irlandais. Le sourire d'un homme qui aime. Un éclat de rire le fit redescendre sur terre. Un d'ses potes à première vue. Aaah... Gros soupir. Asuka lui manquait. Il savait qu'elle n'allait pas tarder à descendre, toute fraîche et maquillée, mais, c'était trop long déjà. Combien d'fois il lui en coutait de la laisser au pas des escaliers des deux dortoirs ? Je ne les compte plus. Bref. C'est ainsi qu'il prit son mal en patience, ravalant son impatience. Bon. Aujourd'hui, une putain d'journée s'annonçait. Habillé de sa chemise blanche et de sa cravate rouge, que sa tigresse de petite amie kiffait au plus haut point, et d'un jean, le Serdaigle, et sa bande de potes et amies, attendait Asuka et une autre amie de Serdaigle pour se rendre pour une journée tranquille et cool à Pré-au-Lard. Atreus prévoyait un 'tit détour par le parc avec Asuka pour... Batifoler un peu n'est-ce pas ? Les deux jeunes gens prenaient beaucoup de plaisir à s'faire toutes sortes de câlins doux ou coquins. Ouf comme c'était bien. Clac. Puis un "Tap ! Tap !" régulier et des paroles. Et Sa voix. Pas d'doutes. Asuka arrivait. Putain enfin la belle de son cœur arrivait. Quand elle paru, Atreus ne put s'empêcher de sourire devant sa grâce et sa beauté gracile. C'te fille, c'est une merveille j'vous dit ! Arrivait à sa hauteur, la jeune femme, très joliment habillée comme d'habitude, passa ses bras autour du cou du jeune homme et l'embrassa amoureusement. L'Irlandais lui rendit ce baiser pleins d'amour en resserrant la pression et en touchant délicatement la belle crinière de la jeune femme. Quand ils écartèrent leurs lèvres, le murmure d'Asuka parvint à ses oreilles. Jolie chemise... » Jolie pull... » riposta gentiment le jeune homme avec un clin d'œil amusé. Après un autre baiser plus rapide cette fois, le groupe des Serdaigles se mit en marche, bavardant et riant forts. Atreus passa sa main dans le bas du dos d'Asuka, entourant ainsi sa taille, et ils partirent à la suite du groupe. _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _Arrivaient en bas du chateau, devant la porte d'entrée, Atreus sentit une pression sur sa main. Il se retourna. Asuka ne suivait pas. Il lui lança un regard interrogatif. Asu tu n'vient p... »Il n'eut pas le temps de finir sa phrase car la ravissante jeune femme venait de l'attirer en tirant doucement sur sa cravate. Chose qu'elle adorait faire et... Je dois avouer que le 'Treus kiffait beaucoup ce geste si sensuel. La jeune femme approcha et lui murmura doucement Ai pas envie... »L'Irlandais eut un sourire amusé et pleins d'amour devant la mine boudeuse et maligne de la jeune Asuka. P'tiiin. C'te tête... Il le rendait fou de désir ! C'est pourquoi il n'allait opposer aucune résistance à ce petit caprice de sa belle petite amie. Quand un pote de Serpy les héla, Asuka eut une moue encore plus boudeuse et se pencha à côté de l'oreille d'Atreus. Ce qu'elle lui dit vous l'avez sûrement deviné non ? Bande de pervers va ! Vous avez pas tout à fait tord... Le visage d'Atreus ne changea pas, si ce n'est pour afficher un sourire chargé d'amour, de tendresse et de désir encore plus jeune homme laissa la belle jeune femme mouchait le Serpy. Atreus s'en foutait car en c'moment il se sentait bien dans la tête, dans le corps et... Dans le coeur. Hop. Direction... La Salle Commune ! Héhé..._ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _Le retour à la Salle Commune fut très rapide. A peine arrivé que les deux jeunes gens s'enlaçaient passionnément en s'embrassant fougueusement. Que c'était bon. Asuka le poussa avec un amour sauvage dans le canapé le plus proche. Et elle vint de mettre à cheval sur lui tout en l'embrassant avec ardeur. Atreus caressait les courbes de la jeune femme d'un bras alors que l'autre bras était logé derrière la nuque de Tigresse tout en l'embrassant avec passion et désir. P'tiiin. Des moments comme ça reste gravé dans la mémoire. On souhaite que cela ne s'arrête jamais. Ou alors seulement pour aller plus loin encore. En c'moment-là, le Serdy était vraiment fou de désir. Cette fille était un rêve. Un rêve qui était à lui. Rien qu'à lui. Alors qu'il l'embrassait dans le cou, la jeune femme déposa des baises sur son torse pour descendre peu à peu. Elle se redressa brusquement pour reprendre sa position initial sur lui, à cheval sur son torse. Quelle maîtrise... Si tu veux bouger, tu peux pas partir... Couché le tigre... »Oho. La 'tite coquine... On aime la provoc' hein ? Genre Atreus le savait pas. Depuis l'temps qui se taquinaient avec amour et se provoquer mutuellement, c'en était devenu un jeu. Un Jeu de l'Amour. L'Amour façon Atreus et Asuka. C'est un peu plus... Spécial. Héhé. Elle veut donc jouer à ça ? Elle va avoir l'droit à... BROUF ! Putain ! Le jeune homme venait d'se prendre un gros coussin dans la gueule avant d'entendre le rire amusé d'Asuka s'éloignait. Tout en enlevant le coussin, le Serdy éclata de rire. Putain. Vous l'ai-je dit que j'adore cette fille ? Aussi belle qu'imprévisible. J'ADORE !Et c'est donc un coussin à la main et le sourire tendre et amusé aux lèvres que l'Irlandais se lança à la recherche de sa joueuse de petite amie. Il jeta un œil du côté de l'escalier des dortoirs des filles mais le rire étouffé de la jeune femme lui parvint du côté des dortoirs des mecs. Oho. En territoire connu. Ça va être marrant. Le jeune homme s'élança sans faire de bruit dans l'escalier, s'arrêtant de temps en temps devant les porte des dortoirs. Mais il savait où elle s'était réfugié. Dans SON dortoir à lui. Il le sentait. Il le savait. Il la connaissait bien sa Asuka hein ? A pas de loups, il s'approcha donc de la dernière porte, celle de son dortoir. Il resserra sa prise sur le coussin, et après un sourire et un frisson d'excitation et d'euphorie, ouvrit rapidement la porte. Un gros coussin s'abattit une fois de plus sur lui mais il se roula à terre et, se relevant d'un bond, balança doucement mais rapidement son coussin sur la tête de la jeune femme. Elle le reçu en plein visage alors qu'elle riait aux éclats. Le Préfet en profita pour se rapprocher d'elle et se collait à son corps. Tout deux riant, ils s'embrassèrent un peu partout... Dans le cou, sur le visage, les lèvres... C'beau l'amour hein ?Avec un regard amusé, ils se séparèrent et reprirent leurs armes. Le Coussin Blanc - Modèle Hot Dreams » d'Asuka VS le Coussin Bleu à Franges - dit Tueur de Mouches » d'Atreus. Tantan ! ZE duel ! LEs deux adversaires se font face. Ils s'observent et... C'EST REPARTIT ! Le Coussin Blanc de la jeune femme vole à travers la pièce et manque de peu l'Irlandais. Ce dernier riposte en envoyant valser son coussin vers Asuka. Cette dernière l'évite en plongeant sur un lit. Elle se relève, un autre coussin à la main et l'envoie de toutes ses forces sur Atreus. Le préfet, occupait à récupérer le premier coussin d'Asuka se prit le coussin ennemi dans la tronche. Dans un grand éclat de rire, il contre-attaqua. Cible touchée. Asuka resta allongeait sur le lit, riant à perdre haleine. Alalaaa... C'trop bon tout ça ! Le jeune homme sauta sur le lit, aux côté de sa petite amie. Tout en la serrant dans ses bras, il l'embrassa sur les lèvres. La jeune femme tressautait encore d'euphorie mais elle lui rendit son baiser avec autant de fougue que d' releva la tête. Un sourire amusé et tendre sur les lèvres, il balaya une mèche rebelle sur le front de la Serdaigle avant de lui caresser la joue. D'une voix douce, lâcha Je t'aime Asuka. De tout mon cœur. De tout mon être. De toute mon âme. »Magnifique. Un moment... Magique. Asuka HaradaNombre de messages 305Age 31Maison SerdaigleMessage Perso L Tigrou, Nado, Thoms, Eva, Thib'... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 19/06/2007Sujet Re L'echappée PV Atreus <3 [NC -17] Jeu 28 Fév 2008 - 2313 Silence. On entendait qu'un léger souffle derrière la porte, tandis qu'Asuka tendait l'oreille. Elle n'entendait pas grand chose, mise à part lorsque Atreus arriva devant la porte. Pour être venue souvent en pleine nuit voir son homme, Asuka connaissait la faille dans le plancher juste devant cette porte. On entendit un petit grinçement lorsque le bel Irlandais arriva devant la porte. A ce moment, il ouvrit celle-ci à la volée et sans attendre, Asuka lui sauta dessus, le frappant avec le coussin. Le chat, déja réveillé par l'entrée fracassante d'Asuka, sauta du lit en un miaulement pour se cacher dessous, ses yeux verts grands ouvert dans l'obscurité. Atreus, pour éviter plusieurs coups, se roula à terre dans une cascade digne de James Bond avant de se relever et jeter un coussin sur Asuka qu'elle n'eut pas le temps d'éviter. Le prenant dans la tête, elle ouvrit la bouche comme si elle était choquée, bien que ce soit elle qui ait déclaré la guerre. L'oeil malicieux, cela ne l'empêcha pas de s'approcher d'Atreus lorsqu'il se releva. Passant ses mains derrière sa nuque tandis qu'il la prenait derrière la taille, tout deux se collèrent l'un à l'autre avec envie. Asuka déposa ses lèvres sur les siennes, leurs langues se touchant, se quittant, et revenant encore l'une à l'autre. Puis Atreus quitta ses lèvres pour lui baiser le cou tandis qu'elle fermait les yeux, se mordant les lèvres sous un frisson de désir qui lui parcouru tout le corps. Lorsqu'il revint pour l'embrasser, elle laissa ses lèvres à quelques milimètres des siennes, évitant tout contact, simplement pour provoquer un peu plus le jeune homme et faire monter l'exitation. Puis elle posa ses mains sur son torse et tout deux se lançèrent un regard malin. A ce moment, ils comprirent. Se séparant à toute vitesse au même moment, comme si ils étaient capables de lire l'esprit de l'autre, ils reprirent tout les deux un coussin et la bataille reprit de plus belle. Tandis que tout deux enjambaient ou s'affalaient sur les lit, le chat quitta le champ de bataille en courant et en poussant un miaulement n'en pouvait plus de rire. Déja, rien qu'en voyant Atreus, elle était obligée de sourire. Alors là, tandis qu'ils s'amusaient ensemble, elle était euphorique. En ayant mal aux joues, elle plongea sur le lit d'Atreus pour essquiver son coussin, et le silence revint doucement, ponctué par le rire essoufflé d'Asuka qui n'en pouvait plus. Essayant de reprendre sa respiration et d'étouffer ses rires, elle resta ainsi allongée sur le dos, regardant le plafond avec des yeux pétillants, la main posée sur sa poitrine. Et tandis qu'Atreus avançait vers elle, elle enleva ses chaussures à talons, qui lui avaient déja broyé les pieds suite à ces folles aventures... Bien qu'elle en ai l'habitude. Jetant donc les chaussures et un peu plus loin, elle resta allongée, regardant le plafond avec un sourire amusé et jeune homme vint enfin près d'elle en sautant sur le lit, faisant grincer les lates tandis qu'Asu se voyait plongée vers le sol avant de rebondir légèrement. Aussitôt, elle posa un doux regard sur lui tandis qu'il faisait de même, et lorsqu'il approcha son visage, elle l'accompagna, posant doucement sa main sur sa joue, la caressant du pouce. Leurs lèvres se joignèrent, puis se séparèrent, pour se retrouver encore dans des baisers langoureux. Comme toujours, un vrai délice. En un regard elle frissonna, tandis que toute sa tête, ses sens et son coeur lui criaient à quel point elle l'aimait. Oh oui elle l'aimait. Jamais quelqu'un ne lui avait autant manqué, jamais elle n'avait désiré quelqu'un comme elle le désirait, jamais quelqu'un ne lui avait fait autant de bien... jamais personne ne l'avait rendue si heureuse. Et cela, elle voulait lui dire. Il le savait, c'etait évident... Mais elle avait l'impression qu'elle l'aimait bien plus qu'elle ne le lui disait, et que ce n'était jamais assez. Jamais Atreus...