Rien qu'une larme dans tes yeuxC'est toujours ta seule réponseQuand je te dis qu'il vaudrait mieuxNe plus se revoir nous deuxJ'étais certain cette foisQue rien ne me retiendrait La suite des paroles ci-dessous On se trompe quelquefoisUne larme a tout changéRien qu'une larme dans tes yeuxEt soudain je réaliseJe réalise que de nous deuxC'est moi le plus malheureuxPar ma faute, trop de fois,Mon amour tu as pleuré La suite des paroles ci-dessous J'ai voulu partir cent foisEt cent fois je suis restéRien qu'une larme dans tes yeuxJe comprends combien je t'aimeJe t'aime et je veux te le direJe veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeuxC'est toujours ta seule réponseRien qu'une larme dans tes yeuxJe veux te revoir sourireRien qu'une larme dans tes yeuxJe comprends combien je t'aime Explication de “ Rien qu'une larme †“Il était chanteur à minettes, mais sans plonger dans la gaÃté et les chansons banales. Une mélancolie frappante se dégageait de ses chansons.  Qui saura »,  rien qu'une larme » ou alors  Dis-lui », ce sont tous de grands tubes du chanteur, et tous les trois des chansons de rupture dé Rien qu'une larme» est une chanson parue en 1973. En plein essor, le chanteur confirmait sa place bien méritée parmi les stars des années 70. Il réalisait plus de ventes que Claude François ou alors Johnny de Mike Brant est teinté d'une tristesse, qui est souvent liée au sentiment amoureux. Il était beau comme un dieu grec, et il avait tout pour lui, pourtant, il n'a pas été heureux. En effet, durant toute sa vie, il a été hanté par l'histoire de ses parents, qui ont survécu par miracle à la juive, l'artiste est devenu paranoïaque au fil du temps. Il ressentait une menace constante qui le poursuivait peu importe ses déplacements. Il a même évité des concerts par peur d'attentats antisémites. Vivre avec cette peur au vente ne peut que se répercuter mal sur l'artiste. Il a fait une première tentative de suicide, à la deuxième, il ne s'est pas sorti vivant. "Rien qu'une larme" est un titre qui parle d'un chagrin d'amour partagé entre les deux amoureux. Mike Brant rassure son amoureuse, lui dit qu'il aimera la voir sourire et non pas pleurer. Il est lui-même malheureux dans cette relation, et la séparation doucereuse semble être le seul choix qu'il leur chanson s'est vendue à plus de disques vendus. Le succès de la chanson s'est étalé partout dans le monde, il est arrivé jusqu'au Canada. En 1975, le chanteur tire sa révérence, il a laissé ses fans choqués et terrifiés. Néanmoins, ses chansons resteront à jamais gravées dans le trésor de la chanson française. Les internautes qui ont aimé "Rien qu'une larme" aiment aussi
Rienqu’une larme, Comme une blessure qui nous éloigne, puisque tu pars. J’ai peur de l’évidence. Tu me laisseras. J’en ai fait des efforts, Trop longtemps attendu. Notre amour est bien mort, mais tu ne l’as pas vu. Si tel est notre sort, je n’aimerai plus jamais plus. Je n’ai aucun remords, si tu m’aimes plus.Rienqu'une larme dans tes yeux. 5,559 likes · 57 talking about this. Sur cette page sera publié des citations, des poèmes, des paroles de chansons,. Objectif: 10000 likes Liker un
Le Deal du moment Cartes Pokémon où commander le coffret ... Voir le deal € MÉFAITS ACCOMPLIS™ Corbeille &&. ANCIENS RP 3 participantsAuteurMessageAlice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accélérer quand mêmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultés Spéciales //Sujet Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 111 Toujours aller de l’avant… C’est à la fois une philosophie et une raison d’être. Je ne saurais vous dire pourquoi, ni comment tout ça est arrivé mais c’est arrivé. Quand j’y repense, j’en aie des frissons. Il fallait que je fasse le point, que j’aille de l’avant, que j’imagine ma vie autrement qu’à travers ses yeux. Je ne saurais dire pourquoi, mais c’est ainsi… Ma vie ne se résume qu’à ça, qu’à ce son qui résonne entre six cordes, qu’à des paroles susurrer par le passé… Par des photos, des images qui bougent, qui me sourient, qui me déprime… »La plume s’était arrêtée. Le bruit du frottement sur le bout de parchemin s’était stoppé net, faisait place à la froideur de la nuit, à ce silence qu’Alice redoutait tant. La pluie se baladait le long de la fenêtre, les quelques bougies allumées s’étaient presque éteintes, et le crépitement du feu ne faisait plus grande impression. La jeune demoiselle contemplait la salle commune de ses grands yeux gris, cherchant un détail qui pourrait l’étonner ; mais elle la connaissait par cœur. Ses moindres coins et recoins, tout ça était devenu banal. Pucky avait trouvé le sommeil aux pieds de la jeune Alice, l’air de rien, il s’était endormit paisiblement, émettant des ronronnements qu’on aurait pu entendre à des kilomètres de là. La Lune était écarlate, telle une peinture encore fraîche qu’on n’osait pas toucher, de peur de tout gâcher…Ce tableau éphémère qui est la vie, ce tableau qu’on envisage, qu’on dévisage et puis qu’on jette, parce qu’il est démodé… C’est ça, le bonheur quelque chose qu’on jette, parce qu’il est dépassé. Alice poussa un long soupir. Elle était donc la seule à cette heure ci ? Pourtant, habituellement, les élèves restaient éveillés jusqu’à tard le soir… Oui, elle ne comprenait plus rien, à croire qu’elle était faites pour tout tenir en échec. Elle rapprocha soudain sa plume vers son petit bout de parchemin, le trempant dans l’encrier sombre qui était délicatement posé sur la table basse. D’un geste brusque, elle nota un mot…un seul. Hate » BAM ! Son cœur venait de décrocher, laissant les larmes couler le long de ses joues blanchâtres. La jeune demoiselle, à l’apparence d’une poupée en porcelaine, rapprocha délicatement ses mains de son doux visage. Elle entendait milles et une voix qui trottinaient dans sa tête…Des reproches, que ça, partout, et elles ne cessaient d’accroître. La jeune Alice serra les poings, s’empêchant de crier, mais la tentation était très forte, trop forte même… Mais elle ne devait rien dire, faire semblant, comme tous les jours de l’année. Etait-ce si difficile ? Non, bien sûr que non ! Elle était habituée à ne rien dire, à garder tout ça en secret. Son cœur était fermé à doubles tours, oui, c’était connut…Alors pourquoi craqué là, maintenant ? Pourquoi tant de solitude ? Et pourquoi pleurait-elle ? Elle-même ne savait pas pourquoi…sans doute le stress. Et quel stress. Ses mains s’étaient mises à trembler d’avantage, mais ça ne l’empêcha pas de reprendre son parchemin à présent plein de tâches d’encres. Sa plume en main, elle continua, ses larmes perlant toujours autant le long de son visage… Le fort d’un être, c’est de savoir souffrir…sans ça, il est voué à l’échec complet. Je ne suis sûrement pas assez forte, mais quand le jour viendra, je dirais tout…mais pour le moment, le jour n’est pas encore venu. »Ses yeux d’un gris éblouissant se remplissaient d’eau. De l’eau qu’on aurait voulut prendre d’un geste, pour qu’elle cesse de pleurer sur l’état du monde, pour qu’elle cesse enfin de souffrir en silence. Mais rien n’y faisait, pourtant on la voyait sourire en même temps. C’était de l’ironie… Stop. Le silence revint alors, plus rien n’aurait pu retenir son attention à part le crépitement du feu. Plus rien, même pas ces voix qui va et venaient…même pas ce bruit étrange qui venait de s’interposer entre le ronronnement de Pucky et le scintillement des bougies. En fait, quand on écoutait de plus près, c’était des bruits de pas. Alice retint alors son souffle, essayant tant bien que mal d’arrêter ses larmes…elle se mit à empoigner le bout de parchemin, puis le froissa dans tous les sens. S’en était assez ! D’un geste quasi-immédiat, elle balança la boule » à l’autre bout de la pièce…Son coeur battait la chamade, ses yeux étaient fermer, ne voulant pas voir la réalité en face tout le monde change. Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 159 Natalia restait allongée sur son lit, incapable de s’endormir, les jambes et les bras croisés, elle restaient là inerte, a réfléchir, ou plutôt a rêver, comme a son habitude. Elle ferma ses yeux quelques instants, faisant disparaître ses iris bleu, puis les rouvrit calmement, décidément, elle ne dormirais pas cette nuit. Depuis quelques temps la bleue et argent, était prise d’insomnie inexplicable. Elle n’en parlait bien évidement a personne, car elle n’était pas du genre a ce confier. Habillée d’un short et d’un débardeur, par-dessus lesquels, elle enfila une chemise trop grande pour elle, Natalia fit glisser ses pieds sur le côté. Au contact de sa peau sur le parquet froid, un frisson lui parcoura le corps tout entier. Décidément, elle n’aimait vraiment pas l’hiver, c’était bien trop froid, pour la jeune étudiante de Poudlard qui au contraire, aime les beaux jours. Silence. Elle se leva en silence, se dirigeant a pas feutrés vers la salle de bain. Le dortoir plongé dans l’obscurité, elle entendait la respiration lente des autres filles avec qui elle le partageait. Lorsqu’elle arriva à l’endroit voulu, elle sortit sa baguette et murmura un vague Lumos » a peine audible. Quoi qu’il en soit, il apparu au bout de sa baguette, une petite lumière verte, qui l’éclaira assez, pour que Natalia puisse s’emparer du premier élastique qu’elle trouva, pour ainsi, s’attacher les cheveux en une queue de cheval haute, faite a la va vite. Une mèche retombant devant ses yeux, elle la cala derrière son oreille droite, puis se dirigeant a présent vers les escaliers, elle mettait sa baguette en direction du sol, pour éviter de marcher sur quelque chose qui ferait du bruit, ou bien qui pourrait la faire tomber. Prenant ensuite la direction de l’escalier en colimaçon, elle entendit toute fois du bruit en bas, et s’arrêta à quelques marches de la fin de celui-ci. D’où elle était, elle ne voyait pas encore qui c’était, et si elle tombait sur la préfète, elle sentait a trois kilomètres a la ronde, la leçon de morale a laquelle elle aurait le droit. Silence. Seulement un grattement de plume. Zut. Si cette personne était toute seule, elle n’allait pas parler, à moins qu’elle soit folle. Elle s’étira alors du mieux qu’elle pu pour sortir sa tête et regarder qui s’était. Manquant de tomber, elle provoqua un bruit d’enfer. Une grimace sur son visage, elle releva son regard vers les escaliers, peut être que certains descendrait voir ce qu’il se passait. Puis, elle s’intéressa enfin à la personne qui était présente dans la salle A la vue de son amie, Natalia ne pu alors réprimer un immense sourire. Alice. Alice. Ce seul mot, procurait une euphorie en Natalia. Elle. Seulement elle. C’était une longue histoire, une longue amitié, qui remontait a présent à de nombreuses années. Effaçant son sourire doucement, elle s’approcha de son amie, la serrant dans ses bras quelques secondes, elle alla s’asseoir dans le fauteuil le plus près de la cheminée. Etant une grosse frileuse, elle sortit sa baguette, et le fit battre du tonnerre à l’aide d’un sortilège basique. Se recroquevillant sur le fauteuil, elle entoura ses jambes avec ses bras, puis reposa son regard bleu flamboyant sur son amie, elle se demandait bien ce qu’elle faisait a une heure pareille a écrire dans la salle commune, alors qu’elle aurait pu se faire prendre a tout moment. Mais elle reconnaissait là, le tempérament d’Alice, si semblable au sien. Toujours prendre des risques, sinon ce n’est pas drôle. Silence. Elle la regarda encore quelque seconde avant de prendre la parole. Alice » Elle marqua une pause. Tu peux me dire ce que tu fabriques ? »Un sourire amusé sur les lèvres, la jeune femme connaissait déjà la réponse, elle écrivait ses pensées, comme toujours. Eternelle rêveuse. Silence. Et si on s’enfuyait toutes les deux dans un autre monde, notre monde, et imagine qu’il serait comme on le voudrait. Oui. C’était généralement les sujets de conversations des deux Serdaigle. Silence. Elle reporta une dernière fois son regard sur son amie, avant de prendre sa baguette de l’agiter faiblement, et des rubans sortirent alors de celle-ci pour former un seul et unique mot. Dream. » Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo déjanté et Spéciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 321 Brrrr. On s’les gèle. Allez, j’me casse. »Nuit. Parc. Atreus. Là encore, ces trois mots résumaient bien la situation. L’Irlandais n’avait pu s’empêcher de faire une petite escapade nocturne. Il y était accoutumé mais, comme on dit souvent, On ne change pas les vieilles habitudes ». Ses fonctions de préfet ? Boaf. Pas une raison pour respecter à la lettre le règlement. Si ? Tant silhouette du jeune homme, non reconnaissable dans l’obscurité, bougea. Elle se mit en marche vers le château, prenant garde au sol traître du parc. Pour un observateur attentif et proche, on pouvait apercevoir un objet dépassant de la ceinture du Serdaigle. Une lame. Ensanglanté. Pas besoin de vous rappeler ce qu’il fait avec. De toute façon, on le devine facilement. Le jeune homme continua son chemin, éclairant son passage du mince faisceau que lui procurait sa baguette. C’était une nuit claire et fraîche de Septembre. Le silence de la nuit était agréable. Reposant. Même le vent se faisait discret. Seul le léger bruit étouffé des pas de l’étudiant se faisait entendre. Mais, fatigué de cet absence de bruit, un hibou lança un hululement sonore qui fit sursauter la silhouette. Tssss. Saleté de volatiles nocturnes. L’élève reprit sa route.