- Je t'aime Asuka. De tout mon cœur. De tout mon être. De toute mon âme. BAM. Asuka resta immobile une seconde, le regard allant d'un oeil d'Atreus à l'autre. Puis, sentant une vague de chaleur monter en elle en même temps que les larmes lui venaient aux yeux, elle ferma ces derniers et, posant sa main derrière la tête d'Atreus, elle le rapprocha d'elle en le prenant dans ses bras et en le serrant de toutes ses forces contre lui dire quelque chose de mieux que cela ? Non. Il l'aimait de tout son coeur, de tout son être. Et le fait qu'il le lui dise... Asuka était vraiment émotive, et les larmes lui étaient montées plus vite qu'elle ne l'aurait souhaité. Mais c'était naturel. Des larmes de joie. Parce-que rien ne pouvait lui faire plus plaisir que ces paroles... sincères. Se sentir aimée, n'est-ce pas ce que tout le monde recherche au plus profond de soi ? Un besoin d'être aimée, comme on a besoin d'aimer. A vrai dire, son coeur se serra tellement fort à ce moment, elle se retrouva tellement émue, qu'elle fut incapable de lui répondre. Et pourtant, ce n'etait pas l'envie qui lui manquait... L'envie. L'envie de lui crier qu'elle était dingue de lui. L'envie de vivre avec lui, de l'aimer pour le meilleur comme pour le pire. Certes, elle était jeune. Mais elle croyait au coup de foudre, et en l'amour d'une vie. Du moins, elle voulait y croire maintenant, maintenant qu'elle l'avait trouvé. Certes, depuis la mort de sa mère, elle s'etait juré de ne jamais s'attacher... elle avait cru qu'elle ne serait jamais capable d'aimer, d'être aimé. Elle s'était forgé un caractère, il fallait le dire, elle aimait séduire. C'est cela qui lui avait valu cette réputation, à la base, fondée... Il faut dire qu'elle avait enchainé les petits amis... Mais aucun ne l'avait aimé sincèrement, avant Atreus. Atreus... Il était la raison de son bonheur, elle voulait y serrant contre son coeur, elle sentait le sien battre contre sa poitrine. Et se dire qu'il battait pour elle... C'était merveilleux. C'était parfait. Oui, elle était tellement heureuse désormais qu'elle soupçonnait parfois le destin de lui préparer un mauvais coup. Mais cela, elle le refoulait loin dans un petit recoin de sa tête. Le sourire aux lèvres, des frissons plein le corps, elle releva le visage d'Atreus au dessus d'elle et, le regard embué, l'admira, lui caressant les cheveux. Son regard pétillait de larmes refoulées, son sourire était tendre. Elle faisait penser à un petit animal qui ne demandait qu'un peu d'amour. Et c'est ce qu'elle était... Elle le lui avait dit à la réserve de la bibliothèque... elle était fragile derrière sa carapace. Elle avait besoin d'amour, c'est ce qui faisait sa force. Elle en avait besoin, mais elle avait également un coeur énorme, un coeur capable de donner absolument tout son amour à quelqu'un. Son amour, et plus Moi aussi je t'aime... mon 'Treus. - Finit-elle avec un sourire plus large, une larme s'échappant de son oeil -Tandis qu'il lui caressait la joue pour effacer cette unique larme, elle l'attira vers elle pour l'embrasser profondement, passionement. C'était lui sa force. Lui qui lui donnait envie d'avancer, de se battre. Il était... tout. Tout pour elle. Et même si elle ne lui répondait qu'un simple "je t'aime"... cela voulait dire bien plus. Cela voulait dire qu'elle était dingue de lui, qu'elle donnerait tout pour l'aimer jusqu'au bout. Mais cela, il le savait. Il n'était pas légilimens, mais le lien entre eux était si fort qu'ils se comprenaient en toute circonstance. Cessant le baiser, Asuka leva les yeux vers lui et sourit plus largement, puis baissant les yeux sur sa cravate qu'elle caressa du bout des doigts, elle dit- Tu est la seule personne qui m'ai faite pleurer... Paradoxal, quand on sait que tu est la seule personne à me rendre si heureuse...Pourquoi ? Parce-qu'il n'y avait qu'a lui qu'Asuka s'était mise "à nu". En dehors de sa mère, il avait été le seul a entendre ses craintes, ses doutes, ses peurs. Il était le seul désormais à connaître la véritable Asuka Harada. Et à l'aimer pour cela. Pensive, continuant de toucher du bout des doigts la cravate de son bel irlandais, elle lâcha le regard dans le vide- J'ai envie de partir avec toi. Envie de vacances tout les deux. Quelque part au sud, dans un palace en bord de mer. -Elle leva son regard doux dans le sien- Je voudrais passer des heures dans tes bras, dans un bain bouillant au milieu de pétales de roses. Je veux des calîns sur la plage, sous le soleil, sur le sable chaud. Je te veux pendant des nuits entières dans une chambre magnifique digne des plus grands en demandait beaucoup. Elle savait que ce voeux n'était pas réalisable... du moins pas pour le moment. Mais ils l'auraient leur palace. Actuellement, elle passait des heures dans ses bras dans la beignoire de la salle de bain des préfets, entourés de pétales de roses. Ca, c'était leur petit plaisir en plus, les pétales... leur petit truc à eux. Les calîns, elle les avait dans le parc, dans la salle commune... un peu partout. Quand aux nuits... Il y en avait eu à divers endroits, et pas forcement pendant la nuit... Bref, c'était déja parfait. Mais Asuka rêvait de ces moments dans son palace imaginaire... Avec lui. Lui et elle, elle et lui... rien qu'eux et leur amour sans limites. Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo déjanté et Spéciales //Sujet Re L'echappée PV Atreus <3 [NC -17] Ven 21 Mar 2008 - 2220 Silence. Les deux amants se regardaient. A la suite de ce qu'il venait de lui avouer, la belle de son cœur en fut bouche-bée. Il eut un sourire de tendresse en la voyant ainsi. Si belle... Ses cheveux bruns lui tombant sur le visage et les épaules. Ses lèvres fines si désirables. Et ses yeux... Un putain d'regard à vous retourner les tripes. Magique. Magni... *ZBROUF* Asuka venait de le serrer de toutes ses forces dans ses bras, le rapprochant d'elle. Se laissant faire, le jeune homme ferma lui aussi les yeux, sans se douter que sa belle faisait de même. P'tiiin. C'dans des moments comme ça qu'on se sent... Heureux. Vraiment. A tout faire péter Quand il t’emplit le cœur, la tête, le corps.. fin tout quoi, bah c’est kek’chose. Une sensation de bien-être intense… Un sentiment de puissance… Sentir que quelqu’un t’aime et compte sur toi. P’tiin. Ca s’est magnifique. Atreus resserra sa pression sur la jeune femme. Long soupir d'aise. Bien ? On n'peut mieux. Le parfum entêtant, légèrement piquant, d'Asuka lui titillait les narines. Encore une raison de plus de serrer fort dans ses bras la belle jeune femme. Une raison minime en comparaison aux sentiments qu'il éprouvait pour elle. Mais bon... J'aime préciser les choses. Tant pis si ça vous embête. NAH ! Hum. Bref. Ce moment était donc intense. Et il promettait même de l'être encore plus. Si c'est possible... La jeune femme desserra son étreinte amoureuse. Atreus laissa seulement glisser ses bras jusqu'au épaules de la jeune femme, les caressant avec tendresse et envie. Mais son regard alla direct sur celui de la Serdaigle. Ces yeux brillaient. Et elle lui afficha encore une fois ce sourire si doux et craquant qui lui faisait BONDIR LE CŒUR à chaque fois. Elle passa sa main dans ses cheveux. Le contact le fit frissonner mais il adorer c'te frisson caractéristique. Un frisson qui exprime tout. Il ferma doucement les yeux, le temps d'un instant. De son côté, il ne cessait de caresser avec douceur les épaules de la jeune femme. Ouvrant les yeux, il se mit à faire courir ces doigts sur le bras dénudé de la jeune femme, celui avec lequel elle lui ébouriffer les cheveux. Avec un petit sourire malin et taquin sur les lèvres, il déposa des baisers sur la peau de son bras. Remontant bien entendu vers son buste. Vous savez, ce genre de p'tits baisers qui chatouillent. C'est ce genre-là. Moi aussi je t'aime... mon 'Treus. »La voix douce de la Harada et ces paroles firent lever la tête d'Atreus. Avec un sourire tendre, la lueur encore plus forte de l'amour dans ses yeux, le Serdy enleva délicatement la larme qui avait perlé dans le coin de l'oeil d'Asuka et qui commençait à roulé sur sa joue délicate. Les deux jeunes gens s'approchèrent une nouvelle fois et s'embrassèrent langoureusement. Combien de temps ? 5 minutes ? 10 minutes ? Peut-être plus ? Je ne sais pas. Le Bonheur se compte pas en une valeur de temps existante. C'est donc après un temps indéterminé que Asuka et Atreus cessèrent de joignirent leurs lèvres. Avec un regard tout aussi mignon et tendre, la belle Serdy pris entre ses doigts la cravate rouge de l'Irlandais, la caressant... Tu est la seule personne qui m'ai faite pleurer... Paradoxal, quand on sait que tu est la seule personne à me rendre si heureuse... »Le jeune homme sourit. Heureuse. Genre il était TRÈS MALHEUREUX avec elle. Ah ma belle... Tu fais d'moi l'plus heureux des hommes aussi. Chaque jour je vois la chance que j'ai de t'avoir avec moi et... C'est assez jouissif » en vérité de savoir que j'ai la plus adorable des femmes. »L'Irlandais l'entoura de ses bras, tout en lui caressant le dos d'une main, et ses mèches folles et rebelles de l'autre. J'ai envie de partir avec toi. Envie de vacances tout les deux. Quelque part au sud, dans un palace en bord de mer. Je voudrais passer des heures dans tes bras, dans un bain bouillant au milieu de pétales de roses. Je veux des calîns sur la plage, sous le soleil, sur le sable chaud. Je te veux pendant des nuits entières dans une chambre magnifique digne des plus grands maharadjahs. »Les mains d'Atreus cessèrent un instant leurs caresses. Plongeant son regard dans celui de sa Tigresse, il se mordit la lèvre inférieure, d'un geste d'envie et de désir. Un palace. Oui. Ils en avaient déjà beaucoup parlé. C'était LEUR rêve. Passer ses journées dans un magnifique palais au bord de la mer, à se câliner, s'embrasser et s'ébattre en totale liberté et tranquillité. Putain. Voilà un désir intense de la part des deux amants. En faisant le compte ça serait vraiment magique. Magiiique... Et le bain aux pétales de roses... Aaaah... Ça s'est de l'extase à l'état pur. Plaisir il est vrai personnel et peut-être assez original mais... C'était normal. Ils étaient tout deux des êtres exceptionnels, il était donc normal qu'ils agissent de façon spéciale et originale n'est-ce pas ? Non je n'ai pas la grosse tête. C'était comme ça qu'ils se considéraient les deux Serdys. Eh bah quoi ? Ça pose un problème à quelqu'un ? Nahméoh. ferma les yeux, poussa un soupir d'envie ce qui eu pour but de lui faire venir une vague de frisson. Ouf. Il l'adorait cette fille... Il l'adorait... Asuka... Je t'aime putain... Je t'aime de trop. 'Fin non. C'est jamais trop... Tu me comprend ma belle... »Il l'enlaça de nouveau, l'embrassant. Leurs langues s'unir avec fluidité et vivacité. Sans quitter ces frissons, Atreus passa sa main sur la hanche de la jeune femme, caressant le bas du ventre de gestes sensuels. Alors là, un autre défi va commencer. Sans abandonner l'amour qui unit ces deux jeunes gens, on peut se demander qui va déshabiller l'autre le premier... Défi intéressant n'est-ce pas ? Asuka HaradaNombre de messages 305Age 31Maison SerdaigleMessage Perso L Tigrou, Nado, Thoms, Eva, Thib'... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 19/06/2007Sujet Re L'echappée PV Atreus <3 [NC -17] Dim 23 Mar 2008 - 1705 ... -Ah ma belle... Tu fais d'moi l'plus heureux des hommes aussi. Chaque jour je vois la chance que j'ai de t'avoir avec moi et... C'est assez jouissif » en vérité de savoir que j'ai la plus adorable des eut un petit rire en entendant ses paroles, son expression à elle sortir de sa bouche. Oui, c'était jouissif en effet... Souriant tandis qu'il la prenait dans ses bras en lui caressant le dos, elle colla un peu plus son corps contre le sien, posant la tête sur son épaule et, en fermant les yeux, rêvassa un envie de partir avec toi. Envie de vacances tout les deux. Quelque part au sud, dans un palace en bord de mer. Je voudrais passer des heures dans tes bras, dans un bain bouillant au milieu de pétales de roses. Je veux des calîns sur la plage, sous le soleil, sur le sable chaud. Je te veux pendant des nuits entières dans une chambre magnifique digne des plus grands desserra son étreinte pour plonger en elle son regard rêveur, plein d'envie lui aussi. Lorsqu'il se mordit la lèvre inférieur, le regard perdu dans le sien, Asuka crû mourir d'envie tant ses lèvres l'attiraient. Mais elle ne bougea pas. Parce-que, même si elle pouvait le toucher et l'embrasser autant qu'elle le voulait, elle le voyait toujours comme cet objet sacré auquel elle l'avait comparé la première nuit à la bibliothèque. Quelque chose de fragile, de trop beau pour elle. Et il était si craquant à se mordiller la lèvre ainsi qu'elle avait peur de le briser si elle faisait quoi que ce soit. Alors elle resta là, à l'admirer. Lorsqu'il poussa son profond soupir rempli d'envie, elle crû fondre sur place tant elle aimait quand il faisait Asuka... Je t'aime putain... Je t'aime de trop. 'Fin non. C'est jamais trop... Tu me comprend ma belle...-Oh oui je te comprend...Dit-elle avec un sourire en baissant les yeux, frissonnant. Oui, elle le comprenait... car elle aussi l'aimait, à s'en faire péter le coeur... Mais comme il le disait, ce n'était jamais trop... Non... on aime jamais trop. Elle leva les yeux vers lui et vit qu'il la regardait. Ses yeux... ses yeux bleus... Si elle devait choisir sa dernière vision, sur son lit de mort, ce serait ces yeux. Ses yeux à lui, parce-que son regard véhiculait des tas d'émotions à la fois. Parce-que son regard voulait tout dire. Parce-qu'à travers son regard, elle sentait qu'elle était quelqu'un. Ils se regardèrent une longue seconde avant qu'il ne s'approche enfin pour l'embrasser. Basculant au dessus d'elle, il posa son coude à côté de la tête de la jeune femme, plaquant le dos de celle-ci sur le lit et sa tête sur le coussin confortable du jeune homme. Tandis qu'il l'embrassait en lui caressant le bas du ventre, les mains d'Asuka courraient sur ses épaules et sur son torse, tandis qu'elle se courbait de plaisir sous ses caresses. Les gestes gardant toute leur sensualité, les baisers devinrent cependant de plus en plus fougueux tandis que l'envie ne cessait de monter en eux. Elle l'aimait. Elle l'aimait... Comme une folle. Oui, folle. Elle était complètement dingue de ce mec. Son visage, son coeur, son corps, son humour, sa gentillesse, son regard... son regard... Asuka ouvrit les yeux entre deux baisers et, comme si il était capable de lire dans ses pensées, il en fit de même au même instant. Leurs regards se croisèrent alors, et tout deux sourirent avant de reprendre le baiser plus passionement encore. En un regard ils se comprenaient. Leurs âmes étaient comme liées, ils étaient... ils étaient fait l'un pour l'autre. La belle commença à déboutonner la chemise de son homme. D'une main habile, habituée malgré elle, elle les défaisait d'une main tandis que l'autre caressait sa nuque ou ébouriffait ses cheveux. Une fois la chemise déboutonnée, Atreus fit de lui même coulisser le noeud de sa cravate, l'enlevant ensuite, avant de retirer sa chemise blanche, offrant à Asuka la vue de ce corps qu'elle désirait plus que tout autre au monde. Atreus était un excellent joueur de Quidditch. Et par surcroit, un jeune homme très bien monté... Une fois torse-nu, il revint à elle, ne lui laissant pas une seconde de répit. Et tant mieux... Posant ses coudes de part et d'autre de sa tête, sur elle, il l'embrassa fougueusement tandis qu'elle passa des caresses aux griffures dans son dos, ce qui sembla plaire au jeune homme sauvage, qui aida la jeune femme à enlever son pull et son débardeur en même temps, avant de descendre lui faire des baisers dans le cou. Se courbant sous le plaisir et les frissons, elle laissa tomber sa tête sur le coussin, fermant les yeux. Atreus descendit un peu plus, déposant des baisers au milieu de la poitrine de la jeune femme. Sentant la chaleur monter considérablement en elle, elle empoigna les cheveux du jeune homme tout en faisant courir ses ongles sur son épaule, les yeux toujours fermés. Du plaisir... Rien que son corps contre le sien, rien que ces baisers la rendaient folle... Elle s'abandonnait à lui, elle était toute à lui...Dès qu'elle l'avait vu, à la bibliothèque, elle l'avait désiré. Ce corps, pourtant pas forcement des plus musclés du collège, lui avait fait quelque chose. Comme si... comme si dès la première fois elle avait su. Lorsqu'elle s'était approchée de lui, elle avait vu ce visage, et ce regard... Au delà de ses pulsions d'envie, elle avait ressentit autre chose... d'autres pulsions... au coeur. C'est là que tout avait commencé. Lorsqu'en un regard, son coeur s'était serré. Elle l'avait désiré, désormais elle l'aimait. Ils s'aimaient. Bien plus que du sex, cet instant était l'expression de leur amour. Asuka avait couché avec quelques garçons. Jamais elle n'avait prit tant de plaisir qu'avec Atreus. Parce-que jamais elle n'avait aimé quelqu'un comme elle l'aimait lui. Tout son corps, tout son coeur réagissait rien qu'au son de sa voix, rien que lorsqu'elle entendait son nom... et quand elle le voyait... c'était tout ses sens qui s'éveillaient et s'émerveillaient. Là encore, à cet instant sensuel et fougueux à la fois, elle ressentait autant d'amour que de plaisir. A chaque seconde, elle se retenait de lui crier qu'elle l'aimait. Atreus, qui avait continué son petit chemin, déposait désormais des baisers sur le ventre plat de la jeune femme, qui se courbait sous les grandes inspirations qu'elle prenait. Du plaisir, encore du plaisir... Frissonnant sans arrêt, les yeux fermés pour mieux sentir Atreus contre elle, pour mieux sentir chacune de ses caresses et de ses baisers. Puis il remonta jusqu'à ses lèvres, faisant glisser une des bretelles de son soutien-gorge le long de son épaule. Asuka sourit. Cet instant qu'il venait de lui offrir, ces baisers tout le long de son buste, ses caresses... C'avait été un de ces plaisir... La belle avait envie de lui rendre, lui montrant elle aussi de quoi elle était capable, bien qu'ils se soient déja montré beaucoup de choses dans ce domaine...Posant les mains sur son torse, elle le poussa doucement, lui faisant comprendre que c'était à son tour de s'allonger. Atreus ne se fit pas prier, souriant d'un air coquin, se laissant basculer sur le coussin. La jeune femme s'assit à cheval sur la taille du jeune homme, rejetant ses cheveux en arrière avant de l'embrasser en lui mordillant la lèvre sensuellement. Elle sentit les caresses d'Atreus dans son dos. Chacunes d'elles excitait un peu plus la jeune femme qui descendit déposer à son tour des baisers sur le torse chaud du jeune homme. Joueuse, elle passa sa langue autour d'un téton du jeune homme, puis dans son nombril. Remontant le long de son torse en faisant glisser sa langue sur chaque particule de sa peau se trouvant sur son passage, elle revint à ses lèvres et redescendit encore, faisant cette fois glisser son doigt sur sa peau, si lentement qu'il pouvait en avoir des frissons. Prenant tout son temps pour l'exciter encore et faire durer le plaisir, elle détacha sa ceinture...Parce-que ces moments là étaient inoubliables. Parce-qu'elle l'aimait, parce-qu'elle le voulait en elle. Il était déja dans son coeur, dans sa tête... et elle en voulait plus. Toujours plus, jamais trop. Leurs âmes ne faisaient qu'une, tout comme leur tête et leur coeur. Et lorsque leurs corps fusionnaient à leur tour, c'était l'extase, l'Amour à l'état pur... Contenu sponsoriséSujet Re L'echappée PV Atreus <3 [NC -17] L'echappée PV Atreus <3 [NC -17] Page 1 sur 1 Sujets similaires» Vol PV Atreus » ENTRE 1 ET 10 pv Atreus» Come Break Me Down... PV Atreus» Rencontre amicale [PV Atreus]Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLIS™ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers

  1. Չαտαπу щуβοш
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Unpeu de noir autour des yeux. Viens se cacher la peur du vide. Tu penses nous et tu dis je. Bien sûr tes parents tu les aimes. Mais tu dis qu'ils ne comprennent rien. Ce n'est pas l'avenir qui t'entraîne. Mais c'est l'ennui qui te retient. Je te réponds ma
alpha M artiste Mike Brant titre Rien qu'une larme Les paroles de la chanson Rien qu'une larme »Mike Brant Rien qu’une larme dans tes yeux,C’est toujours ta seule réponse,Quand je te dis qu’il vaudrait mieux,Ne plus se revoir nous deuxJ’étais certain cette foisQue tu me retiendraitOn se trompe quelques foisUne larme a tout changéRien qu’une larme dans tes yeux,Et soudain je réaliseJe réalise que de nous deuxC’est moi le plus malheureuxPar ma faute trop de foisMon amour tu as pleuréJ’ai voulu partir cent foisEt cent fois je suis qu’une larme dans tes yeux,Je comprends combien je t’aimeJe t’aime et je veux te le direJe veux te revoir sourireRien qu’une larme dans tes yeux,C’est toujours ta seule réponse,Rien qu’une larme dans tes yeux,Je veux te revoir sourireRien qu’une larme dans tes yeux,Je comprends combien je t’aime
Crystar: Rien qu’une larme dans tes yeux. Prêt(e) à tout pour sauver votre famille ? NOTE DE MaXoE. VOTE DES LECTEURS. Après son détour sur PS4 et PC en 2019, Crystar nous revient aujourd
ψ parents Le Titan Cronos et l'Océanide Phylira ψ ton métier Professeur de mythologie grecque dans une université Athenienne ψ laisse ton esprit s'exprimer Le centaure est plus petit que la moyenne, 1m90 sous forme centaure et 1m80 avec des jambes ◇ il claudique légèrement du sabot avant-droit / pied droit ◇ Il est un fervent consommateur de thés, infusions et tisanes sans sucre et ne boit pratiquement pas de café et peu souvent du chocolat chaud ◇ Son pelage est marron foncé terni par des poils gris ◇ À reçu d'Apollon une lyre quand il avait 8 ans et un arc à ses 12 ans par Artémis. ◇ Il n'est pas très doué avec un téléphone mobile ◇ ni avec l'informatique en général ◇ Il aime faire de longues promenades dans les parcs et forêts pour pouvoir observer à sa guise les animaux et cueillir des plantes médicinales ◇ Il raffole des plats grecs, notamment de la tiganite, le pancake grec ◇ Il possède un fort accent dû à sa langue natale le grec ancien ◇ Il est très curieux du monde qui l'entoure et il s'intéresse à tout, de la voiture jusqu'à l'art. ◇ Il adore chiner dans les vides-greniers, brocantes et autres antiquités pour trouver de vieux vêtements. ψ je suis très bavard 145ψ Date d'inscription 04/08/2022ψ Age 30ψ Localisation Dans son appartement athénien ψ Emploi Professeur de mythologie grecque à l'université d'Athènes et enseigne en parallèle aux demis-dieux modernes et aux humains liés au Dieuxψ Avatar + credit Fc Mortis + Lauee répondu Mar 16 Aoû - 2151 Chiron & Eris Le ciel est opalin, au yeux du vieux centaure la journée est idéale pour faire cours aux demis-dieux en extérieur, même si la plupart du temps les cours dédié aux demis se font tous sur la plage, Chiron n'ayant pas encore trouvé le lieu parfait pour éduquer la jeune génération c'est lui, à chaque fois, qui prends en charge les frais car cette beauté sableuse, comme beaucoup d'autres plages de la côte d'Apollon, est malheureusement payante, ce que ne comprends pas Chiron, celà le désole même, lui qui a toujours vécu au coeur de Gaïa sans jamais rien deboursé. La nature dois être accessible à tous, elle est libre comme l'air mais l'appât du gain à été visiblement plus fort que la raison, autre temps autre le plus sage et juste des centaures compte enseigner la science des rêves divinatoires à ses disciples, tous assis en tailleur devant le vieux précepteur, un stylo en main et des cahiers posés sur leurs genoux, ils écoutent attentivement le Thessalien, qui se montre à eux sous sa forme semi-équine. Allongé sur la plage, l'homme-cheval les toise d'un regard aussi doux que protecteur, sa queue fouettant l'air pour chasser les quelques mouches qui tourne autour de sa croupe. 《- Mes petits, vous aller inscrire vos rêves dans votre cahier et essayer de les décrypter instinctivement pour en tirer la substantifique moelle divinatoire, si pour certains vous ne vous rappellez de rien, ce n'est pas grave, essayez de vous souvenir de bribes qui vous ont marqué. 》Les demis-dieux obéissent et commence à griffonné quelques mots, sans se douter une seconde que le serpent du chaos s'est glissé parmi eux, animal invisible, sournois. Mais le vieux Chiron à soudainement un mauvais pressentiment, il est pris de quelques nausées et se lève. À peine debout, il assiste à une violente dispute entre Lydia, fille d'Aphrodite et Laegre fils d'Hermès, deux jeunes amoureux qui se chiffonne. 《- Espèce de sale traître, tu me trompe avec cette garce d'Hédonia !》 