+ + + + + + + +Se faisant discret quand il le voulait grâce à son don, Atreus ne tarda pas à arriver sans encombre devant l’escalier qui menait à sa salle commune. Donnant sans hésitation la réponse à la question habituel du Gardien, un Aigle en bronze, le jeune homme s’engouffra avec joie dans la salle, emmitouflé dans une veste grise. Le feu crépitait avec tant ardeur qu’il s’en étonna premièrement. C’est alors qu’il aperçu les deux silhouettes assises auprès du foyer. Elles s’étaient retournaient à son entrée et l’observaient à présent. L’Irlandais n’y prit pas garde dans l’instant et entreprit de se rapprocher de l’âtre, car il grelottait de froid. Ne pouvant que s’approcher des deux silhouettes, ils se tourna vers elle. C’étaient deux jeunes femmes. Parmi-elles, se trouvait Junie. De même année que lui, Atreus s’était lié d’amitié avec cette jeune femme dès le début de sa scolarité. Malgré leurs caractères diffèrent remarquez, Atreus est différent de la majorité des Serdys, ils s’apprécient mutuellement. L’autre jeune femme n’était qu’autre que Alice, grande amie de Junie et en Sixième Année. Atreus l’a connaissait bien aussi mais nourrissait moins de liens avec elle. En tout cas, en apercevant leurs visage, le jeune homme eut un sourire. Atreus Junie. Alice. Vous allez bien vous deux ? » Atreus se laissa tomber sur le divan faisant face à la cheminée mais proche des deux filles et se mit en devoir de réchauffer ses membres engourdis par le froid. Il tourna la tête et observa les deux jeunes le bruit du bois qui craquait se faisait entendre. Les ombres des trois Serdaigles valsaient sur les murs. Atreus. Alice. Junie. Trois étudiants. Une nuit. Voilà le tableau. Dernière édition par le Mar 6 Nov 2007 - 1411, édité 2 fois Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accélérer quand mêmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultés Spéciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 1305 Ce sentiment avait disparus en quelques secondes. La peur d’être prise sur le fait, d’être découverte… Junie avait fait son apparition, toujours aussi radieuse. C’était automatique chez Alice quand elle voyait son amie sourire bêtement. Elle détestait ça, mais ne pouvait s’en empêcher. Ah, si vous saviez… Si vous saviez comme Junie était importante pour la jeune Alice. C’était une amie remarquable, et toutes deux étaient très semblables. La jeune Brown se dégagea la gorge, touchant délicatement ses yeux ; mais ça ne servait à rien de le cacher, Natalia saurait qu’elle avait versé quelques larmes… C’était ça, leur amitié. Connaître l’autre sur le bout des doigts, savoir ce qu’elle ressent sans même lui accorder un regard ; ça c’était la vraie amitié, celle qu’on voit dans les contes de fées, celle dont on rêve toute sa vie, celle qu’on a peur d’imaginer… Alice avait eut de la chance ; elle l’avait trouvé. Ca ne collait pas trop dans son caractère de s’attacher à quelqu’un, mais dans le cas là, elle n’avait pas vraiment eut de mal. La jeune Alice avait rencontré Junie quelques années auparavant, et depuis, elles ne se quittaient plus… Dans un toussotement léger, la Serdaigle écouta la voix de son amie. Ce qu’Alice fabrique ? Hum…Junie le savait au fond, car c’était devenu une coutume » pour la jeune Brown ; écrire. Oh…Eh bien, j’écrivais. »Elle eut une pensée pour la boule de parchemin qui avait voltigé à l’autre bout de la salle commune. Puis elle émetta un bref soupir, le regard gêné. C’est vrai, et si Junie lui demandait ce qu’elle avait écrit, qu’aurait-elle à répondre à part je sais plus » ? Rien, strictement rien… Mais cette idée ne fit que lui traverser l’esprit, trop occupée à regarder l’élève qui venait d’entrer dans la salle commune. Alice ne s’occupa pas trop de lui, pensant que c’était encore un de ces élèves de Troisième année qui cherchait absolument à se faire remarquer – d’ailleurs, vu le bruit, ce n’était pas étonnant. Mais elle ne tarda pas à comprendre qu’il ne s’agissait d’en aucun cas d’un troisième année, mais plutôt de Atreus Calgar, le Préfet. Bon, Alice ne le connaissait pas énormément, mais d’après Natalia, il en valait la peine… La jeune Serdaigle lui accorda un sourire ravissant, jusqu’à ce qu’il prenne la parole… A priori, Junie et lui était frigorifié ; à les voir, Alice ressentit un frisson. Maintenant, ils étaient trois. Ca va, ça va… » mais elle ne pouvait s’empêcher d’avoir un sourire hypocrite en disant ça, puis elle continua sur sa lancée …et toi ? »Pas très crédible, sûrement. Mais les mots qu’avaient dessiner Junie avec sa baguette venaient de lui rendre l’espoir. DREAM. Elle avait raison, la vie c’est avant tout vivre ses rêves… Fallait-il pour autant en oublier le principal ? Rester sur Terre, rester sur Terre » la jeune Serdaigle se l’était dit des milliers de fois. Pourtant, rien ne faisait, elle restait dans sa bulle, n’osant plus regarder la réalité en face. Elle fut écoeurée rien qu’à la pensée d’être appréciée ». Non, c’était impossible… Son regard se posa étroitement sur Atreus. Quand elle s’en rendit compte, elle n’osa plus bouger un cil, se contentant d’écouter la mélodie que produisait le crépitement du feu… Puis Junie. Elle était toujours là, toujours avec cet air rêveur. Alice se sentit pousser des ailes, et comme avait fait son amie un peu plus tôt, elle prit sa baguette et dessina quelque chose dans l’atmosphère. En forme de vapeur, quelques lettres manuscrites firent leurs apparitions. Friends ». Puis sa pensée revint pour la boule de parchemin, perdue sans raison dans un coin de la salle commune. Mais il lui était impossible de dire la vérité, sa vérité… Pas pour l’instant, en tout cas. Imagines toi dans un monde où il n’y a que nous, où tu as des ailes et où les seuls sentiments qui y règnent sont l’amour et la joie. Imagines ce monde, et appelles moi quand tu l’as trouvé… Appelles moi quand tu auras pris conscience que ce monde, c’est le Paradis. » James Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 2206 PRÉCISION - Normalement vous l'appelez Ian vu qu'il n'aime pas se faire appeler James. Et désolé, j'ai fait un truc pourri -___- Dernière année. Nouvelle année. C’était carrément une partie de son adolescence qui allait bientôt se terminer. De toute manière, depuis maintenant presque un an, il était majeur dans le monde magique. James avait 17 et dans deux mois, il allait en avoir 18. Oh non, il n’avait pas redoublé. Il avait simplement perdu une année pour cause qu’il était né en novembre. Mais ça, ce n’était ni de la faute de ses parents, ni de la sienne. De personne en fait. Et puis. On ne va pas écrire tout un texte sur sa naissance, ce n’est pas important. Ian était dans son dortoir. Sa baguette émettait une petite source de lumière, baguette qui était posée contre la petite table au côté du lit. Elle était suffisamment forte pour permettre au jeune homme de lire, assez faible pour ne pas réveiller le reste des septièmes années. Mais il en manquait un. Encore. Atreus Calgar. Depuis le nombre d’années qu’ils se connaissaient, Ian commençait à très bien le connaître. Ils étaient quand même assez proches. Le préfet était probablement parti se promener quelque part dans l’école. Plusieurs fois, il était venu, mais pas cette fois. Un petit bouquin avait attiré son attention. Durant l’après-midi, il était passé faire un tour à la bibliothèque, comme à son habitude, mais il était tombé sur un petit ouvrage bien particulier. Il n’avait pas de titre. La couverture était rouge foncé, et on pouvait y voir une sorte de dessin abstrait sur la couverture. Mais quoi ? C’était impossible à déchirer, et Ian ne l’avait pas lâché depuis. Même le texte semblait assez complexe. Il n’était rendu qu’à la cinquième page et encore il était même pas certain d’avoir tout saisit. C’était un univers spécial qu’il devait absolument découvrir. Il était tellement absorbé qu’il n’avait même pas vu un autre étudiant se levé et venir à côté de son lit. Ian. » Ian ? » dit-il un peu plus fort. Hum ? » se contenta de dire Ian sans même lever un regard. Qu’est-ce que tu fais ? »Le jeune homme s’arracha difficilement de son livre et posa son regard foncé sur son ''ami''. Car oui, ils se connaissaient quand même. Je lis. Ça ne se voit pas ? » Tu peux pas aller lire ailleurs ? La lumière de ta baguette m’arrive directement dans les yeux. »James arqua un sourcil. Ecnore. S’il voulait dormir, il n’avait qu’à fermer les yeux ou se tourner de l’autre côté. Le jeune homme haussa les épaules, et referma doucement le livre, avant de sortir de son lit. En fait, les couvertures n’avaient pas été défais. Il était simplement assis, dos contre son oreiller, qui était contre le mur. Il portait une paire de pantalon bien normal noir, avec un t-shirt blanc. À la tombée de la nuit, il avait enfilé une veste bleu foncé et avait mis le capuchon sur sa tête. Allez savoir pourquoi. Tout portait à croire qu’il ne s’était pas encore changé pour dormir. Bref. Il attrapa sa baguette qu’il éteignit de façon informulée et sortit silencieusement du dortoir. Il descendit à son tour les escaliers en colimaçon, et s’arrêta dès qu’il eut enlevé le pied de la dernière il eut une impression de déjà vu. Trois personnes. Atreus. Junie. Alice. Ce n’était pas la première fois qu’ils se retrouvaient tous les quatre dans la salle commune. Tenant sa baguette et son livre avec la même main, il eut un petit sourire en coin et s’approcha d’un des fauteuils et s’installa aux côtés d’Atreus. Bonsoir à tous. »Toujours le capuchon sur sa tête, il porta son regard sur son ami, toujours ce petit sourire flotta sur ses lèvres. Xavier m’a gentiment foutu dehors du dortoir. Encore. » Ce type n'était pas tellement apprécié d'ailleurs avec tous ses petits caprices. Ce Xavier je-ne-sais-trop-quoi. Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 2231 Natalia resta silencieuse un instant. Elle savait qu'avant son entrée Alice avait versée quelques larmes, mais elle ne lui fit aucune remarque la dessus, elle savait ce qu'était la pudeur, et elle même detestait qu'on la force a parler, lorsqu'elle ne le faisait pas d'elle même. Laissant alors son regard vagabonder sur les flammes dansantes, elle laissa alors le temps qui lui fallait, a Alice, pour s'essuyer les yeux correctement, et ainsi effacer toutes traces de chagrin de son visage. Lorsqu'elle reposa ses yeux bleu sur son ami, elle afficha un sourire, mais celle ci n'eu pas le temps de lancer un nouveau sujet de conversation, que quelque chose provoquait un bruit d'enfer. Instinctivement, Natalia porta son regard vers le dortoir, mais après quelque seconde a scruter cet endroit endormit, elle compris, qu'elle s'était trompée et que le bruit ne provenait pas de là. Silence. Il se rapprochait, soudain, elle vu personne d'autre qu'Atreus, arrivée dans la salle commune, un air joyeux sur le visage. Encore partie en vadrouille, et il avait oser ne pas en parler a Natalia. En même temps, il faut dire que lorsqu'on lance la bleue et argent, on n'arrive plus a l'arrêter pas même Atreus, James, Alice, ou bien encore Leslie sa soeur jumelle. Non. Personne. Elle le vit alors se rapproché des deux amies, a son expression cela ne l'étonnait guère de trouver Alice et Natalia dans la salle commune a cette heure ci, mais en même temps au bout de sept ans, il devait s'y être habituer. Junie. Alice. Vous allez bien vous deux ? » Ca va, ça va… et toi ? »Natalia ne répondit pas tout de suite, elle aimait se faire attendre. Elle vit alors le préfet de sa maison s'installer dans un fauteui proche du sien, et se réchauffer grâce au feu qu'elle avait allumée quelques minutes a peine auparavant. Puis elle reporta son attention sur Alice. Alors que le mot que Natalia avait tracer, s'ffacer doucement, Alice, elle, en inscrivit un nouveau. c'était comme un jeu pour les deux amies, et en même temps une façon de s'entrainer pour les sortilèges. Elles étaient ce que l'on pouvait qualifer de réeles sorcières, ne faisant pratiquement rien sans leurs baguette, même lacer leurs chaussures. Silence. Se massant doucement le front, elle prit enfin la parole, cassant le silence, bercer par le crépitement des flammes. Je pète la forme. »L'arrogance de Natalia était quelque chose de phénoménal, les répliques de la bleue et argent cultes. On ne pouvait y échapper, elle avait toujours le dernier, et surtout, elle avait toujours quelque chose a répliquer. Ce qui ne se fit pas attendre. Au regard interrogateur d'Atreus, elle fournit alors très vite une explication a son sarcasme. J'aime tellement ne pas être conviées aux virées nocturnes. Non. Sincèrement ca m'va droit au coeur. »Fixant Atreus d'un air de défi, elle n'eu pas le temps d'entammer une guerre que quelqu'un d'autre faisait son entrée. Silence. Tournant la tête, cette fois ci, cela provenait bien des dortoirs. Elle fit alors une légère grimace jusqu'a ce qu'elle s'appercoive, que ce n'était que James. C'était quelqu'un avec qui elle s'était rapprochée dès le début de sa scolarité, et avec qui elle était a présent étroitement liées. D'ailleurs, il n'est pas rare qu'elle s'amuse a la titiller en l'appelant James, où alors son jeu favoris est de se faire passer pour Leslie, et que Leslie se fasse passer pour elle. La seule personne qui ai jamais su la reconnaitre, c'est Alice. Mais en même Alice, c'est Alice, et elle connait tellement bien Natalia, qu'on comprend qu'elle ne la confonde pas aussi facilement, même avec sa soeur jumelle. Silence. Bonsoir à tous. » Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. »Ne me demandez pas ce qu'a Natalia ce soir, elle est déchainée. La provocation et l'arrogance sont de mise. Mais en même temps, cela fait bientôt sept ans qu'Atreus comme James, supporte le caractère arrogant de la jeune bleue et argent, alors une nuit de plus qu'est ce que c'est ? Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo déjanté et Spéciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 113 Alice - Ca va, ça va… et toi ? »Atreus - On fait avec… » Atreus fit un léger sourire à Alice tout en appréciant avec douceur la bonne chaleur du feu. Le meilleur moyen pour se réchauffer tiens. Après un instant de réflexion avec sa conscience il rectifia sa pensée. Non. Le meilleur moyen était un bon verre d’alcool. Mais faute d’en avoir dans l’immédiat, c’était l’idéal pour l’instant. Le Serdy fixa alors Junie. Hmmm… Qu’avait-elle encore ? Elle ne lui avait rien dit jusqu’à présent. Elle faisait la gueule ? Ca serait pas la première fois. On va dire qu’Atreus était accoutumé de ses petites renfrogneriez. Il lui arrivait souvent de déconner sur ça avec Ian. Tiens. En pensant à lui, il était sûrement en train de bouquiner encore. Le jeune homme eut encore un p’tit sourire. Une manie de Ian ? On pourrait dire ça. Mais ça empêchait pas Atreus de l’adorer comme un frère. Tout comme il adorait Junie et son caractère. Et Alice avec sa gentillesse et sa mélancolie. Junie - Je pète la forme. » Atreus eut un léger sursaut et observa Junie. Aïe. J’vous avez dit qu’il y avait quelque chose qui clochait. Après sept ans passé en sa compagnie, j’la connaît comme ma sœur la Junie. L’Irlandais haussa les sourcils et lui lança un regard interrogateur. Il voyait pas du tout ce qu’il avait fait qui pouvait déplaire la jeune femme. Junie - J'aime tellement ne pas être conviées aux virées nocturnes. Non. Sincèrement ca m'va droit au coeur. » Et merde. Voilà qu’ça recommence. Comment il avait pu ne pas penser à ça ? Atreus leva les yeux aux ciel tout en se retenant de ne pas rire. Combien de fois n’avait-il pas eu à essuyer les réprimandes de la jeune femme pour une vadrouille nocturne solitaire ? Hum. J’ose même plus les compter. Sans rien dire, il retroussa les manches de son pull. Ses bras nus apparurent où se démarquaient de longues estafilades encore humides de sang. Il les présenta devant la bleu et argent. Lui rendant son regard de défi, Atreus reprit la parole, un peu sèchement mais toujours d’un ton cynique. Atreus - T’veux vraiment m’accompagner pour m’voir faire ça ? J’croyais que ça te plaisait pas. » Mais avant qu’aucun des trois étudiants ne puissent parler, un bruit se fit entendre. Atreus se tourna complètement pour faire face à l’escalier des dortoirs, prêt à remballer aussi sec tout élève qui se serait pointé. Quelques bruits de pas. Et Ian apparut. L’Irlandais esquissa un sourire en voyant son pote se ramener, un éternel bouquin à la main. Il changera jamais. Ian - Bonsoir à tous. »Junie - Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. » Atreus ne put s’empêcher d’éclater de rire. Les taquineries de Junie. L’irritation qu’éprouvait Ian à l’évocation de son autre prénom, James. Fallait dire ce qu’il fallait. Ils lui avaient quand même manquer pendant les vacances. Tous. James s’installa aux côté de l’Irlandais. Ce dernier se retourna et, ne pouvant s’empêcher de repasser une couche après la remarque de la jeune blonde, embrancha sur un ton totalement moqueur. Atreus - Hey. Comment qu’y vas aujourdhui le James ? Bien ou quoi ? » Les lèvres retroussées en un sourire complètement stupide mais énervant, Atreus observa la réaction de son ami. Elle allait pas tarder. Et c’était toujours un grand moment de plaisir. Juste avant que Ian ne réalise les moqueries, il avait eu le temps de dire discrètement à Atreus Ian - Xavier m’a gentiment foutu dehors du dortoir. Encore. » Tssss. Ce Xavier. Un jour, il allait le cogner celui-là. Toujours à râler, se plaindre, gémir pour des broutilles. Atreus leva les yeux au ciel avant de lui répondre, d’une voix exaspérée et légèrement dur Atreus - P'tin. J’te jure, s’il nous refait l’même coup que l’année dernière, j’vais pas pouvoir me retenir… » Le jeune préfet lui lança un regard éloquent et complice avant de se laisser aller contre le divan, levant la tête vers le plafond. Putain. Il se sentait quand même bien là. En osmose avec lui-même, entourait de ses amis, sous une agréable chaleur. Tout ce qu’il fallait. Il sentit soudain un objet lui rentrait dans les côtes. Il baissa les yeux et lança négligemment sa lame sur la table posé à quelques pas de lui. Le jeune homme se renversa une fois de plus sur le dossier moelleux. Passeraient-ils encore une nuit blanche à bavarder tout les quatre ? Possible… Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accélérer quand mêmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultés Spéciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 1900 HRP - Désolée du truc merdique...Alice esquissa un sourire complice, regardant de droite à gauche, comme ci elle cherchait quelqu’un. C’était habituel, et s’en en devenait maladif cette sensation…celle d’être de trop, de ne jamais rien dire, ce silence renfermant la plus grande souffrance. Elle regardait ses amis, ne pouvant dire quelque chose ; elle était comme paralysée. A force, elle ne regardait même plus autour d’elle, sachant par cœur ce qui allait se produire car c’était sans cesse le même scénario. Elle restait là, figée, incapable de penser autrement. Alice en devenait pathétique… Très vite, elle posa la main sur son chat, le caressant avec douceur, mais ne pouvant retirer ses yeux des flammes. Les deux autres parlaient, elle les entendait mais n’écoutait rien. Les seuls mots qui en sortirent étaient virée nocturne…sans moi… ». Junie aimait ça, et Alice aussi, mais c’était différent. Junie prenait ça comme un défi, ou du moins c’est ce qu’avait toujours penser Alice, alors que la jeune Brown en faisait juste pour…respirer. Oui, la jeune Alice était très loin d’être la fille que l’on croit, oui, très loin. Ses ongles ornés de vernis rouge laqué se glissaient dans le pelage de Pucky, faisant des va-et-vient incessants. Elle restait silencieuse, encore et encore, se sentant toujours mal, avec cette boule dans la gorge. Elle était incapable de faire le moindre geste, ses yeux d’un gris étincelant formant une barrière entre son esprit et…le reste. S’en était trop, et même l’arrivée de Ian ne changea rien à la donne. Elle lui avait fait un sourire, mais rien de plus. Les trois autres s’étaient remis à parler, d’après les moindres parcelles de phrases qu’elle captait, ils titillaient Ian en l’appelant James…il détestait ça. Ses mains tremblaient peu à peu, et dans sa mystérieuse quête de solitude, elle avait trouvé les répondes ; elle n’était qu’une moins que rien. Ses amis continuant de parler, Alice se leva, l’air de rien, se dirigeant vers l’autre côté de la salle commune. Sa petite taille faisant qu’elle pouvait passé n’importe où, elle se faufila derrière un meuble gigantesque, disparaissant de leur vue. Quelques minutes après, elle en ressortit, cet air toujours aussi Alicien », une boule de parchemin dans les mains. La jeune Serdaigle le défroissa, espérant qu’ils ne l’avaient pas remarqué…de toute façon c’était sûrement le cas. C’est vrai, elle était très discrète, même si des fois elle avait l’envie d’hurler JE SUIS LA ! » elle ne faisait rien. Repensant tout à coup aux mots qu’elle avait employés dans son parchemin, elle se rapprocha du canapé où était Junie, s’asseyant à côté d’elle. D’une traite, elle reprit sa plume, la trempant délicatement dans l’encre, puis elle se remit à écrire des mots comme la fin », les autres », différents » ou nulle ». C’était un cercle vicieux, un peu comme dans celui où était tombé Atreus et sa lame. Alice n’avait rien dit, ne voulant pas lui faire de leçon de moral, et encore moins lui dire qu’elle ne supportait plus de le voir ainsi. A quoi bon fondre en larmes devant eux ? Alice regarde toi, tu es tellement faible…Stop. Elle continua à écrire, ses iris gris se posant quelques fois sur le visage de ses amis. D’un coup, sans savoir pourquoi, elle sortit machinalement… Atreus, la prochaine fois que tu fais une virée nocturne, dis le moi…enfin bon, si tu veux bien de moi, bien sûr »Miracle, elle avait su décroché une phrase, et sans se forcer. La jeune Alice n’osa même plus relever la tête, faisant toujours semblant d’écrire. D’ailleurs, ce qu’elle avait écrit n’avait aucun sens… Des phrases incompréhensibles, remplissant le parchemin d’une encre noire tellement sombre qu’on aurait penser à du sang. Le crépitement des flammes faisait qu’elle n’entendait plus le ronronnement de Puck’, ce qui ne la rassura pas. Elle aimait le sentir à ses côtés, elle se sentait en sécurité, prête à braver milles et une étapes, milles et un dangers… Mais finit, son silence étant rompu, elle jeta sa plume au niveau de l’encrier, se fourrant dans le canapé moelleux. Son regard, en priorité, se dirigea vers la direction de Junie. Elle lui adressa un sourire, incapable de lui dire ne serait-ce qu’une petite phrase. Mais le silence n’est-il pas le plus criant des mots ? Il sait dire tout à la fois, sans qu’on prenne la peine d’ouvrir la bouche, sans qu’on prenne la peine de tout gâcher… Boom-Boom. Son cœur battait la chamade, comme d’habitude. Alice était trop nerveuse, trop mélancolique et bien trop gentille et seule » comme dirait si bien l’homme de Pré-au-Lard… Levant les yeux au ciel pour empêcher ne serait-ce qu’une larme de couler, elle soupira doucement, ne voulant pas déranger leur fabuleuse conversation. Xavier, Xavier, Xavier… Alice avait eut l’occasion de lui parler une seule fois, et il avait fait tout pour qu’elle comprenne qu’elle ne valait rien, qu’elle était bête, moche, sans cœur et…passons les détails. Xavier était un garçon narcissique, et Alice se demandait comment faisait Ian et Atreus…Ils étaient courageux. Je compatis »Elle avait lancé cette phrase avec un fond moqueur, mais sans le faire voir réellement. Ses yeux gris brillants comme un miroir, elle fit volte face et regarda en direction de Ian, lui adressant un sourire des plus chaleureux. Ouais, on l’aimait bien pour ces sourires, Alice. Mais pour rien d’autre…c’était de sa faute. James Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 2206 - Ça, c'est un truc merdique T__T Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. » Hey. Comment qu’y vas aujourdhui le James ? Bien ou quoi ? »Oh. Il avait bien essayé de ne pas y faire attention. Mais quand ils étaient au moins deux, c’était un peu moins évident. Ça faisait des années, et des années, plus précisément sept ans qu’il leur disait de ne pas l’appeler James, et pourtant, le message ne semblait pas s’être rendu aux oreilles de Junie et d’Atreus. Encore moins eux. Ils trouvaient même ça drôle. Regardez juste le sourire d’Atreus en ce moment même. Sans rire. Même Xavier avait compris. Bon. Lui, fallait croire que Ian l’avait peut-être un peu forcé… Inutile de savoir comment. La seule qui prenait encore le soin de l’appeler Ian, était Alice, et le jeune homme lui en était très reconnaissant. L’anglais serra légèrement les dents sans que ça paraisse, une légère lueur d’agacement passa dans son regard foncé et se contenta d’écouter la réponse du jeune irlandais, à propos de celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom-car-ça-nous-fait-vomir. xD Mais juste avant, il remarqua qu’Alice s’était éclipsé le temps de quelques secondes, pour en ressortir avec un boule de papier, mais il n’en dit pas moins. P'tin. J’te jure, s’il nous refait l’même coup que l’année dernière, j’vais pas pouvoir me retenir… »À son tour, un petit sourire en coin apparu sur les lèvres du septième année. Quand les deux jeunes hommes s’y mettaient ensemble, rarement on revenait pour continuer à les agacer. Xavier a lui tout seul devait être le garçon le plus narcissique de Serdaigle. Il se prenait carrément pour un prince. Il ne fallait pas que ça soit trop ci. Il ne fallait pas que sa nourriture soit trop froide. Il fallait toujours qu’il y ait quelqu’un à son service. Et surtout, il ne fallait pas déranger MONSIEUR durant ses précieuses heures de sommeil, oh ! Ian suivit du regard son pote qui lançait sa fameuse lame ensanglantée de son ami sur la table. Mille et une fois, il avait tenté de l’aider, mais ça l’avait été sans succès. Soupirant, il jeta un regard vers Junie et Alice, puis, se tourna vers Atreus, poursuivant sa lancée. Tu t’souviens