《Ce n'est pas vrai, on est juste amis, ça va pas plus loin entre nous !》 Une gifle part et bientôt des paroles de miel se déverse des deux camps. Chiron s'interpose avec vivacité entre les deux tourtereaux, son regard désormais aussi tranchant qu'une flèche, Lydia et Laegre baisse le visage, contrits. Le ton du Sagittaire est sévère alors qu'il jauge ses deux interlocuteurs dépités 《- Nous sommes en cours, jeunes gens et votre querelle dérange toute la classe, je vous prie donc de vous taire et de régler le problème après celle-ci, me suis-je bien fait comprendre ?》 Ils hoche silencieusement la tête et font silence, désireux de se faire oublier pourtant le vieux centaure à une petite idée sur la responsable de tout cela et sa nausée de tout à l'heure ne le trompe pas, il reconnaît la manière de faire, la recette ancestrale d'une déité dont il se méfie comme la peste, un dangereux python tapi dans les feuilles d'une jungle.《- Serpent à sonnette qui vient troublé le coeur de mes disciples, montre-toi.》 B-NET Atlantis under the sea under the sea where are you now another dream the monsters running wild inside of me I'm faded I'm faded so lost I'm faded these shallow waters, never met what I needed I'm letting go a deeper dive eternal silence of the sea I'm breathing » Laueee ψ parents Hera et Zeusψ ton métier Semer le chaos et la discorde ψ laisse ton esprit s'exprimer Here goes Chaosψ je suis très bavard 49ψ Date d'inscription 10/08/2022ψ Emploi Responsable RH à War. Incψ Avatar + credit Charinthra Chandran + Murdock répondu Mer 17 Aoû - 1332Je n'avais pas particulièrement prévu de torturer spécifiquement Chiron aujourd'hui, pas que j'ai de quelconque remords ou réticences à faire mon oeuvre autour de ce vieux haridelle. Mais le monde ne tourne pas autour de son équine personne, et j'ai d'autres choses à faire que ça. Cela dit, quand une occasion se présente, je la saisi. Ils étaient si mignons après tout, sur cette plage de sable blanc, tous réunis autours du vieux sage gâteux. A l'écouter déblatérer son non sens, comme s'ils pouvaient vraiment être capable de le comprendre et d'en faire quoique ce soit de constructif. J'ai vu mon lot de demi-dieux et déesse, héros et héroïnes, les légendes ne leur font pas justice. Iels sont tous bien pires et médiocres. Je ne sais pas pourquoi la vieille bourrique s'entête, ses petits chéris finiront par s'entretuer et s'entredéchirer, et souiller leurs lignées pour les siècles et les siècles à venir par leurs fautes et leurs hybris. C'est ainsi, ça a toujours été ainsi et cela finira comme ça avec ielleux aussi. Je ne m'en plains pas, moi je donne juste le coup de pouce et profite du spectacle. Honnêtement lorsqu'on me présente un banquet pareil en libre service, on ne peut pas me reprocher d'en profiter. C'est presque trop simple, je n'ai rien à planter, juste secouer légèrement l'arbre pour que les fruits tombent. Je suis subtile, petite brise sur l'épaule qui chuchotte à l'oreille les mots qu'elle pense déjà. Je lui souligne ce qui est sous ses yeux et qu'elle constate déjà depuis des jours et des jours. Ce qui la ronge et certainement à raison. Le reste est entièrement son oeuvre. Moi je ris sous cape lorsque les deux tourtereaux enragés en viennent aux mains. Cela dit le spectacle est interrompu trop vite à mon goût par Chiron, lui et sa tendance à stopper toute forme d'amusement… Rah, le rabat joie. Au tour du groupe, il y a quelques personnes qui profitent de la plage et de la météo. Un groupe de qui profitent de leurs vieux jours en se dorant la pilule et remplissant des grilles de mots-croisés et certainement en jouant au ramis. Un couple effarouché par l'explosion récente des Et une petite fille en robe d'été en train de construire un château de sable innocemment. Elle lève sa tête, curieuse vers le centaure qui a fait résonner sa voix puissante dans l'air. La fillette s'avance du vieux centaure, levant ses grands yeux sombres vers lui et elle lui sourit. Mais pas un sourire d'enfant, c'est un sourire sans âge et plein de dents et de pointes acides. C'est un sourire cruel et satisfait de soi. C'est mon sourire sur le visage plein de douceur et d'innocence de la fillette. L'instant d'après elle n'est plus là, j'abandonne cette forme fragile et délicate pour celle qui est ma préférée du moment. Toujours un visage d'ange mais bien plus adulte et mature que ma précédente. Je ris franchement devant lui et son groupe de mioches. -Allons, je suis plus un oiseau de mauvaise augure qu'un serpent. Tu le sais pourtant, vieille carne. Je pourrais me vexer, c'est à croire que tu cherches à m' totalement le reste de l'assistance, ils ne comptent pas. -Et puis honnêtement, pour le coup je n'ai pas fait grand chose. Ces deux là ont clairement des problèmes relationnels et ça aurait explosé tôt ou tard. D'un mouvement de tête détaché je désigne vaguement les deux auteurs du récent pugilat avorté. Une honte, vraiment. -J'ai juste aidé à percer l'abcès, on devrait me remercier plutôt. Surtout que, même moi qui n'en ait rien à faire je vois bien comme l'autre regarde les autres filles, là. Vraiment, il s'en cache même pas, il faudrait être aveugle pour ne pas le réaliser. Cette fois je m'adresse à la fille, très très jolie d'ailleurs en toute objectivité. -Non vraiment, tu devrais me remercier, petite. Je t'ai fait gagner un temps précieux. Maintenant vous pouvez retourner vous étriper, ce sera toujours plus propre ici avec le sable que plus tard et ailleurs. ψ parents Le Titan Cronos et l'Océanide Phylira ψ ton métier Professeur de mythologie grecque dans une université Athenienne ψ laisse ton esprit s'exprimer Le centaure est plus petit que la moyenne, 1m90 sous forme centaure et 1m80 avec des jambes ◇ il claudique légèrement du sabot avant-droit / pied droit ◇ Il est un fervent consommateur de thés, infusions et tisanes sans sucre et ne boit pratiquement pas de café et peu souvent du chocolat chaud ◇ Son pelage est marron foncé terni par des poils gris ◇ À reçu d'Apollon une lyre quand il avait 8 ans et un arc à ses 12 ans par Artémis. ◇ Il n'est pas très doué avec un téléphone mobile ◇ ni avec l'informatique en général ◇ Il aime faire de longues promenades dans les parcs et forêts pour pouvoir observer à sa guise les animaux et cueillir des plantes médicinales ◇ Il raffole des plats grecs, notamment de la tiganite, le pancake grec ◇ Il possède un fort accent dû à sa langue natale le grec ancien ◇ Il est très curieux du monde qui l'entoure et il s'intéresse à tout, de la voiture jusqu'à l'art. ◇ Il adore chiner dans les vides-greniers, brocantes et autres antiquités pour trouver de vieux vêtements. ψ je suis très bavard 145ψ Date d'inscription 04/08/2022ψ Age 30ψ Localisation Dans son appartement athénien ψ Emploi Professeur de mythologie grecque à l'université d'Athènes et enseigne en parallèle aux demis-dieux modernes et aux humains liés au Dieuxψ Avatar + credit Fc Mortis + Lauee répondu Mer 17 Aoû - 2322 Chiron & Eris Le vieux centaure s'attends à ce que le crotale soit caché dans le rang de ses étudiants mais très vite il constate que ce n'est guère le cas lorsqu'il aperçoit une petite fille arrivé devant lui. Elle aurait pu être une enfant ordinaire si ce n'est ces yeux qui luisent d'une lueur mauvaise et cette bouche qui s'ouvre sur des dents longues et acérées. Une aura macabre se dégage de cette petite qui reprends bien vite sa forme initiale une femme qu'il aurait pu trouver sympathique si elle n'était pas la déesse de la Discorde, semeuse de zizanie entre les êtres et les poussant à se déchirer. 《- Allons, je suis plus un oiseau de mauvaise augure qu'un serpent. Tu le sais pourtant, vieille carne. Je pourrais me vexer, c'est à croire que tu cherches à m'insulter. Et puis honnêtement, pour le coup je n'ai pas fait grand chose. Ces deux là ont clairement des problèmes relationnels et ça aurait explosé tôt ou tard. J'ai juste aidé à percer l'abcès, on devrait me remercier plutôt. Surtout que, même moi qui n'en ait rien à faire je vois bien comme l'autre regarde les autres filles, là. Vraiment, il s'en cache même pas, il faudrait être aveugle pour ne pas le réaliser.》 Chiron la regarde ensuite s'adresser à la petite Lydia, silencieuse, il à l'impression de voir un vautour fondre sur un pauvre lapin blessé mortellement 《- Non vraiment, tu devrais me remercier, petite. Je t'ai fait gagner un temps précieux. Maintenant vous pouvez retourner vous étriper, ce sera toujours plus propre ici avec le sable que plus tard et ailleurs.》La discorde n'existe pas d'elle-même, ce sont les humains mais aussi les dieux qui ont donné vie à cette entité, sans vraiment le vouloir car tant qu'il y aura des désaccords sur tout les plans, que celà soit divin où mortel, cette créature s'en nourrira comme le vampire moderne du sang de ces victimes le vieux centaure remercie mentalement au passage son amie Calliopée qui lui à fait découvrir Carmilla de Sheridan le Fanu et Dracula de Bram Stocker ! Les disputes la maintient en vie, comme le vampire boit abondamment le liquide vital des pauvres hères qui ont le malheur de croiser son chemin. Chiron se retourne vers le jeune couple, honteux d'être tomber dans le piège de la malveillante déité. Ils sont jeunes, inexpérimentés et ils ont encore beaucoup à découvrir de la vie.《- Que celà vous servent de leçons, jeunes poulains, ne laissez pas l'ombre envahir votre coeur et accrochez-vous à des souvenirs positifs afin de ne plus vous faire prendre au piège.》 Et lorsque son regard chocolat se tourne vers Eris, toute trace de bonté quotidienne à disparu, cependant il ne peut s'empêcher de ressentir une vague de compassion pour cette femme, pourtant dangereuse. En précepteur papa poule, et méfiant envers la femme qui se tient devant lui, il forme un bouclier entre sa classe de demis-dieux et la déesse grâce à son corps semi-équin. 《- Tu n'est pas la bienvenue ici, Eris, à moins que tu ne désire apprendre à aimer les humains, mais au vu de ton caractère je doute fort que tu prêche pour la générosité.》 B-NET Atlantis under the sea under the sea where are you now another dream the monsters running wild inside of me I'm faded I'm faded so lost I'm faded these shallow waters, never met what I needed I'm letting go a deeper dive eternal silence of the sea I'm breathing » Laueee ψ parents Hera et Zeusψ ton métier Semer le chaos et la discorde ψ laisse ton esprit s'exprimer Here goes Chaosψ je suis très bavard 49ψ Date d'inscription 10/08/2022ψ Emploi Responsable RH à War. Incψ Avatar + credit Charinthra Chandran + Murdock répondu Jeu 18 Aoû - 1551Je roule des yeux, ouvertement exaspérée et presque blasée par les paroles du vieux centaure. Je n'ai rien créé qui n'était pas déjà là, la fille mourrait de jalousie et de suspicion, tout était étalé sous ses yeux. Je n'ai rien planté, juste cueilli. Ses poulains» n'ont pas besoin de moi pour avoir de l'ombre dans leur coeur et se laisser dévorer par celle-ci. D'une manière ou d'une autre à un moment où un autre iels céderont tous à leurs passions les plus basses et vulgaires. La vertu n'est qu'une amourette temporaire, une maîtresse de bas étage dont on se lasse bien vite. Je suis toujours aussi éberluée que lui, le vieux sage si savant et éclairé, le mentor des plus grands héros et dégénérés de ce côté du globe soit aussi borné à rester aveugle à la véritable nature de ses -Allons, Chiron je t'ai connu moins plat et fade dans tes leçons. Que vas-tu leur enseigner après ? Qu'iels n'auront jamais à se battre pour leur dû ? Que le monde dans lequel iels ont un pied, notre monde Chiron, ne les écrasera pas sous ses talons à la première occasion ? Que si vraiment iels sont bien dans leurs bottes ils auront une fin heureuse ? Ne me fais pas rire, vieux canasson. Toi comme moi savons très bien ce qu'il en est. Si d'entre ielleux ne connaît pas une mort violente, ce sera déjà bien. Même si franchement peu distrayant. Les morts propres ça n'existe pas chez nous, les vies tranquilles non plus. S'iels ne l'acceptent pas, ils ont encore moins leur place parmi nous. Je secoue la tête et pousse un soupir audible. -Tu ne rends pas service à tes poulains si tu les maintiens dans un mensonge grossier. Et si tu crois aussi qu'ils sont de gentils petits agneaux. Dois-je te rappeler Jason ? Ce petit prince, tu l'as bien élevé alors que ce n'était encore qu'un morveux baveux juste bon à souiller ses couches, il me semble. Ton éducation ne l'a pas empêché de cautionner bien des crimes et d'être un infâme ingrat. Et je ne te cite que lui, parce que oui la liste est longue, vraiment longue. Rends-toi à l'évidence, tu cherches de l'or là où il n'y a que boue putride et fange. Je ris en entendant ses mots, un rire franc et libre qui vient se mêler aux vagues azur qui se brise en écume ivoire sur le sable. Je sens la peur des jeunes derrière le vieux sénile, c'est bien au moins ont-ils un minimum de sens commun ciels-là. L'odeur âcre se mélange à celle piquante de l'iode, ne manque que le goût de leurs larmes et leurs sangs sur ma langue et là… Rien que le chatouillis dans mes narines du parfum de leur crainte m'ouvre l'appétit. Ma langue passe avidement sur mes lèvres, récoltant le goût du sel et du soleil, alors que mes yeux se plantent à nouveau dans ceux de Chiron. Je lui souris, un sourire innocent et sincère qui colle avec mon visage d'ange. -Je n'ai que faire d'être bienvenue ou non, Chiron. Cela dit, j'avoue que je suis curieuse de voir les cours que tu peux donner. Et pour te donner tort, je vais me montrer particulièrement généreuse ! Personne n'a jamais dit que la discorde était pingre après tout. Avec la grâce d'un chat, ou peut-être plus d'un serpent, je m'approche encore plus près de Chiron. Toujours souriante, je commence à beaucoup trop m'amuser pour vouloir partir as une déesse à ta disposition pour ton cours, mon cher. Fais en bon usage, je suis prête à participer. Qui sait, peut-être que cette expérience va finir par me faire aimer les mortels ? ψ parents Le Titan Cronos et l'Océanide Phylira ψ ton métier Professeur de mythologie grecque dans une université Athenienne ψ laisse ton esprit s'exprimer Le centaure est plus petit que la moyenne, 1m90 sous forme centaure et 1m80 avec des jambes ◇ il claudique légèrement du sabot avant-droit / pied droit ◇ Il est un fervent consommateur de thés, infusions et tisanes sans sucre et ne boit pratiquement pas de café et peu souvent du chocolat chaud ◇ Son pelage est marron foncé terni par des poils gris ◇ À reçu d'Apollon une lyre quand il avait 8 ans et un arc à ses 12 ans par Artémis. ◇ Il n'est pas très doué avec un téléphone mobile ◇ ni avec l'informatique en général ◇ Il aime faire de longues promenades dans les parcs et forêts pour pouvoir observer à sa guise les animaux et cueillir des plantes médicinales ◇ Il raffole des plats grecs, notamment de la tiganite, le pancake grec ◇ Il possède un fort accent dû à sa langue natale le grec ancien ◇ Il est très curieux du monde qui l'entoure et il s'intéresse à tout, de la voiture jusqu'à l'art. ◇ Il adore chiner dans les vides-greniers, brocantes et autres antiquités pour trouver de vieux vêtements. ψ je suis très bavard 145ψ Date d'inscription 04/08/2022ψ Age 30ψ Localisation Dans son appartement athénien ψ Emploi Professeur de mythologie grecque à l'université d'Athènes et enseigne en parallèle aux demis-dieux modernes et aux humains liés au Dieuxψ Avatar + credit Fc Mortis + Lauee répondu Jeu 18 Aoû - 1716 Chiron & Eris Il est vrai que tout les héros ont eue une fin amère, tragique. Celle de Jason l'est encore plus que les autres, le vieux centaure se remémore la silhouette du petit prince d'Iolcos. Un jeune homme fluet et plus jeune que son âge le laissait entendre, il avait l'assurance agressive de l'être indépendant et dans ses yeux sombres brillait la calme intention de survie. Ce jeune homme à lever un équipage pour partir à la conquête de la Toison d'Or afin de récupérer le trône de son père volé par Pélias, un équipage qui n'a pas manqué de s'arrêter à sa grotte pour venir le voir au passage. Mais tout celà n'a hélas servi à rien, puisque l'ursupateur mort, son fils obligea Jason et Médée à partir. Jason se retira avec Médée à Corinthe, où il vécut heureux pendant dix ans, jusqu'à ce qu'il la répudie, épris d'amour pour Glaucé ou Créüse, fille de Créon, roi de Corinthe. Médée, dans sa fureur dévastatrice, fit périr sa rivale et égorgea les deux enfants qu'elle avait eus de Jason. Celui-ci voulu par la suite détruire Iolcos et se réconcilie au passage avec son ex-épouse. Il finit par s'oter la vie, fatigué par l'usure du temps et des épreuves. 《- Je connais fort bien la vie de chacuns de mes disciples, je leur donne les armes pour affronter leur destin, le croquer à pleine dent et oui je sais comment à fini mon petit Jason, il s'est donné la mort, mais dois-je aussi te rappeler que la guerre de Troie fut causée par ton intervention ? La Pomme d'or de la Discorde lancée au banquet de mon petit-fils où tu n'a pas été invitée ? C'est finalement mon demi-frère qui à demander à Pâris de couper la pomme en deux, il choisit Aphrodite avant d'enlever Hélène de Spartes, la suite tu la connais, je crois ! D'ailleurs il me semble qu'Achille à péri de la main de Pâris et le doux Patrocle, que j'ai élevé au côté du chef des mirmydons, est tombé de la main du prince Hector.》 Car la guerre de Troie à pris racine au banquet de noces du roi Pelée avec Thétis, son petit-fils était d'ailleurs resplendissant à ce glorieux événement, après tout c'est lui qui a conseillé le souverain au plus juste pour dérober son coeur. Par la suite il observe la déesse se passer la langue sur les lèvres, et il se demande quelle idée malfaisante peut bien courir dans les méandres de son âme. Il ne tarde pas à en être informé. Elle s'approche au plus près de lui, elle est si proche qu'il sent son haleine de soufre. Elle veut participer à son cours. Il fronce les sourcils, assez surpris par cette demande incongrue venant d'elle et ne prends pas la peine de soulever les insultes. 《- Certes, il y a peut-être une chance de faire naître un beau fruit dans ce coeur sec de tout amour.》 Dans son âme, la méfiance mène le combat contre la compassion, Chiron à beau ne pas avoir confiance en cette déesse il ne peut pas s'empêcher de ressentir une vague de pitié une vie sans aimer, à se jouer des destins comme une marionnettiste et se nourrir de disputes doit être une existence bien âpre. B-NET Atlantis under the sea under the sea where are you now another dream the monsters running wild inside of me I'm faded I'm faded so lost I'm faded these shallow waters, never met what I needed I'm letting go a deeper dive eternal silence of the sea I'm breathing » Laueee ψ parents Hera et Zeusψ ton métier Semer le chaos et la discorde ψ laisse ton esprit s'exprimer Here goes Chaosψ je suis très bavard 49ψ Date d'inscription 10/08/2022ψ Emploi Responsable RH à War. Incψ Avatar + credit Charinthra Chandran + Murdock répondu Jeu 18 Aoû - 1903Ah la pomme d'or, un de mes meilleurs travaux. Je souris doucement à Chiron. -Tu me flattes à évoquer les conséquences d'une des mes meilleures oeuvres. Je ronronne presque, sans plus son petit discours avait l'intention d'être une pique c'est raté, ça me passe totalement au-dessus de la tête. Oh Chiron, mon cher, ne présume pas de choses que tu ne peux pas appréhender. Mon coeur et mon crâne en font partie, nous sommes trop différents pour que je m'attende à ce que tu comprennes. Mais ça ne sert à rien de le relever, je m'en amuse plus qu'autre chose. Je suis capable de produire des fruits merveilleux, de bousculer la course des choses et du temps, de transformer de tout au tout le monde. Je suis le mouvement, l'antithèse de la contemplation. Je ne veux que le changement et les remous sans me soucier de la destination ou des frêles embarcations autour. -Et bien parfait alors ! Sans plus de cérémonie, je m'assoie sur un des rochers de la digue à proximité et croise mes jambes tout en regardant la petite assemblée. -Alors, Chiron, que veux-tu enseigner en ma présence ? Je suis toute ouïe. ψ parents Le Titan Cronos et l'Océanide Phylira ψ ton métier Professeur de mythologie grecque dans une université Athenienne ψ laisse ton esprit s'exprimer Le centaure est plus petit que la moyenne, 1m90 sous forme centaure et 1m80 avec des jambes ◇ il claudique légèrement du sabot avant-droit / pied droit ◇ Il est un fervent consommateur de thés, infusions et tisanes sans sucre et ne boit pratiquement pas de café et peu souvent du chocolat chaud ◇ Son pelage est marron foncé terni par des poils gris ◇ À reçu d'Apollon une lyre quand il avait 8 ans et un arc à ses 12 ans par Artémis. ◇ Il n'est pas très doué avec un téléphone mobile ◇ ni avec l'informatique en général ◇ Il aime faire de longues promenades dans les parcs et forêts pour pouvoir observer à sa guise les animaux et cueillir des plantes médicinales ◇ Il raffole des plats grecs, notamment de la tiganite, le pancake grec ◇ Il possède un fort accent dû à sa langue natale le grec ancien ◇ Il est très curieux du monde qui l'entoure et il s'intéresse à tout, de la voiture jusqu'à l'art. ◇ Il adore chiner dans les vides-greniers, brocantes et autres antiquités pour trouver de vieux vêtements. ψ je suis très bavard 145ψ Date d'inscription 04/08/2022ψ Age 30ψ Localisation Dans son appartement athénien ψ Emploi Professeur de mythologie grecque à l'université d'Athènes et enseigne en parallèle aux demis-dieux modernes et aux humains liés au Dieuxψ Avatar + credit Fc Mortis + Lauee répondu Jeu 18 Aoû - 2050 Chiron & Eris Elle s'installe sur une digue à proximité de ses disciples, les jambes croisées en position du lotus. Chiron espère, malgré la désagréable impression que lui inspire la jeune femme, de pouvoir faire naître le fruit de la compassion dans le coeur d'Eris, du moins il veut croire qu'il peut la sauver, l'aider à voir les choses de manière différente. Oh, c'est une idée aussi petite qu'un moineau, mais elle fait son nid dans son vieux coeur. L'assemblée de demis-dieux reste silencieusement immobile et reprennent avec tranquillité leurs cahiers pour consigner les songes de la nuit, mais leur peur est toujours palpable cependant, le vieux centaure le sent. Il à un petit mouvement de la tête à leur intention qui signifie "soyez tranquille, je veille sur vous." 《- Tu as faim de discorde, mais cet appétit ne te rassasie jamais, il n'apporte qu'amertume en bouche, contrairement à la science des êtres qui nourrit à juste mesure son homme. Observe bien les mortels, regarde-les, ils font beaucoup d'erreurs mais ils sont là pour apprendre, pour grandir et vivre. Certains sont effectivement des personnages abjects, mais ils ne sont pas nés ainsi, c'est le passé et l'éducation qui à forgé leur monstruosité. Et parfois, dans le malheur, certains sont capables de force mentale prodigieuse, comme le roseau ils se plient mais ne rompts pas devant le vent de la vie ni les arbres qui chutent sur leurs routes.》 Chiron ressent à ce moment-là une onde de gratitude envers les jumeaux Divins qui l'ont recueilli alors qu'il errais dans la montagne, seul et sans nulle autre amis que des pensées au plumage de corbeau, livré à lui-même en proie aux moqueries et au regard cassant voir indifférent des êtres vivants qu'il à pu croiser au carrefour des chemins. Le rejet pique comme un fil d'aiguilles. Si Polo et Atémimi ne l'avais pas sauvé, s'ils ne l'avaient pas tiré de l'abyme, il serait sans doute devenu comme certains de son espèce alcoolique, violent et pervers. Chiron englobe d'un gracieux geste de la main les touristes de tout âge pelotonner dans leurs serviettes. 《- C'est pour ça que j'aime les humains, qu'ils soient ordinaires où enfants divins.》 