dans le cours de potion ? Monsieur avait refusé de couper ses propres ingrédients parce que Monsieur ne voulait pas s’tâcher les mains… » Le jeune homme passa une main dans ses cheveux, ce qui fit tomber le capuchon sur ses épaules. Il se mit à faire tourner le petit livre entre ses mains, observant chacun de ses amis. Ils étaient tous réunis autour du feu, chacun installé sur un fauteuil. Atreus et Ian d’un côté. Junie et Alice de l’autre. N’étaient-ils pas un beau petit groupe ? Deux gars, deux filles. Leur petit rassemblement noctune. Je compatis »Le bleu et argent tourna son regard foncé vers la sixième année. C’était lui, qu’elle regardait. Il lui rendit doucement son sourire, avant d’hausser les épaules. Cette année, ils ne se laisseraient pas faire. Mais pas du tout. Ça, il aurait pu le jurer haut et fort. Xavier s’en donnait à cœur joie de parler contre tout le monde. Alice ne leur avait rien dit, mais Ian savait pertinemment qu’elle avait eu à faire avec lui. Combien de fois Xavier en avait-il parlé durant les cours de Ian et cie ? Si ça n’aurait pas été d’un minimum de contrôle, Ian lui aurait facilement parlé à deux pouces du visage. Ce type allait décidément trop loin. Pourtant on se demandait bien ce qu’il faisait chez les Serdaigle, Ian ne lui avait jamais trouvé la moindre parcelle d’intelligence dans ce qui pouvait lui servir de cerveau. Silence. Changement de sujet. Mais il ne savait pas trop quoi dire. Il tourna son regard vers les flammes, écoutant le silence. Il se pencha légèrement pour lancer le petit livre rouge sur la petite table qui se trouvait au côté d’Atreus. Étrangement, le bouquin ne fit pas de bruit et se contenta de glisser sur la table. Il arrêta son chemin lorsqu’il percuta la lame et sans plus. Ian se replaça contre le dossier. En ce moment même, Atreus et lui, faisait un duo d’enfer. Les deux mecs écraser dans leurs coussins… Il se contenta de lancer sa baguette dans les airs et de la rattraper. Lorsqu’elle était dans la hauteur, sa baguette faisait quelques cercles, et retombait dans la main du bleu et argent. C’était une de ses nuits où il pouvait parfois se passer de nombreux silences. Personne ne disait rien et d’un côté, c’était peut-être mieux ainsi. Qui allait être le prochain à briser ce moment silencieux ? Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Sam 10 Nov 2007 - 1813 Natalia vit Atreus soupirer, et lever les yeux au ciel. Elle le fixa alors de son regard bleu tel l'océan, elle ne comprenait pas qu'il ne lui dise pas qu'il allait faire une vadrouille dans Poudlard la nuit. C'était ce gût de l'adrénaline, de la peur, de la fuite, qui plaisait tant a Natalia. Le fait de se rendre compte que l'on ai vivant. Silence. Elle ne décrocha pas un seul regard, jusqu'a ce que celui ci pose un couteau ensanglanté sur la table qui se trouvait devant eux. Silence. Du sang. Son sang ? Elle eu la réponse a sa question pas plus de quelques secondes plus tard, lorsque Atreus releva les manches de son pull, et qu'elle vit alors de longues et fines coupures sur ses avant bras. Il avait recommencer. Il lui avait pourtant promis. Silence. Elle lui adressa alors un regard noir, mais avant qu'elle ai pu riposter, Ian avait fait son entrée a son tour dans la salle commune. Puis tout s'enchaina très vite, instinctivement, elle reporta son regard sur Alice, lui adressant un regard doux, et un sourire chaleureux. Silence. Elle ne comprennait tout ce qui se passait, elle était dans ses pensées, Natalia le voyait bien. Silence. Elle n'en dit pas un mot cependant jusqu'a ce que la conversation reprenne son fil. Elle vit que les deux jeunes se plaignaient de quelqu'un. P'tin. J’te jure, s’il nous refait l’même coup que l’année dernière, j’vais pas pouvoir me retenir… »Natalia fronça les sourcils, elle ne voyait pas encore de qui il parlait, mais rien que le fait qu'il parle de se battre, elle detestait ça. C'était tellement puérile pour elle d'en venir au mains quand on avait la parole, mais soit, les garçons ne réfléchissent pas comme les filles c'est bien connu. Elle ne rajouta rien, essayant de trouver de qui il parlait. Tu t’souviens dans le cours de potion ? Monsieur avait refusé de couper ses propres ingrédients parce que Monsieur ne voulait pas s’tâcher les mains… » Toutes ces paroels commencaient a faire leurs petit bout de chemin dans le cerveau de Natalia. A présent, elle voyait de qui il parlait. Xavier. Qui d'autre pouvait être aussi chiant ? Elle ne comptait même plus le nombre de fois où, il lui avait demander d'explorer son lit, alors qu'elle allait voir James et Atreus dans leur dortoir. A chaque fois ca terminait de la même façon, celle ci soupirait lui explicait que même si c'était son seul choix, elle préférait se faire lesbienne, puis celui ci devennait grossier, et soit Atreus soit James, finissait par lui cogner dessus. Je compatis »Natalia afficha alors un regard compatissant a Alice. Elle l'avait retrouver dans un de ses états ce jour là. Elle avait été tellement en colère qu'il parle comme ca a sa meilleure amie, a son Alice, qu'elle était montée directement dans le dortoir et lui avait collée sa main sur sa joue. C'était la seule et unique fois dans sa vie que Natalia avait portée la main sur quelqu'un. Silence. Elle se leva alors pour se rapprocher du feu. Mettant ses mains a quelques centimètres des flammes, elle retourna sa tête vers ses trois amis avant de prendre a son tour la parole. Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chérie par là, ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui répète, que moi c'est Natalia. »Elle soupira et montra un air exaspéré sur son visage, avant d'exploser de rire. Silence. Une Natalia en colère, ce n'est vraiment pas quelque chose de positif pour la personne qui est dans son champs de mir. Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo déjanté et Spéciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Dim 11 Nov 2007 - 205 Atreus avait sentit la légère tension de Junie lorsqu’il lui avait montré ses bras mutilés. Oui. Je sais. Ca ne lui plaisait pas. Ni d’ailleur à Ian et Alice. Il le savait. Il avait entendu leurs paroles d’aide et leurs essais de le convaincre d’arrêter. Et voilà comment il remerciait ses amis en continuant. T’es vraiment qu’un sale con Atreus. » Il l’entendait cette voix dans sa tête. Il l’entendait mais ne faisait rien. C’était plus fort que lui. C’est tout. Une sorte d’addiction à la scarification. Mais en voyant ses mais à ses côtés, Alice, Junie, Ia,, il sentit vraiment le pincement au cœur qui apparut. Il baissa la tête doucement et son regard mélancolique se perdit dans l’océan des flammes. La voix d’Alice le sortit de sa torpeur - Atreus, la prochaine fois que tu fais une virée nocturne, dis le moi…enfin bon, si tu veux bien de moi, bien sûr » L’Irlandais sourit doucement avant même de tourner la tête vers elle. Il lui adressa un regard chargé de tendresse, d’affection avant de lui répondre. Atreus - Pas d’problème Alice. T’sais bien que je pourrai pas te dire non. » - Il détourna le regard vers Junie, tout en gardant son léger sourire - Tu pourras nous accompagner Junie. Toi aussi Ian. Nan vraiment j’voulais être seul ce soir pour… Pour c’que vous savez. Vous n’aurez pas apprécier ça de toute façon. » La voix du Serdaigle se tut. Silence. Il regarda ses coupure à la lueur du feu. Les plaies brillantes étaient nettement visible. Soudain, tout lui parut stupides. C’était vrai. Il fallait le dire. C’était complètement con ce qu’il faisait. Sa conscience tordu et maligne choisit bien-sûr ce moment pour lui faire rappeler le bonheur que cela procurait. Oui. Ca aussi c’était vrai. Une fois de temps en temps. Seulement. C’était ça qu’il devrait faire. C’est ce qu’il lâcha sans préambule. Atreus - J’vais me calmer de ce côté-là… Pour vous. » Atreus était conscient qu’il aurait du prendre cette décision depuis des années. La volonté. C’était ça qu’il l’avait empêché. La volonté d’arrêter ne lui était jamais venu. Jamais. Même pas pour eux. Il secoua la tête doucement. Allez. On oublie ça. La soirée était belle, agréable. Il n’avait aucune envie de plomber l’ambiance avec ses petits problèmes merdiques, sans intérêts. La discussion était en c’moment sur Xavier. Ce connard. Ian évoquait le cours de potion. Tsss. A ce souvenir, même sa mélancolie passagère disparu. Comment qu’il le détestait c’gars. Ce dernier s’en apercevait bien mais persistait à toujours faire son grand ». Combien de fois Ian et lui l’avait cogné ? Il se tenait tranquille envers eux mais voilà… A chaque fois il remettait ça sur n’importe qui. Même Alice y avait eu droit. Ce jour-là, le trio Ian-Junie-Atreus avait eu du mal à ne pas l’écorcher vif. L’Irlandais s’aperçu qu’il avait serré les poings, les jointures nettement visible et blanche. Il desserra ces derniers avant d’entendre Junie proférait sa colère, elle-aussi contre Xavier. Junie - Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chérie par là, ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui répète, que moi c'est Natalia. » Le ton tellement exaspéré de la jeune femme fit naître un sourire sur le visage d’Atreus. Junie et ses réactions crû. Il l’adorait. Fallait dire aussi que leur caractère étaient légèrement semblables. Autant elle ne passait pas aux mains comme le faisait trop souvent l’irlandais, elle n’était pas la dernière à dire ce qu’elle pensait. Bref. Le silence avait repris ses aises. Voulant changer de sujet, sachant pertinemment que si ça continuait comme ça il pourrait pas s’empêcher d’aller frapper l’autre con de Xavier, Atreus avisa le bouquin qu’avait jeté Ian sur la table, prêt de sa lame. Un regard interrogatif sur la couverture unie et nue, avec seulement une sorte de dessin étrange. Avec un air intéressé, il montra de la tête le livre à James. Atreus - Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? Bon. Ce n’était peut-être pas le mieux à demander pour changer de sujet mais c’est tout ce qu’il avait trouvé. De plus, le motif du bouquin l’attirait. Étrangement… Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accélérer quand mêmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultés Spéciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Dim 11 Nov 2007 - 1253 Comment expliquer ça ? Qu’en si peu de temps, qu’en quelques secondes, Alice s’était mise à sourire. C’était son premier vrai » sourire de la soirée, et elle sentait que ça n’allait pas être le dernier. Ian lui lança un sourire, qu’elle lui rendit immédiatement. Puis Atreus prit une bonne résolution, qu’il n’avait pas prise avant se calmer. La jeune Serdaigle lui lança un sourire, elle savait qu’il y arriverait, et de toute façon, elle serait là pour l’épauler…tous serait là pour l’aider. Et puis ils se remirent à parler de Xavier… Alice étant la plus petite des Quatre, il avait facile à lui pourrir l’existence. Un jour, il avait même réussit à la bloquer dans un coin pour lui dire ses quatre vérités, forçant un peu trop au goût d’Alice sur les mots tu viendras dans mon lit » et t’es vraiment nulle ». Mais la jeune Sixième Année ne s’était pas laissée faire, elle lui avait simplement foutus une gifle, histoire qu’il se calme un peu. Depuis, elle avait plus le droit aux menaces et aux regards noirs, mais maintenant, elle était habitué. Il avait sûrement raison elle était bonne à rien, mais la seule chose qui était sûre, c’est que quoi qu’il dise, il avait toujours Junie, Atreus et Ian sur le dos – ce qui était toujours marrant, d’ailleurs. Soupirant rien qu’en y repensant, la jeune Brown écouta attentivement la phrase de sa meilleure amie. En quelques secondes, Alice s’était mise à rire, un rire presque inaudible qu’on remarquait grâce à son sourire. Pour l’enfoncer encore plus, ça, Junie était toujours là ! Elle non plus ne pouvait pas le voir en peinture, pourtant, c’était loin d’être réciproque… Un jour je l’ai surpris en train de dire "Junie ? Je vais me la faire avant la fin de l’année !" Ce type est tellement bête qu’il ne voit même pas que personne ne l’aime, même ses propres amis ne peuvent pas le voir… Et j’en sais quelque chose, j’ai eut l’occasion de parler avec Jesse, et il m’a dit qu’à chaque fois que Xavier m’insultait, il me défendait. Et vous saviez que son ancienne petite amie l’a trompé avec Peter, son sois disant grand ami ?! Quand on me l’a dit, j’étais plié… C’est la preuve que, quand même, on n’est pas les seuls à ne pas pouvoir le voir en peinture. D’ailleurs, ce type, je me demande comment il a pu sortir avec des filles…Rien qu’en y pensant, ça me donne envie de vomir. »Les rumeurs et les comérages. Ca, s’était le domaine d’Alice et Junie. Bon, sûrement pas de Ian et d’Atreus, mais des fois il y en avait des très drôle qui circulait. Tout en regardant Junie, la jeune bleu et argent frissonna. Il faisait chaud, oui, surtout grâce au feu mais il y avait toujours un petit courant d’air glacial… Il était tard, mais la fatigue ne se fit pas ressentir. Ses yeux gris étaient encore grand ouverts, se posant sur tout et n’importe quoi. Elle repensait à Atreus qui lui avait dit, quelques minutes plus tôt, qu’il ne pourrait pas lui dire non pour une virée nocturne. Elle s’imaginait déjà y aller avec eux depuis la rentrée, elle n’en avait fait que deux. Habituellement, c’était rare quand elle n’en faisait pas, mais là, c’était carrément le contraire. Mais stop, elle verrait ça demain en se levant. Il ne fallait pas gâcher ce si bon moment. Le silence s’imposa durant quelques secondes, des secondes où le cœur de la jeune Alice battait la chamade. Ses mains tremblaient, puis s’arrêtaient, puis elle recommençaient…c’était un cercle vicieux, et elle ne savait pas quel était la cause de ses tremblements soudains. Mais elle cessa d’y penser qu’en la voix d’Atreus retentit. Il cassa le silence avec douceur, surprenant la jeune Alice, qui ne s’en doutait pas. Le regard à présent dirigé vers Atreus, elle l’écouta, comme les autres. Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? »La jeune Brown dirigea immédiatement son regard vers le livre de Ian. Sa couverture était étrange, avec une inscription qui capturait votre regard en quelques instants. Sa couleur unie vous scotché sur votre canapé, oui, c’était sûr ce livre attiré l’œil. A sa vue, Alice se dit qu’elle devrait passé plus souvent de temps à la Bibliothèque. C’est vrai ça, elle n’y allait jamais à part quand elle devait y rejoindre quelqu’un, mais à chaque fois qu’elle y mettait les pieds, elle était forcée. Sourire. Alice se tourna vers Junie, puis vers Puck’ qui ronronnait toujours autant sur ses genoux. A présent, elle se voyait très mal dormir comme lui, surtout maintenant… James Re Everybody's Changing - Libre Sam 17 Nov 2007 - 2206 HRP _ Désolé du retard. Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chérie par là, ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui répète, que moi c'est Natalia. »Le Serdaigle fixait Natalia de son regard foncé, un léger sourire sur les lèvres, suite au comportement de cette dernière. Ce type avait vraiment le don de se mettre les pieds dans les plats, et malheureusement, il se heurtait souvent à des personnes plus fortes que lui. Pourtant le message ne semblait jamais se rendre au cerveau du fait qu’il ne fallait pas se moquer de Atreus, James et Natalia en particulier. C’était probablement ceux qui n’avaient aucunement peur des conséquences qui pouvaient y avoir s’ils osaient touchés Xavier. Il était une sorte de défouloir au final… Bref. Les deux bleues et argents, Natalia et Alice s’étaient mis à rire, et Ian observa la sixième année lorsqu’elle prit la parole. Un jour je l’ai surpris en train de dire "Junie ? Je vais me la faire avant la fin de l’année !" Ce type est tellement bête qu’il ne voit même pas que personne ne l’aime, même ses propres amis ne peuvent pas le voir… Et j’en sais quelque chose, j’ai eut l’occasion de parler avec Jesse, et il m’a dit qu’à chaque fois que Xavier m’insultait, il me défendait. Et vous saviez que son ancienne petite amie l’a trompé avec Peter, son sois disant grand ami ?! Quand on me l’a dit, j’étais plié… C’est la preuve que, quand même, on n’est pas les seuls à ne pas pouvoir le voir en peinture. D’ailleurs, ce type, je me demande comment il a pu sortir avec des filles…Rien qu’en y pensant, ça me donne envie de vomir. »Si l’on sort du contexte de Méfaits Accomplis. J’aurais pu vous dire que Xavier était le portrait craché de Malefoy, mais à Serdaigle. Prenez ce comportement et transposé le sur Xavier et ça reviendra au même. Retournons au RP à présent. Un nouveau sourire apparu sur les lèvres du septième année, avant d’échanger, à nouveau, un air complice avec son ami, Atreus. En effet, les potins n’étaient pas spécialement le domaine des garçons, mais les rumeurs circulaient toujours aussi rapidement dans l’école de sorcellerie. Ian n’était pas le type qui allait en raconter, mais plutôt écouter. Par exemple, lorsqu’il attendait quelqu’un dans les couloirs et qu’un groupe de personnes près de lui parlent de quelque chose qui pouvait s’avérer intéressant, il écoutait. Sinon, sans plus. Savoir qu’untel ou untel était sortit lui ou l’autre, au final, ça ne changeait strictement rien à sa vie. Mais savoir que Jesse défendait également Alice, eut une sorte d’effet de soulagement pour le septième année. Pour ce qui était de Peter… Sans commentaire. James tourna, à son tour, le regard vers les flammes, se sentant bien. Parler entre eux, était toujours bien agréable. Sortant un peu de l’habituel étouffant de tous les élèves en plein jour. La nuit était une sorte de refuge pour plusieurs. Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? »Hum… Hein ? Quoi ? Ian se redressa lentement et posa, comme tous les autres apparemment, sur son propre bouquin. C’était vrai qu’il était étrange, et c’était bien ça qui obsédait le bleu et argent. Il y avait quelque chose de pas normal, mais il n’arrivait pas à trouver quoi. Et ça, ça l’énervait. Je ne sais pas trop… C’est assez complexe à vrai dire… » commença-t-il tout en se levant du fauteuil pour aller reprendre le posa sa main sur le livre et l’attira contre lui, un drôle de phénomène se produisit. La lame le suivait. Elle glissa sur la table, jusqu’à temps qu’elle tombe sur le sol, alors que Ian éloignait le livre de la table, observant se qui se passait. Il lança un regard perplexe aux trois autres et tourna le livre sur lui-même. Sur le côté, les pages avaient été tâchés légèrement du sang de la lame, et du coup, on aurait dit que ça agissait comme une sorte d’aimant. Le jeune homme s’accroupit et rapprocha / éloigna le bouquin de la lame, qui elle, avançait toujours plus vers le livre, et vers Ian par le fait même. Ok… Ça, c’est pas normal… »Petite expérience. Il fit glisser rapidement le livre contre le sol, qui partit quatre ou cinq mètres plus loin. La lame tourna sur elle-même et, comme je l’ai dit, comme un aimant, elle glissa à la vitesse de la lumière juste à côté, mais sans y toucher, manquant de couper Ian au passage. Contenu sponsoriséSujet Re Everybody's Changing - Libre Everybody's Changing - Libre Page 1 sur 1 Sujets similaires» [alone...~libre]» You'll Ask For Me - Libre.» We Had A Bad Day... [Libre]» A l'air libre» Promenade [Libre]Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLIS™ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers
1Laisse-moi t'aimer (Remasterisé en 2010); 2 Parce que je t'aime plus que moi (Remasterisé en 2010); 3 Mais dans la lumière (Remasterisé en 2010); 4 Qui saura (Remasterisé en 2010); 5 A corps perdu (Remasterisé en 2010); 6 C'est Mike Brant Durée 0322 Auteur Michel JourdanCompositeur Mike Brant Paroles Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'étais certain cette fois Que tu me retiendrais On se trompe quelques fois Une larme a tout changé Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que de nous deux C'est moi le plus malheureux Par ma faute trop de fois Mon amour tu as pleuré J'ai voulu partir cent fois Et cent fois je suis resté Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime Je t'aime et je veux te le dire Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Rien qu'une larme dans tes yeux Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime MICHEL JOURDAN, MIKE BRANT SM PUBLISHING FRANCELhéroïne de cette histoire Faisait couler des jours heureux Dans les veines des stars L'h Paroles de L’Héroïne de cette histoire par Isabelle Boulay. L'héroïne de cette histoire Faisait couler des jours heureux Dans les veines des stars L'h Entrez le titre d'une chanson, artiste ou paroles. Palmarès de paroles Communauté Contribuer Business. Connexion
Le Deal du moment Cartes Pokémon où commander le coffret ... Voir le deal € MÉFAITS ACCOMPLIS™ Corbeille &&. ANCIENS RP 2 participantsAuteurMessageAsuka HaradaNombre de messages 305Age 31Maison SerdaigleMessage Perso L Tigrou, Nado, Thoms, Eva, Thib'... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 19/06/2007Sujet L'echappée PV Atreus <3 [NC -17] Sam 23 Fév 2008 - 1847 Le dortoir des garçons de Serdaigle était désormais vide. Les jeunes bleu et argent s'étaient tous levés pour répondre présent à l'appel de la bière des trois balais en ce dimanche de sortie à Pré-au-Lard. Le silence régnait et les garçons ayant eut la flegme d'ouvrir les rideaux, la pénombre régnait elle aussi. Aucun son, aucun mouvement, aucune forme de vie si ce n'était le chat d'Asuka Harada qui avait prit pour habitude de venir caliner le petit ami de sa propre maitresse. Mais Lix était lové dans la couette du jeune homme, dormant paisiblement. Tout était donc calme quand... La porte s'ouvrit à la volée pour laisser entrer à toute vitesse la ravissante Asuka, entrée ponctuée par un grand éclat de rire. La belle n'attendit pas une seconde et prit le coussin du premier lit à sa portée et se cacha derrière la porte, reprenant son souffle et étouffant ses rires. Tout cela ressemblait à une bataille de polochon... Mais comment en étaient-il arrivés là, alors qu'aujourd'hui était un jour de sortie à Pré-au-Lard ?** FLASHBACK **Asuka cherchait quoi enfiler, analysant le contenu de son armoire. Oh des habits, elle en avait bien plus qu'il ne le fallait... Maintenant qu'elle faisait des photos pour des magazines et donc pour quelques marques, elle avait le droit à quelques habits coûteux en plus... qui ne lui coûtaient qu'un sourire le temps de quelques photos. Asuka adorait les habits. Se maquiller, se faire belle pour voir son ange, c'était un réel plaisir. Asuka faisait donc le tri selon ses envies, sous l'oeil amusé d'une amie de Serdaigle qui enviait ce grand choix d'habits, mais qui se riait de l'attention que portait Asuka à sa tenue, alors que de toute évidence, quoi qu'elle porte, elle était magnifique. Elle lui fit d'ailleurs remarquer, ce à quoi Asuka sourit en silence. Elle se rappelait que lorsqu'elle demandait à Atreus si il aimait telle ou telle chose sur elle, il répondait quasiment à tout les cas quelque chose du genre "J'men fou, je t'aime comme t'est." Elle raffolait de ces moments. Comme de tous les moments passés avec lui d'ailleurs. Bref. La jeune femme opta pour une tenue décontractée étant donné la journée qui les attendaient... La semaine d'avant, ils avaient marché jusqu'aux Trois balais, et l'un des potes d'Atreus avait tellement bu qu'ils avaient dû le ramener au chateau en le portant à moitié tandis qu'il levait son verre en l'honneur du mariage d'Atreus et d'Asuka. Souriant en repensant à cela, Asuka prit un jean et un pull noir avec un décolleté en forme de V avant de filer direction la dû attendre quelques minutes le temps qu'une fille de seconde année sorte, les lèvres badigeonnées d'un rouge à lèvres rose affreux. Asuka la regarda passer et ne pu s'empêcher de lui conseiller un rouge à lèvres rouge, étant donné qu'elle avait une peau mâte. La petite ne pu qu'admirer ce conseil venant d'une si jolie jeune femme. Asuka avait beau aimer le maquillage, elle avait beau passer des heures à essayer diverses tenues, connaître des sorts pour se lisser ou, se boucler les cheveux, rêver de défiler sur une piste en temps que mannequin des plus grands couturiers... Cela ne faisait pas d'elle une fille superficielle, malgré ce qu'on pouvait en croire. Au contraire, Asuka était bien tout sauf superficielle. Et comme elle l'avait confié à Atreus, le fait que l'on fasse peser sur elle cette réputation la blessait beaucoup. Mais maintenant qu'elle sortait officiellement avec l'Irlandais, et non pas cachée au fin fond d'une réserve miteuse, on la respectait plus. Enfin, les avis étaient partagés. Certains se disaient que ce n'était toujours qu'une "trainée" et que leur relation n'avait rien de sérieux. D'autres avaient plus de respect pour elle, du fait qu'Atreus l'ai choisie. car Atreus avait beau être détésté par beaucoup, il y avait également beaucoup de gens qui l'admiraient et le respectaient. Mais quoi que pensent les gens de toute façon, Asuka se fichait de leur jugement. Elle aimait Atreus, elle l'aimait plus que tout autre copain qu'elle ait pu avoir. Et elle savait que cet amour était réciproque. Qu'ils disent ce qu'ils veulent... Atreus et Asuka étaient liés par le coeur, la tête... par leur âme. Ils se complétaient, ils pensait sans arrêt la même chose... c'était comme si ils ne faisaient qu'un. Pensive, Asuka s'enferma dans la salle de bain, enleva sa nuisette et entra dans la douche. Elle resta une bonne vingtaine de minutes sous l'eau, faisant des coeurs sur le rideau de douche avec quelques un de ses cheveux égarés. Comme dans un état seconde, la belle n'avait pas conscience du temps qui passait. La tête complètement ailleurs, ce n'est que quand son amie vint frapper à la porte qu'Asuka conssentit à sortir de la douche. S'habillant, elle ouvrit la porte et son amie vint lui tapper la discut' tandis que toutes deux se maquillaient devant la Alors ? Ca fait combien de temps avec Roméo ?