Il ris de bon coeur devant le petit couple de retraités confortablement avachi sur leurs transats, profondément immergé dans leurs mots croisés, et leurs grilles de mots mêlés. Depuis le retour des Dieux sur Terre, grâce à la foudroyante décision de Zeus, les touristes ont littéralement affluer en Grèce, d'après les propos de ses collègues de travail qui trouvait Athènes bien paisible avant l'apparition divine. B-NET Atlantis under the sea under the sea where are you now another dream the monsters running wild inside of me I'm faded I'm faded so lost I'm faded these shallow waters, never met what I needed I'm letting go a deeper dive eternal silence of the sea I'm breathing » Laueee ψ parents Hera et Zeusψ ton métier Semer le chaos et la discorde ψ laisse ton esprit s'exprimer Here goes Chaosψ je suis très bavard 49ψ Date d'inscription 10/08/2022ψ Emploi Responsable RH à War. Incψ Avatar + credit Charinthra Chandran + Murdock répondu Jeu 18 Aoû - 2248Oh… Cruelles Moires… J'avais oublié à quel point les leçons de Chiron pouvaient être d'un ennui ! Pourquoi me suis-je infligée ça ? Pourquoi faut-il que l'amnésie sélective de l'immortalité me frappe dans ces circonstances ? Uuuurgh. J'avoue, je l'ai cherché pour le faut que je renverse ça vite, avant de crever d'ennui. En une fraction de seconde j'ai décidé de la marche à suivre. Je prends un air absolument fasciné devant ses paroles, comme si je commençais à les boire comme du petit lait. Je me met à battre des cils, et commence progressivement à me pencher en avant, mettant en avant mes appâts. -Oh oui, Chiron. Je sens monter en moi tout cet amour pour les humains ! Parle moi encore de la bonté humaine inhérente ! J'humidifie mes lèvres d'un coup de langue évocateur avant de laisser un gémissement passer mes lèvres tout en vibrato. Voilà, vieille carne, voyons comment tu réagis face à ce genre de comportement. ψ parents Le Titan Cronos et l'Océanide Phylira ψ ton métier Professeur de mythologie grecque dans une université Athenienne ψ laisse ton esprit s'exprimer Le centaure est plus petit que la moyenne, 1m90 sous forme centaure et 1m80 avec des jambes ◇ il claudique légèrement du sabot avant-droit / pied droit ◇ Il est un fervent consommateur de thés, infusions et tisanes sans sucre et ne boit pratiquement pas de café et peu souvent du chocolat chaud ◇ Son pelage est marron foncé terni par des poils gris ◇ À reçu d'Apollon une lyre quand il avait 8 ans et un arc à ses 12 ans par Artémis. ◇ Il n'est pas très doué avec un téléphone mobile ◇ ni avec l'informatique en général ◇ Il aime faire de longues promenades dans les parcs et forêts pour pouvoir observer à sa guise les animaux et cueillir des plantes médicinales ◇ Il raffole des plats grecs, notamment de la tiganite, le pancake grec ◇ Il possède un fort accent dû à sa langue natale le grec ancien ◇ Il est très curieux du monde qui l'entoure et il s'intéresse à tout, de la voiture jusqu'à l'art. ◇ Il adore chiner dans les vides-greniers, brocantes et autres antiquités pour trouver de vieux vêtements. ψ je suis très bavard 145ψ Date d'inscription 04/08/2022ψ Age 30ψ Localisation Dans son appartement athénien ψ Emploi Professeur de mythologie grecque à l'université d'Athènes et enseigne en parallèle aux demis-dieux modernes et aux humains liés au Dieuxψ Avatar + credit Fc Mortis + Lauee répondu Ven 19 Aoû - 1733 Chiron & Eris Le vieux centaure fronce légèrement les sourcils, elle n'a visiblement rien écouter de la leçon qu'il vient de lui administrer, en aucun cas il n'a parlé de la bonté de l'humanité mais plutôt des milles émotions qui traverse tout leurs êtres si complexes et si riches, les humains sont de véritables puzzles vivants. Chacuns de leurs destins est unique, ils ne vivent jamais les mêmes événements d'un individu à l'autre, ne les perçoivent pas de la même manière. 《- Les hommes sont loin d'être des créatures pleines de bonté, elles sont grises ce qui fait leur charme. Ils sont sur Terre pour expérimenter et tirer des enseignements de leurs erreurs passées où présentes. Et je suis là pour les guidés, pour transmettre mon savoir. 》 Un cycle de vie sans fin, Artémis et Apollon ont effectué ce travail de transmission auprès de l'enfant cheval égaré qu'il était autrefois et désormais c'est lui qui continue ce superbe devoir auprès de la jeune génération. Et c'est là que le vieux centaure remarque que le comportement de la Discorde devient plus que douteux, pour ne pas dire étrange. Elle se met soudainement à gémir, battre des cils à répétition et penche son buste en avant, Chiron à d'ailleurs une belle vue sur ce décolleté venimeux mais il reste de glace devant cette fausse tactique de séduction, car il comprend qu'elle est en train de le mener par le bout du nez et il à beau être séparé de son épouse qu'il recherche d'ailleurs partout, il est toujours unis par le lien sacré du mariage et est toujours aussi amoureux d'elle depuis le premier jour où il à posé les yeux sur elle alors qu'elle était en pleine cueillette de cresson. Peu convaincu par la ruse d'Eris, il caresse sa barbe aux poils gris encore traversé de quelques fils marron. 《- Tu perds ton temps, je suis insensible à ton charme, du reste je suis un homme marié.》 Eris à quant à elle, engendré seule de nombreux enfants, tous aussi pernicieux qu'elle Ponos la Peine, Léthé l'Oubli, Limos la Faim, Phonoi et Makhai les Meurtres et les Combats, Dysnomie et Até l'Anomie et le Désastre, Algea les Douleurs, Hysminai les Mêlées, Androktasiai les Tueries, Neikea les Querelles, Amphillogiai les Disputes, Pseudologoi les Mensonges et Horkos le Serment. Mais au fond, le Thessalien veut croire qu'il y a une lueur d'espoir et qu'il peut faire revenir la déesse à des émotions meilleures, car ce sont bien ces origines qui lui susurre ces actes. Elle est la déesse de la Discorde, elle se comporte donc comme son rôle l'indique. 《- Je suis certain que tu peux combattre tes pulsions et que tu peut être sincère, cette qualité est tout au fond de toi, mais tu ne veux rien voir, trop aveuglée par tes défauts. J'ai conscience que c'est ta nature et que se battre contre soi-même est une guerre que tu peux croire jouer d'avance, mais ouvre les yeux aux richesses qui sommeille au plus profond de toi. Je ne veux pas que tu devienne parfaite, mais que tu réalise que tu n'est pas que manipulation et discorde. 》 B-NET Atlantis under the sea under the sea where are you now another dream the monsters running wild inside of me I'm faded I'm faded so lost I'm faded these shallow waters, never met what I needed I'm letting go a deeper dive eternal silence of the sea I'm breathing » Laueee ψ parents Hera et Zeusψ ton métier Semer le chaos et la discorde ψ laisse ton esprit s'exprimer Here goes Chaosψ je suis très bavard 49ψ Date d'inscription 10/08/2022ψ Emploi Responsable RH à War. Incψ Avatar + credit Charinthra Chandran + Murdock répondu Dim 21 Aoû - 2338J'aurais préféré une réaction plus marquée de la part du centaure, mais on va se contenter de ça. C'est quand même assez pour m'arracher un sourire carnassier des lèvres, si le vieux canasson n'est pas sensible à mes charmes ce n'est pas le cas de tout le monde, et le statut marital n'a rien à voir avec ça. J'appuie mon regard sur les clairement par le spectacle que je viens d'offrir, un clin d'oeil provocateur suivi d'un baiser envoyé du bout de mes doigts et cela termine de les faire sombrer dans un mélange de panique et d'excitation. Ah, ça c'est beaucoup plus marrant. -Comme si un mariage immunisait contre l'attrait de la chair, je relève avec un rire acide. Tu es bien naïf si tu crois cela, ou simplement stupide. Je conclu avec un claquement de langue sec, mamounette pourrait en témoigner, un mariage n'a jamais réussi à contenir les ardeurs de mon père, mes oncles, frères et cousins. Pas plus que bon nombre de personne du genre opposé de ma famille. Chez les ce n'est pas mieux, absolument pas les paroles de Chiron font vibrer quelque chose en moi, elles déposent la promesse d'un arome sur ma langue et font bourdonner dans le lointain mes oreilles. Il y a quelque chose à creuser de ce côté-là, c'est vrai que le vieux est marié mais cela fait un moment que je n'ai pas eu de nouvelles de la dame. Pas que j'en ai quelque chose à faire de son devenir, mais elle peut être d'une certaine utilité ici. -Cela dit je souhaite à ta femme de vite trouver une échapatoire à sa situation. Clairement être à toi doit être d'un ennui mortel. A sa place j'aurais pris la clef des champs et ma liberté avant même d'être menée à l'autel. Je contemple mes ongles distraitement, me demandant si m'offrir une manucure ne serait pas une mauvaise idée. Je pourrais changer leur apparence sur le champ, mais je n'ai rien contre la perspective de me faire chouchouter durant une à deux heures, il faut savoir prendre soin de soi. Je fini cependant par pousser un soupir exaspéré et relève ma tête pour planter mon regard dans celui de Chiron. -Tu parles de choses que tu ne comprends pas, Chiron. Toute ta sagesse ne t'empêche pas de balancer de belles conneries on dirait. Est-ce l'âge ou simplement de la bêtise ? Si tu me prends vraiment pour un être unidimensionnel tu t'es trompé. Si tu me crois dominée par des pulsions et pas plus résistante qu'une vulgaire mortelle, tu t'es mis le doigt dans l'oeil jusqu'au coude. Tu te laisses guider par une vision en noir et blanc, je ne suis ni bonne, ni mauvaise. Je suis ce que je suis, les principes moraux ne m'atteignent pas. A force tu devrais le savoir. Vraiment si tu apprends cela à tes étudiants, je les plains. Continue de m'insulter ainsi, et je te promets que tu regretteras de ne pas finir en lasagnes surgelées… Ma voix est glaciale, mon regard plus dur que l'airain et tranchant comme l'acier. Toute ma colère sourde est dirigée contre Chiron. Pour qui et quoi me prend-t-il ? J'ai vécu des millénaires et des millénaires, j'ai senti vu le monde devenir ce qu'il est, j'ai participé à sa construction tel qu'il est. J'ai maudit et béni plus de que quiconque ne saurait en compter. J'ai détruit, j'ai pillé, j'ai fait s'effondrer des empires et des dynasties qui prometaient de continuer pour des siècles et des siècles. J'ai aussi permis à de nouvelles aubes et de nouveaux ordres des choses de se lever, j'ai fait tourner la roue de l'Histoire pour le meilleur comme pour le pire. Mon travail n'est pas pur et tranché, et c'est ce que j'aime chez lui. J'emmêle les pelotes de la tapisserie, je force le changement de motif et de fils. Je crée l'imprévu, l'inattendu, je défie l'ordre établi. Je n'ai que faire du regard que peuvent poser les autres sur moi, qu'ils s'étouffent, pleurent et déplorent autant qu'ils veulent. Moi je continue de rire et de danser, de tresser de mes mains les fils dans un désordre indescriptible que ce soit pour qu'ils se couvrent de sang et tombent en cendre ou bien en ressortent fils d'or. -Crois-tu vraiment qu'Apollon et Artémis soient au-dessus de moi ? Plus noble, preux et bienveillant ? Ah ! Ne me fais pas rire. Ce sont des êtres aussi monstrueux et cruels que moi. ψ parents Le Titan Cronos et l'Océanide Phylira ψ ton métier Professeur de mythologie grecque dans une université Athenienne ψ laisse ton esprit s'exprimer Le centaure est plus petit que la moyenne, 1m90 sous forme centaure et 1m80 avec des jambes ◇ il claudique légèrement du sabot avant-droit / pied droit ◇ Il est un fervent consommateur de thés, infusions et tisanes sans sucre et ne boit pratiquement pas de café et peu souvent du chocolat chaud ◇ Son pelage est marron foncé terni par des poils gris ◇ À reçu d'Apollon une lyre quand il avait 8 ans et un arc à ses 12 ans par Artémis. ◇ Il n'est pas très doué avec un téléphone mobile ◇ ni avec l'informatique en général ◇ Il aime faire de longues promenades dans les parcs et forêts pour pouvoir observer à sa guise les animaux et cueillir des plantes médicinales ◇ Il raffole des plats grecs, notamment de la tiganite, le pancake grec ◇ Il possède un fort accent dû à sa langue natale le grec ancien ◇ Il est très curieux du monde qui l'entoure et il s'intéresse à tout, de la voiture jusqu'à l'art. ◇ Il adore chiner dans les vides-greniers, brocantes et autres antiquités pour trouver de vieux vêtements. ψ je suis très bavard 145ψ Date d'inscription 04/08/2022ψ Age 30ψ Localisation Dans son appartement athénien ψ Emploi Professeur de mythologie grecque à l'université d'Athènes et enseigne en parallèle aux demis-dieux modernes et aux humains liés au Dieuxψ Avatar + credit Fc Mortis + Lauee répondu Lun 22 Aoû - 942 Chiron & Eris On fait tous des erreurs, même les plus valeureux et sages d'entre nous peuvent se tromper, et le vieux centaure ne fait pas exception à la règle, il n'échappe pas à l'imperfection ni au fourvoyé. Il apprend encore à son âge il ne cesse jamais, notamment ce mystérieux et nouveau pouvoir de jambes humaines qu'il maîtrise mal et qui lui échappe. Oui il s'aperçoit que ranger les Dieux dans des cases établis par avance n'est pas convenable, surtout Eris, et ce n'est pas les menaces qui l'effraie, à son âge il en à vu d'autres et à vécu milles émotions au côté de ses parents de coeur. La Discorde fait parti de l'équilibre du monde, ce n'est pas pour autant qu'il cessera de se méfier d'elle, bien au contraire. Devant cette tornade glacée, ces yeux effilés qui s'abat sur lui, Chiron reste calme et mesuré, il sait mieux que quiconque que la colère est mauvaise conseillère en plus d'être un point faible, il se souvient notamment de son combat avec Iàsonas quand il était plus jeune, ce fils de pêcheur qu'il à rencontrer après avoir été enfermé pendant 3 jours dans la caverne des centaures, et confronté à la désillusion et à la peur dans cette rivière d'êtres soûls. Il s'était bagarré avec le jeune homme et finalement ils sont devenus amis proches. 《- Certes, tu n'est ni bonne, ni mauvaise, je le conçois, tout le monde fait des erreurs, moi le premier j'ai la sagesse de les reconnaître, mais on reçoit des enseignements à tout âge j'ai eue tort de te ranger dans un tiroir mais laisse-moi te donner un conseil, et un très bon ne sous estime pas les humains, jamais. J'ai vécu au milieu d'eux, je les connais et je les aime. Ils sont intelligents, sont des constructeurs avisés, leur esprit est un moulin qui sans cesse trouve du blé à moudre. Ils sont rusés, pas que des pions d'échec qui servent tes intérêts où des êtres vulgaires comme tu le dis. Les Dieux sont immortels, c'est un fait, mais les hommes pourrait trouver le moyen où la malice de réussir à mettre la main sur des armes divines pour soit s'en servir, soit recréer dans des laboratoires des répliques exactes tout aussi dangereuses, le choix est vaste, si tu as vécu des millénaires les humains ont bénéficié de tout ce temps pour inventer et progresser technologiquement et scientifiquement, du reste certains d'entre eux sont de la trempe d'Ulysse, même dans la légende irlandaise, Jack, un forgeron pourtant alcoolique à réussi à duper la mort par trois fois. Et tu viens de me montrer l'un de tes points faibles. Si tu avais eue Ulysse aux milles ruses en face de toi il s'en serait servi à son avantage. Alors prends garde à toi, cesse de les sous-estimez où bien tu pourrais tomber face à un humain, ce n'est pas une menace mais un avertissement pour le futur à ne pas prendre à la légère.》 Le ton du vieux centaure est toujours aussi paisible, pour Chiron l'arrivée des Dieux sur Terre est une idée efficace pour aider les humains dans le quotidien certes mais les hommes sont si riches et complexes, imprévisibles comme l'océan et surtout redoutablement intelligents et perspicaces. Si certains d'entre eux sont conscients que les Dieux sont une bénédiction, d'autres n'apprécie pas l'idée de leur retour et pourrait très bien avoir l'idée de s'attaquer à eux. Ils sont un océan de complexité et finalement les Dieux sont à leur image, c'est un tort de les rangés et de les étiquetés dans des vitrines.《- Je connais les défauts de mes instructeurs, ils n'ont pas la prétention d'être parfaits mais ils m'ont tout appris. 》 réplique t'il tranquillement. Ils l'ont sauvé, et malgré leurs torts, Chiron leur en est profondément reconnaissant. B-NET Atlantis under the sea under the sea where are you now another dream the monsters running wild inside of me I'm faded I'm faded so lost I'm faded these shallow waters, never met what I needed I'm letting go a deeper dive eternal silence of the sea I'm breathing » Laueee ψ parents Hera et Zeusψ ton métier Semer le chaos et la discorde ψ laisse ton esprit s'exprimer Here goes Chaosψ je suis très bavard 49ψ Date d'inscription 10/08/2022ψ Emploi Responsable RH à War. Incψ Avatar + credit Charinthra Chandran + Murdock répondu Lun 22 Aoû - 2305Je grogne ouvertement d'exaspération et roule des yeux. Vraiment l'on tourne en rond, c'est épuisant. Il me fatigue à mettre ces êtres sur un piédestal, Ulysse n'était rien de plus qu'une marionnette entre les mains des divins, une victime à plus d'une reprise de son propre orgueil. Ulysse était faible. Ulysse était un homme qui se croyait plus malin que tout le monde et n'a fait que générer de la souffrance autour de lui. On oublie à quel point cet homme était sous mon influence, on oublie sa fin et sa lente et sordide déchéance. On oublie les larmes et les poings serrés de sa femme et ses fils. On oublie le sang de ses compagnons sur ses mains. On oublie le fait que c'est son orgueil qui lui a coûté ses décennies d'errance, qui lui a fait creuser sa propre tombe. [color=d2691e-Tu idéalises bien trop Ulysse, Chiron. Il se croyait plus malin que tout le monde, je te le reconnais. Mais son orgueil a été sa perte, comme pour tous les autres. Tu ne te rappelles que d'une version de l'histoire, celle qui le met en valeur. [/color]D'un mouvement souple je quitte ma place de mon rocher pour me retrouver pieds nus dans le sable blanc et brûlant de la plage. L'odeur de soleil envahit mes narines en même temps que la chaleur remonte depuis la plante de mes pieds. Je commence à marcher parmis les en m'étirant et baillant en même temps. Je ne suis pas encore totalement calmée, je bouillonne encore intérieurement les demis-excuses du centaure n'ont pas suffit à m'apaiser. Rien de surprenant après tout, je ne pardonne pas. Jamais. -Je ne te vois pas leur tenir des leçons pour les pousser à "corriger leurs torts", pourtant. Il faut croire que c'est un privilège qui m'est réservé. Pourtant moi je n'ai jamais violé personne, pour ne parler que d'Apollon. Cela dit, ma chère soeur n'est pas exempte de tout défaut non plus. Ses mains ne sont pas moins couvertes de sang que les miennes, Chiron. Je saisis un cahier des mains d'un des gamins assis dans le sable et faisant tous les efforts dont-il est capable pour faire comme si je n'existais pas, sans grand succès vu qu'il est pâle comme un linge et sue comme un porc. Et me met à lire le récit de ses rêves, au bout de quelques lignes je jette l'objet derrière mon épaules en direction des vagues avec dédain. -Ah, ce n'est pas lui qui risque d'avoir un grand destin au vu du contenu de ses songes. A la limite ça me dit juste qu'il a une sérieuse fixation sur des rideaux moches. Allez, il y en a bien parmis vous qui a des choses intéressantes à raconter sur ses rêves ! ψ parents Le Titan Cronos et l'Océanide Phylira ψ ton métier Professeur de mythologie grecque dans une université Athenienne ψ laisse ton esprit s'exprimer Le centaure est plus petit que la moyenne, 1m90 sous forme centaure et 1m80 avec des jambes ◇ il claudique légèrement du sabot avant-droit / pied droit ◇ Il est un fervent consommateur de thés, infusions et tisanes sans sucre et ne boit pratiquement pas de café et peu souvent du chocolat chaud ◇ Son pelage est marron foncé terni par des poils gris ◇ À reçu d'Apollon une lyre quand il avait 8 ans et un arc à ses 12 ans par Artémis. ◇ Il n'est pas très doué avec un téléphone mobile ◇ ni avec l'informatique en général ◇ Il aime faire de longues promenades dans les parcs et forêts pour pouvoir observer à sa guise les animaux et cueillir des plantes médicinales ◇ Il raffole des plats grecs, notamment de la tiganite, le pancake grec ◇ Il possède un fort accent dû à sa langue natale le grec ancien ◇ Il est très curieux du monde qui l'entoure et il s'intéresse à tout, de la voiture jusqu'à l'art. ◇ Il adore chiner dans les vides-greniers, brocantes et autres antiquités pour trouver de vieux vêtements. ψ je suis très bavard 145ψ Date d'inscription 04/08/2022ψ Age 30ψ Localisation Dans son appartement athénien ψ Emploi Professeur de mythologie grecque à l'université d'Athènes et enseigne en parallèle aux demis-dieux modernes et aux humains liés au Dieuxψ Avatar + credit Fc Mortis + Lauee répondu Mar 23 Aoû - 1205 Chiron & Eris Chiron observe, parmi les demis-dieux effrayés présents sur le sable, une jeune fille qui serre les poings sur son cahier, aussitôt le papier se recouvre de givre, il s'agit d'Elsa, fille de Chioné et d'un mortel qui travaille dans la police. C'est cet homme qui lui à confié la jeune femme en espérant qu'elle puisse contrôler sa colère et ces pouvoirs relié à cette émotion, aujourd'hui était son premier jour d'école. Même si Chiron reste tranquille, la tension est palpable entre le vieil homme-cheval et la Discorde. -Je ne te vois pas leur tenir des leçons pour les pousser à "corriger leurs torts", pourtant. Il faut croire que c'est un privilège qui m'est réservé. Pourtant moi je n'ai jamais violé personne, pour ne parler que d'Apollon. Cela dit, ma chère soeur n'est pas exempte de tout défaut non plus. Ses mains ne sont pas moins couvertes de sang que les miennes, ponctue sa phrase d'un paisible coup de sabot 《- C'est eux qui m'ont instruit, non le contraire et que je sache c'est toi qui m'a demandé de t'enseigné des choses sur les humains, où aurait-tu la mémoire courte, Discorde ? Que cela te plaise ou non je continuerais à être au service des petits bâtards et des hommes, à les éduqués, leur donner les armes pour avancer, c'est la voie du Destin..》Car la rencontre avec Iàsonas fut le véritable catalyseur de son amour pour les humains, à écouter sa triste histoire lorsqu'il a pu guérir des coups de poings et de sabot mêlés, son coeur s'est illuminé de compassion pour le destin de ces êtres si nuancés. Ça à été pour le vieux centaure une véritable révélation, pourtant présente au fond de ses entrailles, mais cette fois-ci elle s'est concrétisée, ses disciples sont pour lui miracle.《- Ces enfants ont une façon de pénétrer dans la mer en courant, de se jeter au coeur de la vague et de nager sans avoir appris, de partir à la chasse emplis de détermination, d'être curieux des qualités thérapeutiques des plantes, de frapper le sol de leurs pieds, d'emplir l'espace de leurs rires grêles et cours, comme d'écouter rêveusement les sons de ma lyre, une façon qui m'enchante. Ce que je leur dis, je me le dis, ce que je leur apprends, je continue de l'apprendre, je m'instruit en les instruisant, tant la répétition m'est essentielle, une répétition où poussent sous leurs questions de multiples et fines nuances. 》 Donner et recevoir dans un même geste, les visages aimés de ses disciples se dessinent dans son esprit, à chaques visages un nom Achille et Patrocle, Asclépios, Heraclès, Jason et Médos, Palamède, Enée, Aristée et Actéon, Ulysse, les Dioscures, Céphale. Tous ont marqué la vie du vieux centaure à sa façon, et la déesse pourra toujours cracher son venin d'Hydre, il les à aimés comme un père. Chiron redescends sur terre lorsqu'il aperçoit Eris jetter le cahier d'un élève à travers les flots. -Ah, ce n'est pas lui qui risque d'avoir un grand destin au vu du contenu de ses songes. A la limite ça me dit juste qu'il a une sérieuse fixation sur des rideaux moches. Allez, il y en a bien parmis vous qui a des choses intéressantes à raconter sur ses rêves ! 《- Moi je vais t'en raconter un de rêve, connasse, j'ai rêvé que tu te barre d'ici en quatrième vitesse avant d'être changée en glaçon.》 Elsa se lève, ces cheveux sont blancs comme placés sous le signe de son élément et elle se place devant lui et la classe. La haine défigure son visage pâle comme la neige alors que du givre commence doucement à recouvrir le sable. Ses vêtements sont recouverts d'une fine couche de givre, également, c'est une rage glaciale qui tombe sur la plage.《- Tu te crois où, là ? J'hallucine, tu ose dire que Chiron t'as manqué de respect mais tu fais quoi depuis tout à l'heure ? Vieille carne, clairement être enchaînée à toi doit être d'un ennui mortel, je suis pas sourde. Et t'avise pas de toucher à un cheveu de mes camarades, de Chiron où de moi, sinon je vais devenir encore plus méchante et ça va pas te plaire, tu nous emmerde on est en train de travailler alors BARRE-TOI ! CASSE-TOI ! 