- Depuis cet été... neuf mois. Si on compte depuis la bibliothèque, ca doit faire pas loin d'un an... C'est dingue comme ca passe Veinarde... T'a trouvé un mec en N'est-ce pas ?Asuka lui sourit, refermant le mascara et le lui donnant. Oui, elle avait un petit ami en or. Elle en était bien consciente. Et pour rien au monde elle ne le lâcherait... Les deux filles enfin prêtes, elles descendirent dans la salle commune où les attendaient quelques autres filles, Atreus, et ses potes. Au moment où elle le vit, un sourire plus large apparut sur ses lèvres tandis que son regard se faisait plus tendre encore. S'approchant, elle passa ses mains autour de son cou et lui donna un baiser, avant de murmurer entre deux baisers- Jolie chemise...Il savait qu'elle l'adorait cette chemise. Ainsi que la cravate qu'il portait avec... Chaque fois qu'il la mettait, elle était touchée par cette petite attention qu'il lui portait tout particulièrement. Le groupe des Serdaigles descendit jusque dans la cour, pour répondre présent à l'appel des profs avant le départ. Mais une fois chose faite, alors que tout le monde commençait à avancer le long de l'allée, Asuka réalisa qu'elle n'avait pas envie de ca. Elle aimait ces journées à Pré-au-Lard, la plupart du temps à boire un coup en discutant aux Trois Balais... Mais la, elle avait envie de rester avec Atreus. Juste lui. Car les moments où ils pouvaient être en tête à tête étaient rares... Clouée sur place, regardant les autres avancer, elle serra la main d'Atreus tandis que lui entamait la marche. Lorsqu'il se retourna avec un regard interrogatif pour savoir pourquoi elle n'avançait pas, elle leva les yeux vers lui avec un petit sourire malîn. Caressant sa cravate, elle l'empoigna doucement et l'attira vers elle, faisant se pencher Atreus près d' Ai pas envie... Elle lui fit sa plus belle mine de boudeuse, et vit le regard de son petit ami s'attendrir. Héhé... Elle savait être persuasive. Mais Jim, un ami de Serpentard, le savait aussi...- Eh m'sieur dame, vous allez venir prendre un verre quand même ?Asuka soupira. Celui-la allait tout faire planter ? Tss... Tout le monde savait bien qu'Atreus était un bon vivant, qui ne résistait pas à un petit verre... Mais avant que l'Irlandais ne dise quoi que ce soit, Asuka lanca un regard mauvais à Jim et tira de nouveau sur la cravate d'Atreus, se penchant sur la pointe des pieds pour atteindre le creux de son oreille où elle sussura quelque chose... d'apparement plus convaincant que l'argument de Jim. Gagné. Non pas qu'il restait juste pour ce qu'elle venait de dire... elle esperait qu'il n'y ait pas que ca qui l'interesse... Mais bon, après tout, elle aussi été franchement bien interessée par cette idée des plus plaisantes. Alors qu'ils retournaient vers le chateau, on entendit Jim ouvrir de nouveau sa bouche, ce à quoi Asuka s'arrêta al bouche entrouverte, à moitié choquée et vexée de ses L'amour tuera tout tout les plaisirs...Asuka se retourna, lâchant la main d'Atreus, et s'approcha de Jim avant de pointer un index accusateur sur le torse du Tu sais quoi ? Si Eliane t'a largué, c'est parce-que, justement, tu préférais boire et faire la fête que passer un moment avec elle. Jim, une fille ne restera jamais avec toi si tu ne la fais pas passer avant tout le reste. Alors vas-y, vas te mettre un peu plus minable que tu ne l'est déja. En attendant, Atreus n'aura pas de bière mais je suis sûre qu'il prendra bien plus de plaisir que toi aujourd' ce, elle fit demi tour et revint vers Atreus sous les rires des Serdaigles qui se moquaient de la façon dont il venait de se faire casser en public. Asuka n'était pas méchante... Mais il était bien connue qu'elle avait un temperament de Serpentard et que, lorsqu'on la cherchait, elle était redoutable... une vraie sauvage. Elle bondissait comme une tigresse et faisait des ravages sur son passage. Mais il n'y avait pas de quoi s'inquieter... Jim et Asuka s'appréçiaient. Mais il avait tendance parfois à être un peu trop macho et si il y avait bien quelque chose qui énervait la miss Harada, c'était ca. Alors elle se chargeait de le remettre en place, et le landemain, c'était oublié. De toute façon si il disait quoi que ce soit sur elle, Asuka comptait sur Atreus pour prendre sa défense... Histoire tout de même de ne pas passer pour la rabas-joise de service, Asuka reprit la main d'Atreus et lança un regard à Jim à qui elle tira la langue d'une manière ironique pour dire que c'était déja oublié, qu'il n'y avait pas de problème.... Ce qui ne l'empecha pas de partir dans monologue feministe anti macho durant tout le long du chemin les menant jusqu'à la salle commune de Serdaigle. Parlant à toute vitesse, elle n'était pas convaincue qu'Atreus était bien attentif à ce qu'elle disait... et si il ne l'était pas, elle ne lui en voudrait pas... car elle même se fatiguait à parler, parfois. Mais lorsqu'elle déblaterait tout un tas de paroles ainsi, s'enervant toute seule, cela faisait sourire Atreus. Et ca, ca valait bien tout l'épuisement du à la salle commune, Asuka se débarrassa de son sac en bandoulière et passa ses bras autour de la taille d'Atreus, l'embrassant. Parce-que cela faisait un moment qu'elle en avait envie. Parce-que rien que ca, c'était un réel plaisir. Mais comme à chaque fois, un baiser suffisait à faire monter un désir enfouit en eux et déja elle ne pu se retenir de le pousser jusqu'au canapé où, une fois allongé, elle s'assit à cheval sur lui, l'embrassant encore, ses cheveux lissés tombant de part et d'autre du visage du préfèt. Elle avait envie de lui. Elle en mourrait d'envie. Mais la jeune fille était joueuse... et là, c'était trop facile. Le distrayant en descendant poser des baisers au bas de son ventre, elle attrapa le coussin au bout du canapé. Une fois celui-ci en main, elle se repositionna à cheval sur lui, les mains dans le dos, avant de maîtrise... Si tu veux bouger, tu peux pas partir... Couché le tigre...En voyant la tête mi amusée mi offusquée d'Atreus, elle ne pu s'empêcher de rire et abattit le coussin sur sa tête avant qu'il ne puisse échanger les positions. Car il était évident que, au niveau physique, il avait toute maitrise sur elle... Il était grand et costaud tandis qu'elle ressemblait à une brindille à côté de lui. Mais elle adorait le provoquer. Oui, tout deux passaient leur temps à se taquiner. Qui aime bien châtie bien. Pour éviter toute contre attque, la jeune femme se leva en vitesse et partit se réfugier dans le dortoir des garçons, riant aux éclats.**C'est donc cachée derrière la porte, avec un nouveau coussin en main, qu'Asuka attendait l'arrivée d'Atreus. Son coeur battait à toute vitesse à cause du stress et du sprint qu'elle venait de faire. Essayant de respirer le plus doucement possible, elle attendait, presque silencieuse, l'arrivée du bel Atreus. Même si c'était, pour l'instant, pour l'attaquer avec un coussin, elle avait hâte. Il lui manquait déja...Dernière édition par Asuka Harada le Dim 23 Mar 2008 - 1716, édité 1 fois Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo déjanté et Spéciales //Sujet Re L'echappée PV Atreus <3 [NC -17] Dim 24 Fév 2008 - 623 Dimanche 14 Avril 1984 - 907 - Salle Commune de SerdaigleUn ciel d'un bleu azur. Quelques nuages fins d'un blanc nacré. Une légère brise. Une belle journée en perspective. Ah... Avril. Beau mois putain... C'est ce que se disait Atreus en contemplant rêveusement le ciel et le paysage qui s'étendait devant lui, à travers une des fenêtres de la Salle Commune. Un léger roucoulement le fit tourner la tête. Oh... Perchés sur une gouttières en pierre du toit de la tour, un couple de pigeons roucoulaient paisiblement en se donnant de petits coups d'becs affectueux. Des baisers pour eux quoi. Des baisers... Aussitôt, l'image d'Asuka apparut au jeune homme. Son visage d'ange et son sourire qui le faisait fondre à chaque fois se dessina devant ses yeux. Ah... Asuka. "Elle" comme il l'appelait... Sa petit amie. Putain... C'kil l'aimait sa Asuka le 'Treus. Comme... Comme un alcoolique chérie sa bouteille de Whisky par exemple. Euh. Nan c'pas romantique ça. Et puis... Nan ça convient pas. C'est PLUS que ça ! C'est comme... Comme ce couple de pigeon. Il s'aiment à la folie ! C'est exactement doux sourire se dessina sur le visage de l'Irlandais. Le sourire d'un homme qui aime. Un éclat de rire le fit redescendre sur terre. Un d'ses potes à première vue. Aaah... Gros soupir. Asuka lui manquait. Il savait qu'elle n'allait pas tarder à descendre, toute fraîche et maquillée, mais, c'était trop long déjà. Combien d'fois il lui en coutait de la laisser au pas des escaliers des deux dortoirs ? Je ne les compte plus. Bref. C'est ainsi qu'il prit son mal en patience, ravalant son impatience. Bon. Aujourd'hui, une putain d'journée s'annonçait. Habillé de sa chemise blanche et de sa cravate rouge, que sa tigresse de petite amie kiffait au plus haut point, et d'un jean, le Serdaigle, et sa bande de potes et amies, attendait Asuka et une autre amie de Serdaigle pour se rendre pour une journée tranquille et cool à Pré-au-Lard. Atreus prévoyait un 'tit détour par le parc avec Asuka pour... Batifoler un peu n'est-ce pas ? Les deux jeunes gens prenaient beaucoup de plaisir à s'faire toutes sortes de câlins doux ou coquins. Ouf comme c'était bien. Clac. Puis un "Tap ! Tap !" régulier et des paroles. Et Sa voix. Pas d'doutes. Asuka arrivait. Putain enfin la belle de son cœur arrivait. Quand elle paru, Atreus ne put s'empêcher de sourire devant sa grâce et sa beauté gracile. C'te fille, c'est une merveille j'vous dit ! Arrivait à sa hauteur, la jeune femme, très joliment habillée comme d'habitude, passa ses bras autour du cou du jeune homme et l'embrassa amoureusement. L'Irlandais lui rendit ce baiser pleins d'amour en resserrant la pression et en touchant délicatement la belle crinière de la jeune femme. Quand ils écartèrent leurs lèvres, le murmure d'Asuka parvint à ses oreilles. Jolie chemise... » Jolie pull... » riposta gentiment le jeune homme avec un clin d'œil amusé. Après un autre baiser plus rapide cette fois, le groupe des Serdaigles se mit en marche, bavardant et riant forts. Atreus passa sa main dans le bas du dos d'Asuka, entourant ainsi sa taille, et ils partirent à la suite du groupe. _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _Arrivaient en bas du chateau, devant la porte d'entrée, Atreus sentit une pression sur sa main. Il se retourna. Asuka ne suivait pas. Il lui lança un regard interrogatif. Asu tu n'vient p... »Il n'eut pas le temps de finir sa phrase car la ravissante jeune femme venait de l'attirer en tirant doucement sur sa cravate. Chose qu'elle adorait faire et... Je dois avouer que le 'Treus kiffait beaucoup ce geste si sensuel. La jeune femme approcha et lui murmura doucement Ai pas envie... »L'Irlandais eut un sourire amusé et pleins d'amour devant la mine boudeuse et maligne de la jeune Asuka. P'tiiin. C'te tête... Il le rendait fou de désir ! C'est pourquoi il n'allait opposer aucune résistance à ce petit caprice de sa belle petite amie. Quand un pote de Serpy les héla, Asuka eut une moue encore plus boudeuse et se pencha à côté de l'oreille d'Atreus. Ce qu'elle lui dit vous l'avez sûrement deviné non ? Bande de pervers va ! Vous avez pas tout à fait tord... Le visage d'Atreus ne changea pas, si ce n'est pour afficher un sourire chargé d'amour, de tendresse et de désir encore plus jeune homme laissa la belle jeune femme mouchait le Serpy. Atreus s'en foutait car en c'moment il se sentait bien dans la tête, dans le corps et... Dans le coeur. Hop. Direction... La Salle Commune ! Héhé..._ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _Le retour à la Salle Commune fut très rapide. A peine arrivé que les deux jeunes gens s'enlaçaient passionnément en s'embrassant fougueusement. Que c'était bon. Asuka le poussa avec un amour sauvage dans le canapé le plus proche. Et elle vint de mettre à cheval sur lui tout en l'embrassant avec ardeur. Atreus caressait les courbes de la jeune femme d'un bras alors que l'autre bras était logé derrière la nuque de Tigresse tout en l'embrassant avec passion et désir. P'tiiin. Des moments comme ça reste gravé dans la mémoire. On souhaite que cela ne s'arrête jamais. Ou alors seulement pour aller plus loin encore. En c'moment-là, le Serdy était vraiment fou de désir. Cette fille était un rêve. Un rêve qui était à lui. Rien qu'à lui. Alors qu'il l'embrassait dans le cou, la jeune femme déposa des baises sur son torse pour descendre peu à peu. Elle se redressa brusquement pour reprendre sa position initial sur lui, à cheval sur son torse. Quelle maîtrise... Si tu veux bouger, tu peux pas partir... Couché le tigre... »Oho. La 'tite coquine... On aime la provoc' hein ? Genre Atreus le savait pas. Depuis l'temps qui se taquinaient avec amour et se provoquer mutuellement, c'en était devenu un jeu. Un Jeu de l'Amour. L'Amour façon Atreus et Asuka. C'est un peu plus... Spécial. Héhé. Elle veut donc jouer à ça ? Elle va avoir l'droit à... BROUF ! Putain ! Le jeune homme venait d'se prendre un gros coussin dans la gueule avant d'entendre le rire amusé d'Asuka s'éloignait. Tout en enlevant le coussin, le Serdy éclata de rire. Putain. Vous l'ai-je dit que j'adore cette fille ? Aussi belle qu'imprévisible. J'ADORE !Et c'est donc un coussin à la main et le sourire tendre et amusé aux lèvres que l'Irlandais se lança à la recherche de sa joueuse de petite amie. Il jeta un œil du côté de l'escalier des dortoirs des filles mais le rire étouffé de la jeune femme lui parvint