》 Un cri de rage sort de la bouche de la jeune femme, en même temps qu'une rangée de pic acéré et glacé immerge du sol et que les humains présents, épouvantés, prennent la fuite. Chiron pose une main apaisante sur l'épaule de la jeune disciple dont c'est le premier jour aujourd'hui. Sa colère bouillonne telle une marmite en ébullition, un chaudron fumant. 《- Elsa, après le cour de divination, quand tout le monde sera parti, tu restera avec moi, je vais t'apprendre à tirer à l'arc.》 B-NET Atlantis under the sea under the sea where are you now another dream the monsters running wild inside of me I'm faded I'm faded so lost I'm faded these shallow waters, never met what I needed I'm letting go a deeper dive eternal silence of the sea I'm breathing » Laueee ψ parents Hera et Zeusψ ton métier Semer le chaos et la discorde ψ laisse ton esprit s'exprimer Here goes Chaosψ je suis très bavard 49ψ Date d'inscription 10/08/2022ψ Emploi Responsable RH à War. Incψ Avatar + credit Charinthra Chandran + Murdock répondu Mar 23 Aoû - 1351J'avoue n'écouter plus qu'à moitié les paroles de Chiron, ma patience est actuellement considérablement usée. Je suis fatiguée de la tendresse avec laquelle il parle de ces demis-sangs, comme s'il les avait lui-même engendrés. Pfff, trop tendre, trop doux et clément Chiron. Tu dis les aimer mais ça ne t'empêche pas de les mener à leurs propres pertes, et tu l'acceptes sans sourciller. Grand bien t'en secoue la tête en soupirant, il me semblait pourtant avoir été là que tu te trompes, Chiron. Je ne t'ai pas demandé de m'éduquer, je t'ai proposé de m'intégrer à un de tes cours pour le bénéfice de tes C'est toi qui a décidé de faire de moi une de tes élèves alors que je te proposais un soutien éducatif, nuance mon cher. Ah enfin ! Voilà qu'une de ses se manifeste enfin ! Le parfum des promesses vient envahir mes narines et ma bouche en même temps que celui du gel mordant. Je la regarde, elle avec sa chevelure de givre et son regard brûlant. Je lui souris et ne la lâche pas des yeux. Je sens sa colère, sa rage et sa volonté d'affronter les choses monter encore et encore à chacun de ses mots, chacune de ses repsiration alors que le sable se couvre d'une fine couche brillante. Des frissons parcourent ma colonne vertébrale, mais ils n'ont rien à voir avec le froid. Rien du tout. Cette petite cherche la discorde et la confrontation, et bien elle va les trouver. Elle est courageuse, tête brulée et audacieuse, les potentielles conséquences de ses actes ne lui ont pas traversé l'esprit, ça j'en suis persuadée. C'est parfait. Je me doutais qu'il devait bien y avoir une petite perle dans le lot de babioles de la vieille carne. Et voilà qu'elle se révèle à moi dans une tempête de glace et d'ire. On peut dire qu'elle sait déjà soigner ses entrées, j'adore ! Ses insultes coulent sur moi comme la pluie sur les plumes d'un canard, le froid mordant ne m'atteint pas. J'ignore les cris de terreurs des mortels et je m'approche de la petite, souriante et avec un pas calme. Le sable gelé crisse sous la plantes de mes pieds. -Allons, choupette. Je ne vais pas te maudire, ce serait totalement contre productif. Un petit rire franchit mes lèvres alors que je continue de me rapprocher encore de la petite. -Et je n'ai rien contre ta méchanceté, même si pour le moment c'est plus proche du bourdonnement d'un moustique qu'autre chose, je pense qu'il y a quelque chose de très prometteur chez tend une main vers un fin morceau de glace flottant des l'air, le laissant délicatement se poser sur le bout de mes doigts avant de le souffler délicatement et de le laisser fondre en une minuscule gouttelette d'eau. -Il m'arrive de récompenser et de me prendre d'intêret pour des mortels et des demis-sang comme toi, ma petite. Alors non, je ne vais pas te maudire, bien au contraire. Mon sourire s'accentue, je suis désormais à trois pas d'elle. Chiron est à ses côtés, mais il ne peut rien faire, la volonté des Moïres est en route et nous ne sommes tous plus que ses instruments. Lui-même sait que rien ne peut être fait, ce qui va suivre était écrit, depuis l'instant où il avait emmené ses poulains sur cette plage alors que je m'y trouvais déjà sous le déguisement d'une fillette jouant dans le sable blanc. L'issue est là. Maintenant nous sommes si proche que je peux sentir le souffle chaud de l'enfant de mortel dans le froid intense qu'elle génère. Je tend une main pour épouser la courbe de sa joue et en caresser la pommette de mon pouce. Mon ongle entaille légèrement la peau pâle de la petite, une simple perle rouge en sort et commence à couler sur sa joue. Je souris doucement. Tout se passe en une fraction de seconde. Mes lèvres se posent sur son front, savourant la sensation de froid de son épiderme et son goût brûlant et frais. Elle n'a pas le temps de réagir, mon pouvoir se déverse en elle, je sens ses fils se mêler à l'être de la gamine, Elsa je crois. Ils se tissent et se tressent ensemble comme s'ils avaient toujours fait partie l'un de l'autre, je pense qu'effectivement ils étaient destinés à se trouver. Ma bénédiction se déverse en elle et la marque à jamais. Mon baiser est comme une brûlure pour elle, une marque de braise et de cendre sur sa peau. Elle s'estompera avec le temps, pour ensuite disparaître totalement. Seulement en surface, rien ne pourra lui retirer son influence, elle est désormais marquée dans son sang, sa chair et son être entier. Je m'écarte lentement, et je lui souris encore, alors que des larmes coulent sur ses joues. ψ parents Le Titan Cronos et l'Océanide Phylira ψ ton métier Professeur de mythologie grecque dans une université Athenienne ψ laisse ton esprit s'exprimer Le centaure est plus petit que la moyenne, 1m90 sous forme centaure et 1m80 avec des jambes ◇ il claudique légèrement du sabot avant-droit / pied droit ◇ Il est un fervent consommateur de thés, infusions et tisanes sans sucre et ne boit pratiquement pas de café et peu souvent du chocolat chaud ◇ Son pelage est marron foncé terni par des poils gris ◇ À reçu d'Apollon une lyre quand il avait 8 ans et un arc à ses 12 ans par Artémis. ◇ Il n'est pas très doué avec un téléphone mobile ◇ ni avec l'informatique en général ◇ Il aime faire de longues promenades dans les parcs et forêts pour pouvoir observer à sa guise les animaux et cueillir des plantes médicinales ◇ Il raffole des plats grecs, notamment de la tiganite, le pancake grec ◇ Il possède un fort accent dû à sa langue natale le grec ancien ◇ Il est très curieux du monde qui l'entoure et il s'intéresse à tout, de la voiture jusqu'à l'art. ◇ Il adore chiner dans les vides-greniers, brocantes et autres antiquités pour trouver de vieux vêtements. ψ je suis très bavard 145ψ Date d'inscription 04/08/2022ψ Age 30ψ Localisation Dans son appartement athénien ψ Emploi Professeur de mythologie grecque à l'université d'Athènes et enseigne en parallèle aux demis-dieux modernes et aux humains liés au Dieuxψ Avatar + credit Fc Mortis + Lauee répondu Mar 23 Aoû - 2140 Chiron & Eris Les moïres ont enclenché le fil divin du Destin de la jeune et impétueuse Elsa, dont les pouvoirs incontrôlables se libère des chaînes de la chair gelée de la fille de l'Hiver. La température chute d'un seul coup tandis que de la neige tombe, tel un fin duvet d'oie sur la Grèce moderne. En moins de temps qu'il faut pour le dire et sans que le vieux Chiron, présent à ses côtés ne puisse rien faire, car il le sait, le fil des Tisseuses est d'une solidité à toutes épreuves, la Discorde s'approche de la demoiselle des neiges, faisant fondre une plaque de glace suspendue dans l'atmosphère cotonneuse. -Allons, choupette. Je ne vais pas te maudire, ce serait totalement contre je n'ai rien contre ta méchanceté, même si pour le moment c'est plus proche du bourdonnement d'un moustique qu'autre chose, je pense qu'il y a quelque chose de très prometteur chez m'arrive de récompenser et de me prendre d'intêret pour des mortels et des demis-sang comme toi, ma petite. Alors non, je ne vais pas te maudire, bien au contraire.》Elle caresse la joue d'Elsa qui plante des yeux écoeurés dans les prunelles de la déesse, bientôt une goutte de sang surgit, dont la couleur grenat rehausse cette peau diaphane, et les lèvres de la déesse se pose sur le front de la demi-déesse, une grimace tord sa bouche, en proie à une incertitude totale. Éris vient de la bénir, prouvant bien qu'elle est une entité neutre. Pour Chiron, le temps semble ralentir sa course, son galop fougueux avant de reprendre les rênes de son corps aux sanglots d'Elsa, des larmes dévorent ces yeux, elle tombe à genoux sur le sable gelé. Mais ce n'est pas du chagrin, non, il s'agit plutôt de larmes de rage et de fureur mêlées, tressées entre elles, Éris venait de se faire une ennemie givrée.《- T'as pas intérêt à recroiser ma route où je te promets que tes yeux, je vais te les crevés avec mes pics de glace. Dégage, fous le camp, Carabosse. 》 Mais, épuisée par l'effort et surtout l'impulsivité, elle décide de s'asseoir sur le sol. Tout doucement, le vieux centaure la pousse contre son flanc droit pour apaiser cette fureur hiémale, à cet instant tout s'arrête, les pics de glace fanent, le givre se retire, tout redevient ordinaire. Silencieux, les étudiants observe la scène. Elle est tremblante, due à la fatigue, tandis qu'elle se blotti contre lui et s'endort. Comme un père, il caresse les cheveux de la jeune fille de 20 ans. Il revois les contours d'Endeis, l'aînée, Ocyrhoé, Mélanippe, et Carystos le petit dernier de la fratrie. Tous ont été chéris par le vieux centaure, au même titre que ses disciples et aujourd'hui sa famille lui manque affreusement, même s'il n'en montre rien à quiconque. Ses élèves ont besoin d'un professeur bon et lumineux, et il est du genre à être d'une très grande pudeur sur ses sentiments, excepté pour Apollon et Artémis qui le connaissent sur le bout des doigts, où des sabots je dirais. 《Le fil des Tisseuses Sacrées on ne peut le couper ainsi, Elsa, toute chose à une raison d'être, le destin est écrit, pour toi il s'est gravé à flanc de montagne comme un chemin caillouteux, mais toute cette colère en toi peut être bénéfique, si je t'ai proposé le tir à l'arc c'est parce qu'il est un outil extraordinaire pour canaliser celle-ci, tu verras pourquoi tout à l'heure. Cette bénédiction, vois là également comme une chance offerte par les Moïres pour t'aider dans cette voie. Je ne peux pas influer sur cette bénédiction ni la faire sauter mais je puis t'aider à vivre avec, petite Elsa. Par contre je dois te dire que tu as été bien imprudente, elle aurait pu te changer en rocher où en glacier, tu t'est mise en danger sans voir les conséquences de tes actes sur toi-même, c'est pour celà justement que tu dois dresser ton impulsivité, comme un cheval sauvage. 》 B-NET Atlantis under the sea under the sea where are you now another dream the monsters running wild inside of me I'm faded I'm faded so lost I'm faded these shallow waters, never met what I needed I'm letting go a deeper dive eternal silence of the sea I'm breathing » Laueee ψ parents Hera et Zeusψ ton métier Semer le chaos et la discorde ψ laisse ton esprit s'exprimer Here goes Chaosψ je suis très bavard 49ψ Date d'inscription 10/08/2022ψ Emploi Responsable RH à War. Incψ Avatar + credit Charinthra Chandran + Murdock répondu Jeu 25 Aoû - 2228Ma bénédiction donnée je ne m'attarde pas plus que nécessaire. Je laisse la petite Elsa aux bons soins de Chiron, les fruits de cette graine je les cueillerai plus tard. Je souris sous ses menaces, elles sont si vides et si inutiles. Nous sommes vouées à nous retrouver, et elle peut bien crever mes yeux pour ce que j'en ai à faire. Je m'éloigne d'un pas léger et joyeux sur le sable, gelé d'abord, puis humide et enfin sec et chaud. Aaaah finalement ça a été une excellente journée ! répondu Love and chaos [Eris] ◇ Terminé Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum gbQkpXy.
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