du côté des dortoirs des mecs. Oho. En territoire connu. Ça va être marrant. Le jeune homme s'élança sans faire de bruit dans l'escalier, s'arrêtant de temps en temps devant les porte des dortoirs. Mais il savait où elle s'était réfugié. Dans SON dortoir à lui. Il le sentait. Il le savait. Il la connaissait bien sa Asuka hein ? A pas de loups, il s'approcha donc de la dernière porte, celle de son dortoir. Il resserra sa prise sur le coussin, et après un sourire et un frisson d'excitation et d'euphorie, ouvrit rapidement la porte. Un gros coussin s'abattit une fois de plus sur lui mais il se roula à terre et, se relevant d'un bond, balança doucement mais rapidement son coussin sur la tête de la jeune femme. Elle le reçu en plein visage alors qu'elle riait aux éclats. Le Préfet en profita pour se rapprocher d'elle et se collait à son corps. Tout deux riant, ils s'embrassèrent un peu partout... Dans le cou, sur le visage, les lèvres... C'beau l'amour hein ?Avec un regard amusé, ils se séparèrent et reprirent leurs armes. Le Coussin Blanc - Modèle Hot Dreams » d'Asuka VS le Coussin Bleu à Franges - dit Tueur de Mouches » d'Atreus. Tantan ! ZE duel ! LEs deux adversaires se font face. Ils s'observent et... C'EST REPARTIT ! Le Coussin Blanc de la jeune femme vole à travers la pièce et manque de peu l'Irlandais. Ce dernier riposte en envoyant valser son coussin vers Asuka. Cette dernière l'évite en plongeant sur un lit. Elle se relève, un autre coussin à la main et l'envoie de toutes ses forces sur Atreus. Le préfet, occupait à récupérer le premier coussin d'Asuka se prit le coussin ennemi dans la tronche. Dans un grand éclat de rire, il contre-attaqua. Cible touchée. Asuka resta allongeait sur le lit, riant à perdre haleine. Alalaaa... C'trop bon tout ça ! Le jeune homme sauta sur le lit, aux côté de sa petite amie. Tout en la serrant dans ses bras, il l'embrassa sur les lèvres. La jeune femme tressautait encore d'euphorie mais elle lui rendit son baiser avec autant de fougue que d' releva la tête. Un sourire amusé et tendre sur les lèvres, il balaya une mèche rebelle sur le front de la Serdaigle avant de lui caresser la joue. D'une voix douce, lâcha Je t'aime Asuka. De tout mon cœur. De tout mon être. De toute mon âme. »Magnifique. Un moment... Magique. Asuka HaradaNombre de messages 305Age 31Maison SerdaigleMessage Perso L Tigrou, Nado, Thoms, Eva, Thib'... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 19/06/2007Sujet Re L'echappée PV Atreus <3 [NC -17] Jeu 28 Fév 2008 - 2313 Silence. On entendait qu'un léger souffle derrière la porte, tandis qu'Asuka tendait l'oreille. Elle n'entendait pas grand chose, mise à part lorsque Atreus arriva devant la porte. Pour être venue souvent en pleine nuit voir son homme, Asuka connaissait la faille dans le plancher juste devant cette porte. On entendit un petit grinçement lorsque le bel Irlandais arriva devant la porte. A ce moment, il ouvrit celle-ci à la volée et sans attendre, Asuka lui sauta dessus, le frappant avec le coussin. Le chat, déja réveillé par l'entrée fracassante d'Asuka, sauta du lit en un miaulement pour se cacher dessous, ses yeux verts grands ouvert dans l'obscurité. Atreus, pour éviter plusieurs coups, se roula à terre dans une cascade digne de James Bond avant de se relever et jeter un coussin sur Asuka qu'elle n'eut pas le temps d'éviter. Le prenant dans la tête, elle ouvrit la bouche comme si elle était choquée, bien que ce soit elle qui ait déclaré la guerre. L'oeil malicieux, cela ne l'empêcha pas de s'approcher d'Atreus lorsqu'il se releva. Passant ses mains derrière sa nuque tandis qu'il la prenait derrière la taille, tout deux se collèrent l'un à l'autre avec envie. Asuka déposa ses lèvres sur les siennes, leurs langues se touchant, se quittant, et revenant encore l'une à l'autre. Puis Atreus quitta ses lèvres pour lui baiser le cou tandis qu'elle fermait les yeux, se mordant les lèvres sous un frisson de désir qui lui parcouru tout le corps. Lorsqu'il revint pour l'embrasser, elle laissa ses lèvres à quelques milimètres des siennes, évitant tout contact, simplement pour provoquer un peu plus le jeune homme et faire monter l'exitation. Puis elle posa ses mains sur son torse et tout deux se lançèrent un regard malin. A ce moment, ils comprirent. Se séparant à toute vitesse au même moment, comme si ils étaient capables de lire l'esprit de l'autre, ils reprirent tout les deux un coussin et la bataille reprit de plus belle. Tandis que tout deux enjambaient ou s'affalaient sur les lit, le chat quitta le champ de bataille en courant et en poussant un miaulement n'en pouvait plus de rire. Déja, rien qu'en voyant Atreus, elle était obligée de sourire. Alors là, tandis qu'ils s'amusaient ensemble, elle était euphorique. En ayant mal aux joues, elle plongea sur le lit d'Atreus pour essquiver son coussin, et le silence revint doucement, ponctué par le rire essoufflé d'Asuka qui n'en pouvait plus. Essayant de reprendre sa respiration et d'étouffer ses rires, elle resta ainsi allongée sur le dos, regardant le plafond avec des yeux pétillants, la main posée sur sa poitrine. Et tandis qu'Atreus avançait vers elle, elle enleva ses chaussures à talons, qui lui avaient déja broyé les pieds suite à ces folles aventures... Bien qu'elle en ai l'habitude. Jetant donc les chaussures et un peu plus loin, elle resta allongée, regardant le plafond avec un sourire amusé et jeune homme vint enfin près d'elle en sautant sur le lit, faisant grincer les lates tandis qu'Asu se voyait plongée vers le sol avant de rebondir légèrement. Aussitôt, elle posa un doux regard sur lui tandis qu'il faisait de même, et lorsqu'il approcha son visage, elle l'accompagna, posant doucement sa main sur sa joue, la caressant du pouce. Leurs lèvres se joignèrent, puis se séparèrent, pour se retrouver encore dans des baisers langoureux. Comme toujours, un vrai délice. En un regard elle frissonna, tandis que toute sa tête, ses sens et son coeur lui criaient à quel point elle l'aimait. Oh oui elle l'aimait. Jamais quelqu'un ne lui avait autant manqué, jamais elle n'avait désiré quelqu'un comme elle le désirait, jamais quelqu'un ne lui avait fait autant de bien... jamais personne ne l'avait rendue si heureuse. Et cela, elle voulait lui dire. Il le savait, c'etait évident... Mais elle avait l'impression qu'elle l'aimait bien plus qu'elle ne le lui disait, et que ce n'était jamais assez. Jamais Atreus...- Je t'aime Asuka. De tout mon cœur. De tout mon être. De toute mon âme. BAM. Asuka resta immobile une seconde, le regard allant d'un oeil d'Atreus à l'autre. Puis, sentant une vague de chaleur monter en elle en même temps que les larmes lui venaient aux yeux, elle ferma ces derniers et, posant sa main derrière la tête d'Atreus, elle le rapprocha d'elle en le prenant dans ses bras et en le serrant de toutes ses forces contre lui dire quelque chose de mieux que cela ? Non. Il l'aimait de tout son coeur, de tout son être. Et le fait qu'il le lui dise... Asuka était vraiment émotive, et les larmes lui étaient montées plus vite qu'elle ne l'aurait souhaité. Mais c'était naturel. Des larmes de joie. Parce-que rien ne pouvait lui faire plus plaisir que ces paroles... sincères. Se sentir aimée, n'est-ce pas ce que tout le monde recherche au plus profond de soi ? Un besoin d'être aimée, comme on a besoin d'aimer. A vrai dire, son coeur se serra tellement fort à ce moment, elle se retrouva tellement émue, qu'elle fut incapable de lui répondre. Et pourtant, ce n'etait pas l'envie qui lui manquait... L'envie. L'envie de lui crier qu'elle était dingue de lui. L'envie de vivre avec lui, de l'aimer pour le meilleur comme pour le pire. Certes, elle était jeune. Mais elle croyait au coup de foudre, et en l'amour d'une vie. Du moins, elle voulait y croire maintenant, maintenant qu'elle l'avait trouvé. Certes, depuis la mort de sa mère, elle s'etait juré de ne jamais s'attacher... elle avait cru qu'elle ne serait jamais capable d'aimer, d'être aimé. Elle s'était forgé un caractère, il fallait le dire, elle aimait séduire. C'est cela qui lui avait valu cette réputation, à la base, fondée... Il faut dire qu'elle avait enchainé les petits amis... Mais aucun ne l'avait aimé sincèrement, avant Atreus. Atreus... Il était la raison de son bonheur, elle voulait y serrant contre son coeur, elle sentait le sien battre contre sa poitrine. Et se dire qu'il battait pour elle... C'était merveilleux. C'était parfait. Oui, elle était tellement heureuse désormais qu'elle soupçonnait parfois le destin de lui préparer un mauvais coup. Mais cela, elle le refoulait loin dans un petit recoin de sa tête. Le sourire aux lèvres, des frissons plein le corps, elle releva le visage d'Atreus au dessus d'elle et, le regard embué, l'admira, lui caressant les cheveux. Son regard pétillait de larmes refoulées, son sourire était tendre. Elle faisait penser à un petit animal qui ne demandait qu'un peu d'amour. Et c'est ce qu'elle était... Elle le lui avait dit à la réserve de la bibliothèque... elle était fragile derrière sa carapace. Elle avait besoin d'amour, c'est ce qui faisait sa force. Elle en avait besoin, mais elle avait également un coeur énorme, un coeur capable de donner absolument tout son amour à quelqu'un. Son amour, et plus Moi aussi je t'aime... mon 'Treus. - Finit-elle avec un sourire plus large, une larme s'échappant de son oeil -Tandis qu'il lui caressait la joue pour effacer cette unique larme, elle l'attira vers elle pour l'embrasser profondement, passionement. C'était lui sa force. Lui qui lui donnait envie d'avancer, de se battre. Il était... tout. Tout pour elle. Et même si elle ne lui répondait qu'un simple "je t'aime"... cela voulait dire bien plus. Cela voulait dire qu'elle était dingue de lui, qu'elle donnerait tout pour l'aimer jusqu'au bout. Mais cela, il le savait. Il n'était pas légilimens, mais le lien entre eux était si fort qu'ils se comprenaient en toute circonstance. Cessant le baiser, Asuka leva les yeux vers lui et sourit plus largement, puis baissant les yeux sur sa cravate qu'elle caressa du bout des doigts, elle dit- Tu est la seule personne qui m'ai faite pleurer... Paradoxal, quand on sait que tu est la seule personne à me rendre si heureuse...Pourquoi ? Parce-qu'il n'y avait qu'a lui qu'Asuka s'était mise "à nu". En dehors de sa mère, il avait été le seul a entendre ses craintes, ses doutes, ses peurs. Il était le seul désormais à connaître la véritable Asuka Harada. Et à l'aimer pour cela. Pensive, continuant de toucher du bout des doigts la cravate de son bel irlandais, elle lâcha le regard dans le vide- J'ai envie de partir avec toi. Envie de vacances tout les deux. Quelque part au sud, dans un palace en bord de mer. -Elle leva son regard doux dans le sien- Je voudrais passer des heures dans tes bras, dans un bain bouillant au milieu de pétales de roses. Je veux des calîns sur la plage, sous le soleil, sur le sable chaud. Je te veux pendant des nuits entières dans une chambre magnifique digne des plus grands en demandait beaucoup. Elle savait que ce voeux n'était pas réalisable... du moins pas pour le moment. Mais ils l'auraient leur palace. Actuellement, elle passait des heures dans ses bras dans la beignoire de la salle de bain des préfets, entourés de pétales de roses. Ca, c'était leur petit plaisir en plus, les pétales... leur petit truc à eux. Les calîns, elle les avait dans le parc, dans la salle commune... un peu partout. Quand aux nuits... Il y en avait eu à divers endroits, et pas forcement pendant la nuit... Bref, c'était déja parfait. Mais Asuka rêvait de ces moments dans son palace imaginaire... Avec lui. Lui et elle, elle et lui... rien qu'eux et leur amour sans limites. Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo déjanté et Spéciales //Sujet Re L'echappée PV Atreus <3 [NC -17] Ven 21 Mar 2008 - 2220 Silence. Les deux amants se regardaient. A la suite de ce qu'il venait de lui avouer, la belle de son cœur en fut bouche-bée. Il eut un sourire de tendresse en la voyant ainsi. Si belle... Ses cheveux bruns lui tombant sur le visage et les épaules. Ses lèvres fines si désirables. Et ses yeux... Un putain d'regard à vous retourner les tripes. Magique. Magni... *ZBROUF* Asuka venait de le serrer de toutes ses forces dans ses bras, le rapprochant d'elle. Se laissant faire, le jeune homme ferma lui aussi les yeux, sans se douter que sa belle faisait de même. P'tiiin. C'dans des moments comme ça qu'on se sent... Heureux. Vraiment. A tout faire péter Quand il t’emplit le cœur, la tête, le corps.. fin tout quoi, bah c’est kek’chose. Une sensation de bien-être intense… Un sentiment de puissance… Sentir que quelqu’un t’aime et compte sur toi. P’tiin. Ca s’est magnifique. Atreus resserra sa pression sur la jeune femme. Long soupir d'aise. Bien ? On n'peut mieux. Le parfum entêtant, légèrement piquant, d'Asuka lui titillait les narines. Encore une raison de plus de serrer fort dans ses bras la belle jeune femme. Une raison minime en comparaison aux sentiments qu'il éprouvait pour elle. Mais bon... J'aime préciser les choses. Tant pis si ça vous embête. NAH ! Hum. Bref. Ce moment était donc intense. Et il promettait même de l'être encore plus. Si c'est possible... La jeune femme desserra son étreinte amoureuse. Atreus laissa seulement glisser ses bras jusqu'au épaules de la jeune femme, les caressant avec tendresse et envie. Mais son regard alla direct sur celui de la Serdaigle. Ces yeux brillaient. Et elle lui afficha encore une fois ce sourire si doux et craquant qui lui faisait BONDIR LE CŒUR à chaque fois. Elle passa sa main dans ses cheveux. Le contact le fit frissonner mais il adorer c'te frisson caractéristique. Un frisson qui exprime tout. Il ferma doucement les yeux, le temps d'un instant. De son côté, il ne cessait de caresser avec douceur les épaules de la jeune femme. Ouvrant les yeux, il se mit à faire courir ces doigts sur le bras dénudé de la jeune femme, celui avec lequel elle lui ébouriffer les cheveux. Avec un petit sourire malin et taquin sur les lèvres, il déposa des baisers sur la peau de son bras. Remontant bien entendu vers son buste. Vous savez, ce genre de p'tits baisers qui chatouillent. C'est ce genre-là. Moi aussi je t'aime... mon 'Treus. »La voix douce de la Harada et ces paroles firent lever la tête d'Atreus. Avec un sourire tendre, la lueur encore plus forte de l'amour dans ses yeux, le Serdy enleva délicatement la larme qui avait perlé dans le coin de l'oeil d'Asuka et qui commençait à roulé sur sa joue délicate. Les deux jeunes gens s'approchèrent une nouvelle fois et s'embrassèrent langoureusement. Combien de temps ? 5 minutes ? 10 minutes ? Peut-être plus ? Je ne sais pas. Le Bonheur se compte pas en une valeur de temps existante. C'est donc après un temps indéterminé que Asuka et Atreus cessèrent de joignirent leurs lèvres. Avec un regard tout aussi mignon et tendre, la belle Serdy pris entre ses doigts la cravate rouge de l'Irlandais, la caressant... Tu est la seule personne qui m'ai faite pleurer... Paradoxal, quand on sait que tu est la seule personne à me rendre si heureuse... »Le jeune homme sourit. Heureuse. Genre il était TRÈS MALHEUREUX avec elle. Ah ma belle... Tu fais d'moi l'plus heureux des hommes aussi. Chaque jour je vois la chance que j'ai de t'avoir avec moi et... C'est assez jouissif » en vérité de savoir que j'ai la plus adorable des femmes. »L'Irlandais l'entoura de ses bras, tout en lui caressant le dos d'une main, et ses mèches folles et rebelles de l'autre. J'ai envie de partir avec toi. Envie de vacances tout les deux. Quelque part au sud, dans un palace en bord de mer. Je voudrais passer des heures dans tes bras, dans un bain bouillant au milieu de pétales de roses. Je veux des calîns sur la plage, sous le soleil, sur le sable chaud. Je te veux pendant des nuits entières dans une chambre magnifique digne des plus grands maharadjahs. »Les mains d'Atreus cessèrent un instant leurs caresses. Plongeant son regard dans celui de sa Tigresse, il se mordit la lèvre inférieure, d'un geste d'envie et de désir. Un palace. Oui. Ils en avaient déjà beaucoup parlé. C'était LEUR rêve. Passer ses journées dans un magnifique palais au bord de la mer, à se câliner, s'embrasser et s'ébattre en totale liberté et tranquillité. Putain. Voilà un désir intense de la part des deux amants. En faisant le compte ça serait vraiment magique. Magiiique... Et le bain aux pétales de roses... Aaaah... Ça s'est de l'extase à l'état pur. Plaisir il est vrai personnel et peut-être assez original mais... C'était normal. Ils étaient tout deux des êtres exceptionnels, il était donc normal qu'ils agissent de façon spéciale et originale n'est-ce pas ? Non je n'ai pas la grosse tête. C'était comme ça qu'ils se considéraient les deux Serdys. Eh bah quoi ? Ça pose un problème à quelqu'un ? Nahméoh. ferma les yeux, poussa un soupir d'envie ce qui eu pour but de lui faire venir une vague de frisson. Ouf. Il l'adorait cette fille... Il l'adorait... Asuka... Je t'aime putain... Je t'aime de trop. 'Fin non. C'est jamais trop... Tu me comprend ma belle... »Il l'enlaça de nouveau, l'embrassant. Leurs langues s'unir avec fluidité et vivacité. Sans quitter ces frissons, Atreus passa sa main sur la hanche de la jeune femme, caressant le bas du ventre de gestes sensuels. Alors là, un autre défi va commencer. Sans abandonner l'amour qui unit ces deux jeunes gens, on peut se demander qui va déshabiller l'autre le premier... Défi intéressant n'est-ce pas ? Asuka HaradaNombre de messages 305Age 31Maison SerdaigleMessage Perso L Tigrou, Nado, Thoms, Eva, Thib'... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 19/06/2007Sujet Re L'echappée PV Atreus <3 [NC -17] Dim 23 Mar 2008 - 1705 ... -Ah ma belle... Tu fais d'moi l'plus heureux des hommes aussi. Chaque jour je vois la chance que j'ai de t'avoir avec moi et... C'est assez jouissif » en vérité de savoir que j'ai la plus adorable des eut un petit rire en entendant ses paroles, son expression à elle sortir de sa bouche. Oui, c'était jouissif en effet... Souriant tandis qu'il la prenait dans ses bras en lui caressant le dos, elle colla un peu plus son corps contre le sien, posant la tête sur son épaule et, en fermant les yeux, rêvassa un envie de partir avec toi. Envie de vacances tout les deux. Quelque part au sud, dans un palace en bord de mer. Je voudrais passer des heures dans tes bras, dans un bain bouillant au milieu de pétales de roses. Je veux des calîns sur la plage, sous le soleil, sur le sable chaud. Je te veux pendant des nuits entières dans une chambre magnifique digne des plus grands desserra son étreinte pour plonger en elle son regard rêveur, plein d'envie lui aussi. Lorsqu'il se mordit la lèvre inférieur, le regard perdu dans le sien, Asuka crû mourir d'envie tant ses lèvres l'attiraient. Mais elle ne bougea pas. Parce-que, même si elle pouvait le toucher et l'embrasser autant qu'elle le voulait, elle le voyait toujours comme cet objet sacré auquel elle l'avait comparé la première nuit à la bibliothèque. Quelque chose de fragile, de trop beau pour elle. Et il était si craquant à se mordiller la lèvre ainsi qu'elle avait peur de le briser si elle faisait quoi que ce soit. Alors elle resta là, à l'admirer. Lorsqu'il poussa son profond soupir rempli d'envie, elle crû fondre sur place tant elle aimait quand il faisait Asuka... Je t'aime putain... Je t'aime de trop. 'Fin non. C'est jamais trop... Tu me comprend ma belle...-Oh oui je te comprend...Dit-elle avec un sourire en baissant les yeux, frissonnant. Oui, elle le comprenait... car elle aussi l'aimait, à s'en faire péter le coeur... Mais comme il le disait, ce n'était jamais trop... Non... on aime jamais trop. Elle leva les yeux vers lui et vit qu'il la regardait. Ses yeux... ses yeux bleus... Si elle devait choisir sa dernière vision, sur son lit de mort, ce serait ces yeux. Ses yeux à lui, parce-que son regard véhiculait des tas d'émotions à la fois. Parce-que son regard voulait tout dire. Parce-qu'à travers son regard, elle sentait qu'elle était quelqu'un. Ils se regardèrent une longue seconde avant qu'il ne s'approche enfin pour l'embrasser. Basculant au dessus d'elle, il posa son coude à côté de la tête de la jeune femme, plaquant le dos de celle-ci sur le lit et sa tête sur le coussin confortable du jeune homme. Tandis qu'il l'embrassait en lui caressant le bas du ventre, les mains d'Asuka courraient sur ses épaules et sur son torse, tandis qu'elle se courbait de plaisir sous ses caresses. Les gestes gardant toute leur sensualité, les baisers devinrent cependant de plus en plus fougueux tandis que l'envie ne cessait de monter en eux. Elle l'aimait. Elle l'aimait... Comme une folle. Oui, folle. Elle était complètement dingue de ce mec. Son visage, son coeur, son corps, son humour, sa gentillesse, son regard... son regard... Asuka ouvrit les yeux entre deux baisers et, comme si il était capable de lire dans ses pensées, il en fit de même au même instant. Leurs regards se croisèrent alors, et tout deux sourirent avant de reprendre le baiser plus passionement encore. En un regard ils se comprenaient. Leurs âmes étaient comme liées, ils étaient... ils étaient fait l'un pour l'autre. La belle commença à déboutonner la chemise de son homme. D'une main habile, habituée malgré elle, elle les défaisait d'une main tandis que l'autre caressait sa nuque ou ébouriffait ses cheveux. Une fois la chemise déboutonnée, Atreus fit de lui même coulisser le noeud de sa cravate, l'enlevant ensuite, avant de retirer sa chemise blanche, offrant à Asuka la vue de ce corps qu'elle désirait plus que tout autre au monde. Atreus était un excellent joueur de Quidditch. Et par surcroit, un jeune homme très bien monté... Une fois torse-nu, il revint à elle, ne lui laissant pas une seconde de répit. Et tant mieux... Posant ses coudes de part et d'autre de sa tête, sur elle, il l'embrassa fougueusement tandis qu'elle passa des caresses aux griffures dans son dos, ce qui sembla plaire au jeune homme sauvage, qui aida la jeune femme à enlever son pull et son débardeur en même temps, avant de descendre lui faire des baisers dans le cou. Se courbant sous le plaisir et les frissons, elle laissa tomber sa tête sur le coussin, fermant les yeux. Atreus descendit un peu plus, déposant des baisers au milieu de la poitrine de la jeune femme. Sentant la chaleur monter considérablement en elle, elle empoigna les cheveux du jeune homme tout en faisant courir ses ongles sur son épaule, les yeux toujours fermés. Du plaisir... Rien que son corps contre le sien, rien que ces baisers la rendaient folle... Elle s'abandonnait à lui, elle était toute à lui...Dès qu'elle l'avait vu, à la bibliothèque, elle l'avait désiré. Ce corps, pourtant pas forcement des plus musclés du collège, lui avait fait quelque chose. Comme si... comme si dès la première fois elle avait su. Lorsqu'elle s'était approchée de lui, elle avait vu ce visage, et ce regard... Au delà de ses pulsions d'envie, elle avait ressentit autre chose... d'autres pulsions... au coeur. C'est là que tout avait commencé. Lorsqu'en un regard, son coeur s'était serré. Elle l'avait désiré, désormais elle l'aimait. Ils s'aimaient. Bien plus que du sex, cet instant était l'expression de leur amour. Asuka avait couché avec quelques garçons. Jamais elle n'avait prit tant de plaisir qu'avec Atreus. Parce-que jamais elle n'avait aimé quelqu'un comme elle l'aimait lui. Tout son corps, tout son coeur réagissait rien qu'au son de sa voix, rien que lorsqu'elle entendait son nom... et quand elle le voyait... c'était tout ses sens qui s'éveillaient et s'émerveillaient. Là encore, à cet instant sensuel et fougueux à la fois, elle ressentait autant d'amour que de plaisir. A chaque seconde, elle se retenait de lui crier qu'elle l'aimait. Atreus, qui avait continué son petit chemin, déposait désormais des baisers sur le ventre plat de la jeune femme, qui se courbait sous les grandes inspirations qu'elle prenait. Du plaisir, encore du plaisir... Frissonnant sans arrêt, les yeux fermés pour mieux sentir Atreus contre elle, pour mieux sentir chacune de ses caresses et de ses baisers. Puis il remonta jusqu'à ses lèvres, faisant glisser une des bretelles de son soutien-gorge le long de son épaule. Asuka sourit. Cet instant qu'il venait de lui offrir, ces baisers tout le long de son buste, ses caresses... C'avait été un de ces plaisir... La belle avait envie de lui rendre, lui montrant elle aussi de quoi elle était capable, bien qu'ils se soient déja montré beaucoup de choses dans ce domaine...Posant les mains sur son torse, elle le poussa doucement, lui faisant comprendre que c'était à son tour de s'allonger. Atreus ne se fit pas prier, souriant d'un air coquin, se laissant basculer sur le coussin. La jeune femme s'assit à cheval sur la taille du jeune homme, rejetant ses cheveux en arrière avant de l'embrasser en lui mordillant la lèvre sensuellement. Elle sentit les caresses d'Atreus dans son dos. Chacunes d'elles excitait un peu plus la jeune femme qui descendit déposer à son tour des baisers sur le torse chaud du jeune homme. Joueuse, elle passa sa langue autour d'un téton du jeune homme, puis dans son nombril. Remontant le long de son torse en faisant glisser sa langue sur chaque particule de sa peau se trouvant sur son passage, elle revint à ses lèvres et redescendit encore, faisant cette fois glisser son doigt sur sa peau, si lentement qu'il pouvait en avoir des frissons. Prenant tout son temps pour l'exciter encore et faire durer le plaisir, elle détacha sa ceinture...Parce-que ces moments là étaient inoubliables. Parce-qu'elle l'aimait, parce-qu'elle le voulait en elle. Il était déja dans son coeur, dans sa tête... et elle en voulait plus. Toujours plus, jamais trop. Leurs âmes ne faisaient qu'une, tout comme leur tête et leur coeur. Et lorsque leurs corps fusionnaient à leur tour, c'était l'extase, l'Amour à l'état pur... Contenu sponsoriséSujet Re L'echappée PV Atreus <3 [NC -17] L'echappée PV Atreus <3 [NC -17] Page 1 sur 1 Sujets similaires» Vol PV Atreus » ENTRE 1 ET 10 pv Atreus» Come Break Me Down... PV Atreus» Rencontre amicale [PV Atreus]Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLIS™ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers
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